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Critique de Cielvariable


Voilà un roman très difficile à classer et à critiquer, car je ne sais pas encore ce que j'en pense, à part qu'il est des plus étranges! C'est mon premier roman de Bernard Werber, peut-être est-ce la cause de mon étonnement? Je n'ai pas lu les Fourmis, roman pourtant plus célèbre que celui-ci. Par contre, le sujet des chats est beaucoup plus intéressant pour moi!
J'ai aimé: la narration par la chatte Bastet, son bon caractère (sauf quand elle veut se venger pour la mort de ses chatons!), sa volonté extrême de communiquer avec toutes les espèces, même avec sa servante humaine qui ne comprend visiblement rien. J'ai aimé l'humour et la réelle connaissance du comportement des chats. J'ai aimé l'idée de la race féline unifiée qui veut combattre les rats et survivre. J'ai aimé le jugement que pose les chats sur le monde des humains et leur compréhension de ce monde.

J'ai trouvé plus difficile à accepter: la prise USB du chat Pythagore, même si c'était pour expliquer tout son savoir sur les humains, le fait qu'il continuait à avoir des mises à jour sur Internet sur l'état de la situation, alors que l'humanité était sans contredit beaucoup trop occupée à trouver de quoi se nourrir et à s'entretuer que d'écrire des articles sur le Web, le comportement pas toujours très bienveillant envers les chats de certains humains (les chatons!), le fait que la "servante" de Bastet ait fait opérer son chat mâle, mais pas Bastet (c'est elle qui a la portée de chats, sa maîtresse aurait pu y penser avant de ramener un mâle à la maison, surtout que sa chatte a un accès à l'extérieur!). J'ai trouvé peu crédible le fait que les humains soient particulièrement idiots dans le récit. La maîtresse de Bastet est visiblement en danger dans sa maison depuis un bon bout de temps, mais elle ne pense pas à déménager ni à faire des provisions bien avant.

Je suis encore stupéfaite par ma lecture, je ne puis dire si je l'ai aimée. Je ne l'ai pas détestée.

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