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Critique de emilyiesvresque
La vie qu'on m'a choisie est un roman a double temporalité comme on les adore.
Une maison, deux vies, deux destins. Il faut découvrir le passé pour comprendre le futur.
1931 : Lilly a 9 ans et n'a jamais rien connue d'autres que le grenier de Blackwoord manor dans lequelle elle a été enfermée jusqu'au jour où sa mère décide de l'a vendredi à un cirque. Lilly est différente. Sa propre mère lui disant qu'elle est un monstre. Malgré son apparence Lilly arrive à survivre dans ce cirque.
1956 : Julia a fui sa cage dorée à 16 ans à la mort de son père. Un père alcoolique, une mère qui ne lui apporte pas d'amour. Pourtant 3 ans après elle hérité de Blackwood Manor, mais aussi de ses tragédies de sa tristesse et de ses secrets. Julia va donc donc découvrir un an les horreurs qui a connu cette maison et comprendre les liens qu'il y a entre la fille de la photo et elle même. Ce roman ne pourra pas vous laisser de marbre. Ellen Marie Wiseman nous maltraite dans ses mots autant que le sont ses personnages. Ce roman est bouleversant et poignant et nous refonte les conditions animales, mais aussi humaines dans les cirques. Il nous montre aussi à quel point l'humain peut être dur et mauvais lorsqu'on parle de différences.
Une maison, deux vies, deux destins. Il faut découvrir le passé pour comprendre le futur.
1931 : Lilly a 9 ans et n'a jamais rien connue d'autres que le grenier de Blackwoord manor dans lequelle elle a été enfermée jusqu'au jour où sa mère décide de l'a vendredi à un cirque. Lilly est différente. Sa propre mère lui disant qu'elle est un monstre. Malgré son apparence Lilly arrive à survivre dans ce cirque.
1956 : Julia a fui sa cage dorée à 16 ans à la mort de son père. Un père alcoolique, une mère qui ne lui apporte pas d'amour. Pourtant 3 ans après elle hérité de Blackwood Manor, mais aussi de ses tragédies de sa tristesse et de ses secrets. Julia va donc donc découvrir un an les horreurs qui a connu cette maison et comprendre les liens qu'il y a entre la fille de la photo et elle même. Ce roman ne pourra pas vous laisser de marbre. Ellen Marie Wiseman nous maltraite dans ses mots autant que le sont ses personnages. Ce roman est bouleversant et poignant et nous refonte les conditions animales, mais aussi humaines dans les cirques. Il nous montre aussi à quel point l'humain peut être dur et mauvais lorsqu'on parle de différences.
