Enchantée par la découverte de Kaboul Requiem, c'est tout naturellement que je me suis dirigée vers Kaboul Disco, le premier "volet" du voyage de
Nicolas Wild en Afghanistan.
On revoit le même décalage entre le journaliste un peu perdu qui ne sait pas trop ce qu'il est venu faire là, car Kaboul où ailleurs, tant que cela le sauvait de l'ennui c'était bon à prendre. Sauf que... à Kaboul ce n'est pas tout à fait comme ailleurs !
Une fois de plus la bande dessinée permet d'appréhender ce pays et ses problématiques d'une manière différente et plutôt atypique - grâce à l'humour et les décalages récurrents dans les situations.
Sans descendre trop facilement cette BD, je ne peux nier que j'ai eu un mal fou à me plonger dedans, et qu'une fois terminée, je n'étais pas mécontente de pouvoir passer à autre chose.
Un souvenir qui n'aura vraiment rien de mémorable et que je ne conseillerai pas particulièrement non plus.
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