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Critique de DeusSum
J'ai terminé ce livre en ne sachant pas vraiment me situer... Difficile de dire si je l'ai aimé ou pas, alors que j'ai jusqu'ici adoré toute la littérature de Vincent Villeminot.
Le contexte et l'univers sont bien décrits et donnent envie de se plonger dans ce roman.
Cependant, de nombreux points m'ont vite agacé:
- Dans la littérature du genre (un ado se retrouvant seul dans un endroit inconnu, avec de nouvelles règles), on ressent l'angoisse du nouvel environnement. On en a peur, et on a envie que le héros se casse vite fait bien fait car on craint pour lui. Et c'est ce qui fait que ça marche (par exemple dans le Tome 1 du Manoir, d'Évelyne Brisou-Pellen). On découvre seulement par après les raisons qui rendent le lieu si étrange, et on est rassurés de constater qu'on est en fait en présence du bon côté... du côté "Gentils".
Alors que là, c'est l'inverse... Tout nous dit que l'institut est là pour aider Tim, et que le Docteur est une personne de confiance, mais le héros fera tout pour se barrer et cultiver son esprit paranoïaque.
Bref, tous ces petits moments m'ont fait passer la première partie en vitesse.
- Deuxièmement, les enjeux de ce premier tome ne m'ont pas emballé plus que ça...
C'est trop.... trop? je sais pas...
On découvre à peine l'univers, on aimerait bien une intrigue à l'intérieur-même de l'institut, histoire de poser les bases... Mais on se retrouve directement catapulté dans les bras d'une organisation internationale qui a pour but d'exterminer tous les anthropes. C'est la guerre finale alors qu'on a eu aucune bataille. Les chasseurs débarquent, on apprend qui ils sont, on fait la guerre et c'est fini, point.
Les enjeux sont d'après moi trop élevés pour le premier tome d'une trilogie...
Sinon dans les points positifs,
- l'univers, le concept
- les personnages et les relations entre eux
Je verrai s'il me vient un jour l'envie de lire la suite...
Le contexte et l'univers sont bien décrits et donnent envie de se plonger dans ce roman.
Cependant, de nombreux points m'ont vite agacé:
- Dans la littérature du genre (un ado se retrouvant seul dans un endroit inconnu, avec de nouvelles règles), on ressent l'angoisse du nouvel environnement. On en a peur, et on a envie que le héros se casse vite fait bien fait car on craint pour lui. Et c'est ce qui fait que ça marche (par exemple dans le Tome 1 du Manoir, d'Évelyne Brisou-Pellen). On découvre seulement par après les raisons qui rendent le lieu si étrange, et on est rassurés de constater qu'on est en fait en présence du bon côté... du côté "Gentils".
Alors que là, c'est l'inverse... Tout nous dit que l'institut est là pour aider Tim, et que le Docteur est une personne de confiance, mais le héros fera tout pour se barrer et cultiver son esprit paranoïaque.
Bref, tous ces petits moments m'ont fait passer la première partie en vitesse.
- Deuxièmement, les enjeux de ce premier tome ne m'ont pas emballé plus que ça...
C'est trop.... trop? je sais pas...
On découvre à peine l'univers, on aimerait bien une intrigue à l'intérieur-même de l'institut, histoire de poser les bases... Mais on se retrouve directement catapulté dans les bras d'une organisation internationale qui a pour but d'exterminer tous les anthropes. C'est la guerre finale alors qu'on a eu aucune bataille. Les chasseurs débarquent, on apprend qui ils sont, on fait la guerre et c'est fini, point.
Les enjeux sont d'après moi trop élevés pour le premier tome d'une trilogie...
Sinon dans les points positifs,
- l'univers, le concept
- les personnages et les relations entre eux
Je verrai s'il me vient un jour l'envie de lire la suite...
