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Critique de Elsaragon


Beaucoup de tendresse dans ce livre ! Tendresse envers les souvenirs de Djibouti, tendresse envers Béa, la fille du narrateur.

Tout part d'une simple phrase : @Pourquoi tu danses quand tu marches ? Phrase simple d'un enfant qui ne voit jamais son père faire du vélo, qui claudique. mais d'où cela vient-il ?
C'est là que l'auteur plonge dans ses souvenirs d'enfance, où il nous décrit ses parents (dont une mère peu aimante ou du moins angoissée), une grand-mère formidable et puis cette ribambelle de gamins qui rient de son infirmité, et sa vie à Djibouti..
A côté de cela, il y a l'amour des livres, des lettres, tel un refuge. Et beaucoup de poésie dans la narration, même si certains moments sont difficiles, posent question. Et des amours enfantines : Madame Annick, Ladane (dont la mort restera une question sans réponse)
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