Un souffle épique traverse ce roman écrit avec talent et inspiration passionnée sous l'influence de la musique (écoutée en boucle?) qui plaît à l'auteur ainsi qu'il l'indique en fin d'ouvrage. Ce qui différencie cet ouvrage des autres sur l'esclavage me semble être le fait que, jamais, l'écrivain ne prend le lecteur pour un ignare et passe sur les faits liés à l'esclavage déjà connus et archi ressassés pour se concentrer sur ce qu'il y a de nouveau dans le processus. le passage nommé "Indiana" me semble de trop et le livre aurait gagné à être un peu plus court car il atteint son paroxysme avant la dernière page. Je vais de ce pas chercher un autre écrit de
Colson Whitehead.
Commenter  J’apprécie         250