C'est le fameux rayon vert, bien connu de tous les marins, qui sert de fil conducteur à cette aventure.
Pour une fois,
Jules Verne ne nous offre pas un roman d'anticipation ni une ode au progrès technique derrière laquelle on trouve toujours une aventure humaine. Cette fois, une demoiselle part à la recherche du rayon vert qui, selon une légende écossaise, permet de voir plus clair dans ses sentiments et ceux des autres.
Promise à un savant nommé Aristobulus Ursiclos (anagramme de sourcils, comme Servadac était celui de cadavres...), elle finit par trouver l'amour.
Jules Verne nous offre ici une belle histoire d'amour qui nous change des
Voyages Extraordinaires tout en les complétant.
Commenter  J’apprécie         360