La fabrique d'orphelins

Les grands perdants : les enfants. Ce qu'il y a de sûr, c'est que les enfants sont les "grands perdants" de ces secrets de fabrication : non seulement leur intérêt n'est pas pris en compte, amis leurs droits sont bafoués.

À partir du moment où on accepte la PMA, que ce soit pour les hétérosexuels ou les homosexuels, on ouvre la porte au transhumanisme. Il est donc temps d’ouvrir grand nos yeux et nos intelligences et de revenir à la sagesse.

Avec la PMGPA, c’est le retour au commerce de l’être humain en pièces détachées que nous légaliserions.

Dans chaque homme sommeille un porc : telle est la leçon qu’aura donné notre siècle avec le mouvement Me too.

Qu’il ne milite pas pour l’abolition de la GPA montre aussi que le Président n’a pas les ambitions souhaitables pour la France, patrie des droits de l’homme, au sein de l’Europe.

La conclusion tomba d’une bouche oraculaire : mieux valait un enfant non battu, heureux, grâce au fric, au sein d’une paire de femmes, qu’un enfant sans fric, battu, né dans un couple hétérosexuel ivrogne. Cet argument, il fallait l’inventer : c’est chose faite.

Sauf que ce qui est déraisonnable n’est pas un tabou à lever : c’est une idéologie qui manipule les esprits, et ici prospère sur un marché.

Sauf que ces femmes, ne souffrant d’aucune infertilité pathologique, privent délibérément l’enfant de sa filiation biologique, en lui imposant un père inconnu ainsi que deux « mères », sinon plus : l’enfant n’en demande pas tant.

À l’amour, rien d’impossible. À la technique et l’argent, tout est possible. Le bonheur n’est pas dans le pré : il est à portée des mains gantées de caoutchouc dans les laboratoires.

Le lecteur aura compris, on l'espère, que le propos, ici, n'est pas de "juger" (au nom de quoi ?) des personnes ni des orientations sexuelles des uns et des autres, mais d'analyser les faits.
[…] Que les couples homosexuels soient sincères ainsi que leur désir d'enfant, nul n'en doute et là n'est pas la question. Le problème c'est que le désir d'enfant satisfait à tout crin va à l'encontre des droits et de l'intérêt de l'enfant, opérant un véritable retour à la barbarie, dans le but de faire prospérer un marché qui profite à beaucoup.