La lecture de Battling le ténébreux laisse un souvenir poignant, une mélancolie diffuse. C'est le roman déchirant de l'adieu à l'adolescence, « l'âge des pires souffrances, celles qu'on se nie à soi-même », cet âge qui fait qu'on doit trouver « une volupté dans la douleur »...
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