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Critique de Clem_YCR
Une nouvelle lecture de Our Pretty Books' Club, et l'été du cyclone, pour la 1ere fois, était mon choix de lecture du mois. J'ai refermé les dernière pages il y a quelques heures et je suis encore dans l'ambiance de Seaview.
Une jolie couverture qui donne le ton, un résumé accrocheur même si la tempête a tardé à se montrer (au sens propre du terme car on peut dire qu'une tempête habite bel et bien le roman), quoi de mieux pour commencer l'été.
J'ai été enchantée de ma lecture, qui, malgré une grosse accumulation de malentendus et de non-dits entre les personnages, m'a obsédée dans mes moments de non lecture.
Beatriz Williams nous entraine dans les années 30, à la rencontre de Lily et son grand amour, Nick, qu'elle retrouve après 7 années sans nouvelles, marié à sa meilleure amie Budgie. Nous assistons à la naissance de l'idylle entre Nick et Lily dans la douce ambiance de match de foot et université d'un autre temps; et suivons en parallèle leur retrouvailles des années plus tard, alors que Nick vient de se marier. En effet, L'été du cyclone est construit par alternance de chapitre 1931 / 1938; en cela la lecture est légèrement frustrante car l'on passe de deux jeunes gens attachants et amoureux à un Nick marié à une autre sans que l'on comprenne comment cela a pu arrivé. En 1938, nos prenons donc de plein fouet les émotions de Lily, toujours amoureuse, qui fait passer le bien être des autres avant le sien et ne sait pas vraiment comment gérer la situation. J'ai trouvé les personnages attachants, bien décrits et sentimentalement perturbés, et le couple Lily/Nick tellement beau.
Un récit qui ne marque pas de temps mort, une Lily un peu longue à comprendre les choses, mais c'est ce qui fait son charme, une Budgie inimitable, un secret de famille bien gardé et l'exemple même d'un évènement qui peut avoir des répercussions sur l'ensemble d'une vie. On a plusieurs fois envie de tordre des cous !
Ce livre est peut être un peu fleur bleue, mais pour ma part, même si j'ai du mal à l'exprimer, j'ai adoré ! J'en garde un profond sentiment de nostalgie et de bien être.
Une jolie couverture qui donne le ton, un résumé accrocheur même si la tempête a tardé à se montrer (au sens propre du terme car on peut dire qu'une tempête habite bel et bien le roman), quoi de mieux pour commencer l'été.
J'ai été enchantée de ma lecture, qui, malgré une grosse accumulation de malentendus et de non-dits entre les personnages, m'a obsédée dans mes moments de non lecture.
Beatriz Williams nous entraine dans les années 30, à la rencontre de Lily et son grand amour, Nick, qu'elle retrouve après 7 années sans nouvelles, marié à sa meilleure amie Budgie. Nous assistons à la naissance de l'idylle entre Nick et Lily dans la douce ambiance de match de foot et université d'un autre temps; et suivons en parallèle leur retrouvailles des années plus tard, alors que Nick vient de se marier. En effet, L'été du cyclone est construit par alternance de chapitre 1931 / 1938; en cela la lecture est légèrement frustrante car l'on passe de deux jeunes gens attachants et amoureux à un Nick marié à une autre sans que l'on comprenne comment cela a pu arrivé. En 1938, nos prenons donc de plein fouet les émotions de Lily, toujours amoureuse, qui fait passer le bien être des autres avant le sien et ne sait pas vraiment comment gérer la situation. J'ai trouvé les personnages attachants, bien décrits et sentimentalement perturbés, et le couple Lily/Nick tellement beau.
Un récit qui ne marque pas de temps mort, une Lily un peu longue à comprendre les choses, mais c'est ce qui fait son charme, une Budgie inimitable, un secret de famille bien gardé et l'exemple même d'un évènement qui peut avoir des répercussions sur l'ensemble d'une vie. On a plusieurs fois envie de tordre des cous !
Ce livre est peut être un peu fleur bleue, mais pour ma part, même si j'ai du mal à l'exprimer, j'ai adoré ! J'en garde un profond sentiment de nostalgie et de bien être.
