Dès les premières lignes,
Daniel Vigoulette nous fait vivre intensément l'exode quotidien des clandestins brésiliens en Guyane française, leur "Eldorado". Il vous plonge instantanément dans l'ambiance de l'Oyapok, des piroguiers passeurs, l'état de non droit de certains lieux, des guerriers révolutionnaires surinamais du Maroni, et enfin de Cayenne, et sa "faune " particulière.
Le seul manque c'est peut-être la saveur de la forêt amazonienne, et encore, si vous l'avez déjà sentie, elle vous reviendrait à l'esprit comme lors de la lecture de "
Muséum" de
Frédéric Clément.
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