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Critique de Lucas2
Dessins au top, histoire au... quelle histoire, en fait ?
Hiver des plus rigoureux, dans le fjord abritant le village où vit Thorgal, en ce temps là scalde (barde) adolescent. Déjà l'idole d'Ariciaa, sa future femme, qui ne peut se passer de lui.
Le temps est à la famine, chaque jour la mort prélève son lot d'âmes, et les drakkars salutaires tardent à revenir depuis trop longtemps.
Et là, miracle une nourriture abondante s'approche au doux son de la mélodieuse voix de notre héros.
Ce, sous la forme de baleines. de quoi vivre pendant des mois.
Mais les baleines ont parlé à Thorgal. Ce sont en réalité trois soeurs bannies par la déesse Frigg, puissante femme de Thor.
Sachant cela, notre jeune fils des étoiles va tout tenter pour les sauver...
Dommage que la coupe ne soit qu'à moitié pleine.
Niveau dessin, c'est aussi bien que Rosinski (qui va encore nous gratifier d'une superbe couverture), on pouvait difficilement espérer mieux.
Mais là, ce n'est pas un récit, c'est une succession d'anecdotes et de morceaux de mythes scandinaves, inventés ou non.
Très précises et intéressantes, les anecdotes.
Mais l'ensemble est bien trop faiblard, on a l'impression à chaque page de se raccrocher à un clin d'oeil à un ancien album, où à une référence mythologique, et que cela hache l'album.
Peut-être cela va-t-il s'améliorer par la suite, j'aurai l'occasion de le vérifier...
Hiver des plus rigoureux, dans le fjord abritant le village où vit Thorgal, en ce temps là scalde (barde) adolescent. Déjà l'idole d'Ariciaa, sa future femme, qui ne peut se passer de lui.
Le temps est à la famine, chaque jour la mort prélève son lot d'âmes, et les drakkars salutaires tardent à revenir depuis trop longtemps.
Et là, miracle une nourriture abondante s'approche au doux son de la mélodieuse voix de notre héros.
Ce, sous la forme de baleines. de quoi vivre pendant des mois.
Mais les baleines ont parlé à Thorgal. Ce sont en réalité trois soeurs bannies par la déesse Frigg, puissante femme de Thor.
Sachant cela, notre jeune fils des étoiles va tout tenter pour les sauver...
Dommage que la coupe ne soit qu'à moitié pleine.
Niveau dessin, c'est aussi bien que Rosinski (qui va encore nous gratifier d'une superbe couverture), on pouvait difficilement espérer mieux.
Mais là, ce n'est pas un récit, c'est une succession d'anecdotes et de morceaux de mythes scandinaves, inventés ou non.
Très précises et intéressantes, les anecdotes.
Mais l'ensemble est bien trop faiblard, on a l'impression à chaque page de se raccrocher à un clin d'oeil à un ancien album, où à une référence mythologique, et que cela hache l'album.
Peut-être cela va-t-il s'améliorer par la suite, j'aurai l'occasion de le vérifier...
