Quelqu'un a dit qu'il faut préférer le cynisme à la mauvaise foi. E. W. aurait pu en être l'auteur. Personne ne sort grandi de son récit. L'armée, les “élites aristocratiques…” sont l'objet de passages à tabac répétitifs et savoureux. La victime principale des descriptions, sarcasme et méchanceté reste R
Churchill, le fils de l'autre. Saoul à longueur de journée, un héritage familial ? La guerre de Waugh se résume en beuveries plutôt qu'en faits d'armes. Ses lecteurs excuseront sa conduite pour ses talents littéraires et son humour glacial. Une occasion de relire son “
Hiver africain”
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