Japon, 1642. Hori Mondo s'est rebellé contre son seigneur. En représailles, toute sa famille se fait massacrer par les sept hommes de main de cet aristocrate tyrannique, des combattants d'exception surnommés les sept lances d'Aizu. Toute ? Non, car sept femmes survivent et jurent de se venger, bien qu'elles soient novices dans l'art du combat.
Premier tome du diptyque des Manuscrits ninja, Les Sept Lances d'Aizu nous plonge dans un Japon féodal extrêmement romanesque. Un monde très dépaysant, au charme assez désuet, qu'il n'est pas toujours facile de se représenter. le plus important dans cet univers, c'est l'honneur, pour lesquels les personnages sont prêts à mourir. La psychologie des héros est d'ailleurs moins développée que les descriptions des combats très violents qu'ils livrent.
Les Sept Lances d'Aizu n'est pas un roman facile à lire. Il arrive que l'on s'y perde. Mais c'est un ouvrage fascinant, très bien écrit, et une plongée étonnante dans le monde des samouraïs.
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