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Critique de ArandeHavalandirman
Saviez-vous que les arbres communiquaient entre eux? Qu'ils se déplaçaient?
Qu'ils nouaient des "amitiés" entre espèces et qu'ils se maintenaient en vie les uns les autres, parfois pendant des centaines d'années?
Les arbres sont bien des êtres vivants et non des objets inanimés, comme nous avons trop tendance à le croire, ou comme on veut nous le faire croire...
Dans la société des arbres, le temps s'étire en centaines voire milliers d'années, on fait la course à la lumière, on maintient artificiellement en vie ses congénères quasi-morts par un fourmillant réseau de racines, l'on se repose l'hiver et on lutte en permanence contre les insectes en tout genre. Dans la société des arbres, on fait l'éloge de la lenteur. Chaque individu est important et a sa place, du réseau microscopique de champignons aux plus grands hêtres.
C'est tout cela, et bien plus, que nous décrit de manière très pédagogique Peter Wohlleben. Complètement inconnu au bataillon avant d'écrire ce livre, cet ancien forestier du sud de l'Allemagne a remporté un succès planétaire en étant best-seller dans le monde entier. Il signe un ouvrage de vulgarisation passionnant, accessible et qui met en avant des notions de lenteur et de solidarité dont nous ferions bien de nous inspirer.
A l'heure où la plus grande forêt tropicale du monde part en fumée sous nos yeux, ce livre nous apprend que les forêts ne sont pas de simples réservoirs à CO2 ou à papier, mais bien des écosystèmes complexes, fragiles, et vitaux pour la planète. Il ne reste d'ailleurs sur notre planète que très peu de forêts primaires, c'est-à-dire non touchées par la main de l'Homme.
Lisez ce livre si vous voulez ne plus jamais vous balader en forêt de la même manière.
Lien : https://lasocietedeslivres.w..
Qu'ils nouaient des "amitiés" entre espèces et qu'ils se maintenaient en vie les uns les autres, parfois pendant des centaines d'années?
Les arbres sont bien des êtres vivants et non des objets inanimés, comme nous avons trop tendance à le croire, ou comme on veut nous le faire croire...
Dans la société des arbres, le temps s'étire en centaines voire milliers d'années, on fait la course à la lumière, on maintient artificiellement en vie ses congénères quasi-morts par un fourmillant réseau de racines, l'on se repose l'hiver et on lutte en permanence contre les insectes en tout genre. Dans la société des arbres, on fait l'éloge de la lenteur. Chaque individu est important et a sa place, du réseau microscopique de champignons aux plus grands hêtres.
C'est tout cela, et bien plus, que nous décrit de manière très pédagogique Peter Wohlleben. Complètement inconnu au bataillon avant d'écrire ce livre, cet ancien forestier du sud de l'Allemagne a remporté un succès planétaire en étant best-seller dans le monde entier. Il signe un ouvrage de vulgarisation passionnant, accessible et qui met en avant des notions de lenteur et de solidarité dont nous ferions bien de nous inspirer.
A l'heure où la plus grande forêt tropicale du monde part en fumée sous nos yeux, ce livre nous apprend que les forêts ne sont pas de simples réservoirs à CO2 ou à papier, mais bien des écosystèmes complexes, fragiles, et vitaux pour la planète. Il ne reste d'ailleurs sur notre planète que très peu de forêts primaires, c'est-à-dire non touchées par la main de l'Homme.
Lisez ce livre si vous voulez ne plus jamais vous balader en forêt de la même manière.
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