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Critique de kuroineko


Chapitre 8... page 73 (format Pocket avec une nouvelle réussite iconographique d'Aurélien Police)... Je me traîne entre deux Flashs du dézingage temporelle qui transforme Paris en concept architectural façon puzzles sortis de différentes boîtes et les gens en débris d'os. Pourquoi pas... Je me retrouve à la traîne avec Callista - joli prénom - ado de seize ans qui m'énerve.

La fin du Temps est arrivée à coups de séismes et d'explosions fulgurantes mais la jeune fille s'en sort miraculeusement avec juste un ongle cassé. Et elle marche... Et je m'ennuie... Impression que tous les récits post-apocalyptiques se ressemblent.
De plus - pardon pour les fans - je trouve le style d'Aurélie Wellenstein plat et sans grande saveur. le rythme au pas de course de Callista, avec mauvaises rencontres et crises de larmes et de culpabilité (qui peuvent certes se comprendre au vu des circonstances catastrophiques), est vite répétitif et s'étire en longueurs. le côté roadtrip à pied dans un univers en perdition qui est déjà lu et relu et rerelu.

J'imagine bien qu'il doit y avoir d'autres éléments dans les deux cents pages restantes mais franchement, ça m'est égal de ne pas le savoir. le livre me tombe des mains, paix à ses pages.
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