Pour moi,
Martin Veyron ne pouvait être que le créateur de
Bernard Lermite, antihéros et dragueur maladroit.
J'aime quand les auteurs et artistes s'aventurent dans le contre-emploi, et s'attaquer à Tolstoï est carrément osé.
Martin Veyron ne se contente pas de restituer fidèlement le roman de l'écrivain russe, il apporte cette touche personnelle de décalage par rapport au livre sans à aucun moment le trahir. La cupidité et son traitement social reste bien le thème central du roman graphique.
Martin Veyron nous offre un album inattendu.
La belle surprise.
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