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Citations sur Alfie : Le chat du bonheur (11)

J'ai appris alors que la colère et la tristesse allaient souvent de pair.
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on formait un couple étrange : un homme immense et un petit chat.
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Assis devant la maison, j'ai regardé deux hommes baraqués décharger les derniers meubles du camion de déménagement. Jusqu'à présent, j'étais plutôt content de ce que j'avais vu : un canapé bleu qui paraissait très confortable ; de gros coussins de sol et un fauteuil rembourré très chic qui m'avait tout l'air d'être une antiquité, mais j'étais loin d'être un expert en la matière. J'avais déjà vu des tas de meubles sortir du camion : des armoires, des commodes et plein de cartons fermés, mais je m'intéressais surtout au mobilier rembourré.
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Enfin, je suis arrivé dans une jolie rue et (...) j'ai su immédiatement qu'elle me donnerait ce dont j'avais besoin. Je ne savais pas exactement pourquoi, mais je le savais. Je sentais que là était ma place. Je me suis assis devant un panneau indiquant EDGAR ROAD (...)
J'ai tout de suite aimé Edgar Road. C'était une rue plutôt longue avec différentes sortes de maisons : des mitoyennes de style victorien, des blocs modernes, de grandes villas et quelques bâtiments divisés en appartements.
Ce qui m'a beaucoup plu, c'était le nombre de panneaux A VENDRE et A LOUER. Bouton m'avait expliqué que ces écriteaux signifiaient que de nouveaux habitants allaient bientôt arriver.
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J'ai couru après la balle qui a atterri sous le canapé et j'ai failli rester coincé dessous en essayant de la récupérer. J'ai donné de petits coups de patte pour la faire rouler et elle a fini par ressortir. Quand je me suis redressé, j'ai vu que Claire riait. Elle était tellement ravie qu'elle s'est mise à applaudir.
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J' n'oublierais jamais non plus le jour où Francesca avait dit qu'elle avait trouvé les premiers temps très difficiles en Angleterre, mais que j'avais égayé sa vie. Quant à Claire, elle disait que je l'avais sauvée, et Polly affirmait la même chose. Jonathan prétendait en riant que j'avais fait de lui un amateur de chats et avait expliqué à Claire que je l'avais sauvé de l'horrible Philippa. Je n'oublieras jamais leurs paroles, ni le long périple qui m'avait amené jusqu'ici, et j'espérais que j'avais fait le plus dur et que je pouvais désormais me reposer.
En effet, j'étais le plus heureux des chats quand je pouvais m'asseoir sur les genoux de mes maîtres. J'avais désormais le nombre idéal de genoux à ma disposition. La nuit, je sortais parfois pour regarder les étoiles. Je scrutais le ciel, espérant qu'Agnès et Margaret étaient là quelque part, qu'elles me faisaient des clins d'œil, parce que, si j'avais apparemment accompli beaucoup de choses depuis que je els avais perdues, c'était grâce à l'amour qu'elles m'avaient donné et à tout ce qu'elles m'avaient appris. c'était grâce à elles et à tout ce que j'avais enduré que j'étais un chat meilleur aujourd'hui. Et c'est ainsi qu'on avançait dans la vie, avais-je appris.
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Comme la plupart des chats, je ne jugeais pas les humains sur leur apparence, mais je devinais leur personnalité, et en général les chats savent immédiatement repérer les gens qui leur feront du bien et ceux qui leur veulent du mal.
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Refuge… Mon corps ne pouvait que frémir en entendant ce mot. Quel nom inapproprié pour ce que nous considérions, dans la communauté des chats, comme le « couloir de la mort » ! Il y avait certes quelques chats chanceux à qui on trouvait un nouveau foyer, mais qui sait ce qu’il advenait d’eux ensuite ? Qui pouvait dire que la famille qui les accueillerait les traiterait aussi bien que celle où ils avaient vécu jusqu’alors ? Tous les chats que je connaissais étaient d’accord sur ce point : les refuges étaient des endroits abominables. Et nous savions parfaitement que ceux qui ne trouvaient pas de nouveau foyer étaient condamnés.
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Refuge… Mon corps ne pouvait que frémir en entendant ce mot. Quel nom inapproprié pour ce que nous considérions, dans la communauté des chats, comme le « couloir de la mort » ! Il y avait certes quelques chats chanceux à qui on trouvait un nouveau foyer, mais qui sait ce qu’il advenait d’eux ensuite ? Qui pouvait dire que la famille qui les accueillerait les traiterait aussi bien que celle où ils avaient vécu jusqu’alors ? Tous les chats que je connaissais étaient d’accord sur ce point : les refuges étaient des endroits abominables. Et nous savions parfaitement que ceux qui ne trouvaient pas de nouveau foyer étaient condamnés.
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J’étais passé d’une vie tranquille et simple, entourée de l’amour que me donnaient Margaret et Agnès, à une vie sans domicile où j’avais dû me battre pour survivre. Et j’avais désormais deux résidences principales et deux autres secondaires. J’étais pris dans un tourbillon. Toutes mes familles me donnaient du souci. Je n’étais qu’un chat, bon sang ! Je n’étais pas fait pour gérer toute cette agitation.
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