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Critique de strummer
Hé ben !
Un écrivain peut-être l'égal voire supérieur aux séries télé.
Dernier tome de cette trilogie archi connue sur la guerre que livre les Usa à la drogue.
Un héros génial, Art Keller, vrai héros, presque seul contre tous.
Un style épuré ou pas de style c'est selon, mais rien que les faits, c'est cru, violent, mais la vraie violence : Pourquoi rien ne change depuis le début de cette guerre contre la drogue ? A qui profite le crime ? Pourquoi tout cet argent circule t il ?
Un dernier point, le joli combo contre Trump et ses « idées biscornues », les barbouzeries à l'assassinat Kennedy, un vrai grand thriller qui fait froid dans le dos et qui est monstre addictif, c'est nerveux, on ne s'ennuie jamais, (l'auteur nous ballade au Mexique, New-York, las Vegas, Washington, dans les prisons coupe-gorges, les déserts, le Guatemala, avec des flics infiltrés, pourris, la mafia, les avocats, etc.) c'est jouissif, crépusculaire, stressant, choquant
C'est de la bonne
Un écrivain peut-être l'égal voire supérieur aux séries télé.
Dernier tome de cette trilogie archi connue sur la guerre que livre les Usa à la drogue.
Un héros génial, Art Keller, vrai héros, presque seul contre tous.
Un style épuré ou pas de style c'est selon, mais rien que les faits, c'est cru, violent, mais la vraie violence : Pourquoi rien ne change depuis le début de cette guerre contre la drogue ? A qui profite le crime ? Pourquoi tout cet argent circule t il ?
Un dernier point, le joli combo contre Trump et ses « idées biscornues », les barbouzeries à l'assassinat Kennedy, un vrai grand thriller qui fait froid dans le dos et qui est monstre addictif, c'est nerveux, on ne s'ennuie jamais, (l'auteur nous ballade au Mexique, New-York, las Vegas, Washington, dans les prisons coupe-gorges, les déserts, le Guatemala, avec des flics infiltrés, pourris, la mafia, les avocats, etc.) c'est jouissif, crépusculaire, stressant, choquant
C'est de la bonne
