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Critique de Mimeko


Grosse déception avec ce roman, présenté comme un grand roman sur la guerre de Sécession et l'idéalisme du jeune Adam Rosenzweig, jeune allemand avec un pied-bot parti pour se battre pour les droits des Noirs ; entre les nombreuses coquilles et les lourdeurs de la traduction (et pourtant ils étaient deux !), la lecture de ce roman a été pénible. La seule chose que je retiens est la construction assez originale par petites saynètes qui reconstituent au final l'image complète.
Mais je suis loin de recommander cette lecture, très dispensable...

Coquilles :
p70 : Les gens qui ont maltraité les Noirs avaient immobile... au lieu de "un mobile"
p 162 : S'il l'avait craint, il aurait décroché des mûries deux pistolets de cavalerie... au lieu "des murs"
p 181 : Même à cette heure - l'heure du repos - il y avait moins départies de cartes... au lieu "de parties de cartes".
p 256 : Puis, sans transition, sapeur disparut... au lieu de "sa peur".
p 280 : Une savait pas ce qu'il lui faudrait faire... au lieu de "Il ne savait pas ce qu'il lui"...

Lourdeurs de traductions :
Il fit un temps au lieu de : il fit une pause...(faire un temps au marathon je comprendrais...)
p 203 : Sur cette pensée, Adam Rosenzweig se sentit rasséréné . Il se sentit rendu à un commencement d'espoir.
p 214 : Et pendant qu'Adam remuait ces réflexions, une nouvelle pensée commença de croître sous son crâne.
p 229 : Une étrange exaltation le visita. Il se sentit trembler au bord d'une révélation.
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