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Critique de Selvegem
Christina « Tiny » Schuyler est mariée à Frank Hardcastle, un homme politique très influent. Une vie ponctuée de gala et de cocktails dans leur maison de Cape Cod, mais aussi de discours et autres rencontres politiques. La vie de Christina semblait se déroulait parfaitement bien, jusqu'au jour où elle se met à recevoir des lettres d'un maître chanteur et les retrouvailles subites avec Caspian Harrison, vétéran de la guerre du Vietnam, cousin de Frank et ancien ami de Christina. En l'espace de peu de temps, la vie « parfaite » de la jeune femme tremble.
Ayant apprécié ma lecture de la vie secrète de Violet Grant, j'étais curieuse de lire Les lumières de Cape Cod, où on peut de nouveau retrouver la famille Schuyler, cette fois en la personne de Tiny ! Mais ces deux récits sont totalement indépendants l'un de l'autre, on peut les lire dans le désordre sans aucun souci.
Donc, ai-je apprécier cette nouvelle virée dans l'univers de Beatriz Williams ? Certes, oui ! Même si j'ai préféré l'histoire de Violet, j'ai passée un bon moment avec Tiny. Nous retrouvons dans Les lumières de Cape Cod une alternance de point de vue et d'époque : il y a d'abord la vie de Tiny en 1966, et la vie de Caspian en 1964. Cela permet d'avoir de découvrir peu à peu le passé de ces deux personnages, et d'entraîner des révélations intéressantes.
Si au début Tiny peut paraître froide, toute entière dévouée à son mari et à sa famille, sa carapace commence à fondre lorsque sa jeune soeur Pepper arrive, mais aussi avec la venue de Caspian et la réception de ces mystérieuses lettres. Peu à peu, la jeune femme va réaliser qu'elle possède des secrets, mais que son entourage – la famille de son mari en premier – en possède également... Elle va devoir apprendre à déterrer ses envies, à vivre pour elle-même, et pas seulement être la femme parfaite qui aide à promouvoir la carrière de son mari.
(Mon avis complet sur mon blog.)
Lien : http://chezlechatducheshire...
Ayant apprécié ma lecture de la vie secrète de Violet Grant, j'étais curieuse de lire Les lumières de Cape Cod, où on peut de nouveau retrouver la famille Schuyler, cette fois en la personne de Tiny ! Mais ces deux récits sont totalement indépendants l'un de l'autre, on peut les lire dans le désordre sans aucun souci.
Donc, ai-je apprécier cette nouvelle virée dans l'univers de Beatriz Williams ? Certes, oui ! Même si j'ai préféré l'histoire de Violet, j'ai passée un bon moment avec Tiny. Nous retrouvons dans Les lumières de Cape Cod une alternance de point de vue et d'époque : il y a d'abord la vie de Tiny en 1966, et la vie de Caspian en 1964. Cela permet d'avoir de découvrir peu à peu le passé de ces deux personnages, et d'entraîner des révélations intéressantes.
Si au début Tiny peut paraître froide, toute entière dévouée à son mari et à sa famille, sa carapace commence à fondre lorsque sa jeune soeur Pepper arrive, mais aussi avec la venue de Caspian et la réception de ces mystérieuses lettres. Peu à peu, la jeune femme va réaliser qu'elle possède des secrets, mais que son entourage – la famille de son mari en premier – en possède également... Elle va devoir apprendre à déterrer ses envies, à vivre pour elle-même, et pas seulement être la femme parfaite qui aide à promouvoir la carrière de son mari.
(Mon avis complet sur mon blog.)
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