« A huit ans on n’a pas conscience de l’argent, on pense qu’une maison ça vaut cent francs, que le prix d’une voiture est le même que celui d’un pain au chocolat, on ne comprend pas comment se remplit le frigo. »
Ce bon peuple, ce gentil peuple, ce peuple éclairé désormais assujetti à la pensée unique des réseaux sociaux, ce troupeau moutonnier qui prétend réfléchir par lui-même, qui se targue de s'être affranchi de l'influence des grands médias, mais qui n'a jamais été autant manipulé, trop heureux de croire à son indépendance d'esprit à travers des fake news et une politique de l'émotion.
Quand j'avais dix ans j'ai vu mon père mourir devant mes yeux. Peut-être est-ce une des raisons qui a fait que je suis devenu un assassin.