AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
>

Critique de Luniver


Margaret est une femme de la bonne société anglaise qui vient de perdre son père récemment. Elle est aussi en période de convalescence d'un mal mystérieux que personne ne veut nommer ; toujours est-il que Margaret a besoin de chloral ou de laudanum pour s'endormir tous les soirs.

Pour changer son quotidien, elle décide de devenir dame patronnesse dans la prison de Millbank, la visite régulière d'une honnête femme du monde ne pouvant que bonifier le caractère et le comportement des détenues. Parmi celles-ci, Margaret s'attache particulièrement à Selina Dawes, une spirite qui a été emprisonnée pour avoir frappé une détenue. La médium soutient fermement que c'est un mauvais tour d'un esprit et qu'elle est tout à fait innocente. Bien que sceptique au départ, Margaret va s'intéresser d'un peu plus près au spiritisme, fascinée par l'aura de Selina.

Sarah Waters reste avec Affinités dans son univers favori, la ville de Londres au 19ème siècle. L'ambiance y est toujours aussi bien rendue, et l'atmosphère des prisons est étouffante. Par contre, l'intrigue est très lente, et toutes les révélations ne se font que dans les cinquante dernières pages. L'ennui commençait à poindre à l'horizon.
Commenter  J’apprécie          243



Ont apprécié cette critique (23)voir plus




{* *}