Bloqué dans mon fauteuil roulant, je prends le temps de m'ouvrir à la beauté du paysage, d'admirer les arbres, d'écouter chanter les ruisseaux. A côté de Jean-Louis, mon ami bûcheron, qui accepte de me balloter dans son automobile, je sillonne à nouveau "mon pays".
Promeneur condamné à l'immobilité, je découvre, insatiable, la magie d'une nature dont rien n'arrête le mouvement...
En 1941, cette immense écrivaine, pensant devenir folle, va se jeter dans une rivière les poches pleine de pierres. Avant de mourir, elle écrit à son mari une lettre où elle dit prendre la meilleure décision qui soit.