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Critique de Labullederealita
La hache, le koto et le chrysanthème est un roman à énigme du même genre que ceux d'Agatha Christie.
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Kindaichi Kosuke, un célèbre détective, se trouve dans une auberge à Nasu quand il reçoit une lettre bien étrange. Ce petit bout de papier lui apprend que plusieurs tragédies vont avoir lieu dans cette ville au sein du clan Inugami. En effet, le patriarche de cette famille est décédé récemment, il laisse derrière lui trois filles qui souhaitent toutes obtenir l'héritage pour leur fils unique. À peine cette lettre est elle décachetée que l'action commence. Des accidents, des tentatives de meurtre, des enlèvements et des assassinats à l'esthétique très poussée s'enchaînent alors et le détective doit être attentif au moindre détail pour parvenir à déjouer ce scénario machiavélique.
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J'ai dévoré ce roman. J'ai aimé me mettre dans la peau du détective et tenter de glaner des indices. J'avais souvent l'impression que tout paraissait assez simple mais les mises en scène des meurtres bien macabres, les références au kabuki et au koto, les personnages qui semblent tous cachés quelque chose m'ont définitivement conquise.
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Un classique du genre !
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Kindaichi Kosuke, un célèbre détective, se trouve dans une auberge à Nasu quand il reçoit une lettre bien étrange. Ce petit bout de papier lui apprend que plusieurs tragédies vont avoir lieu dans cette ville au sein du clan Inugami. En effet, le patriarche de cette famille est décédé récemment, il laisse derrière lui trois filles qui souhaitent toutes obtenir l'héritage pour leur fils unique. À peine cette lettre est elle décachetée que l'action commence. Des accidents, des tentatives de meurtre, des enlèvements et des assassinats à l'esthétique très poussée s'enchaînent alors et le détective doit être attentif au moindre détail pour parvenir à déjouer ce scénario machiavélique.
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J'ai dévoré ce roman. J'ai aimé me mettre dans la peau du détective et tenter de glaner des indices. J'avais souvent l'impression que tout paraissait assez simple mais les mises en scène des meurtres bien macabres, les références au kabuki et au koto, les personnages qui semblent tous cachés quelque chose m'ont définitivement conquise.
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Un classique du genre !
