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Critique de Aheuuu
[Lu dans le cadre de Masse Critique : merci à Babelio et aux Editions Belfond !]
Frédéric Solis, brillant avocat des divorces de "people", a une passion aussi dévorante que coûteuse : les tableaux impressionnistes. Il a également deux soucis : un léger contentieux inavoué avec son père, qui s'est évaporé dans la nature voilà trente ans, et un sérieux contentieux avec son compte en banque, bien mis à mal par toutes les acquisitions artistiques de Frédéric.
Alors forcément, quand Frédéric est convoqué chez un notaire pour toucher un héritage, il s'attend à une jolie somme qui lui permettra, par exemple, d'acquérir une autre toile.
Las, il ne s'agit que de menues babioles : entrées pour des musées, tickets de train, et une carte au trésor, tout ceci ne semblant de prime abord que le mener à sa perte.
Je n'ai pas réussi à me forger un avis net et tranché sur le roman de Caroline Vermalle : si elle évite quelques clichés (SPOILER : j'étais par exemple per-sua-dée que Frédéric allait finir par remarquer sa fade secrétaire et l'épouser), elle tombe en revanche dans quelques écueils (comme nous répéter quinze fois que Frédéric est beau : oui, on a compris !). L'histoire est jolie, et touchante, mais j'aurais aimé un peu plus de suspense, que la "machination" ourdie par une partie des protagonistes ne soit pas révélée aussi tôt, que le doute et le mystère planent un peu plus longtemps, et avec eux le rêve et la poésie.
C'est tout de même un très joli roman, que j'ai pris beaucoup de plaisir à lire.
Frédéric Solis, brillant avocat des divorces de "people", a une passion aussi dévorante que coûteuse : les tableaux impressionnistes. Il a également deux soucis : un léger contentieux inavoué avec son père, qui s'est évaporé dans la nature voilà trente ans, et un sérieux contentieux avec son compte en banque, bien mis à mal par toutes les acquisitions artistiques de Frédéric.
Alors forcément, quand Frédéric est convoqué chez un notaire pour toucher un héritage, il s'attend à une jolie somme qui lui permettra, par exemple, d'acquérir une autre toile.
Las, il ne s'agit que de menues babioles : entrées pour des musées, tickets de train, et une carte au trésor, tout ceci ne semblant de prime abord que le mener à sa perte.
Je n'ai pas réussi à me forger un avis net et tranché sur le roman de Caroline Vermalle : si elle évite quelques clichés (SPOILER : j'étais par exemple per-sua-dée que Frédéric allait finir par remarquer sa fade secrétaire et l'épouser), elle tombe en revanche dans quelques écueils (comme nous répéter quinze fois que Frédéric est beau : oui, on a compris !). L'histoire est jolie, et touchante, mais j'aurais aimé un peu plus de suspense, que la "machination" ourdie par une partie des protagonistes ne soit pas révélée aussi tôt, que le doute et le mystère planent un peu plus longtemps, et avec eux le rêve et la poésie.
C'est tout de même un très joli roman, que j'ai pris beaucoup de plaisir à lire.
