Un livre interessant dans sa première et dernière partie, consacrées aux parents de
Marguerite Yourcenar, sa mère en particulier qu'elle n'a pas connue.
Entre les deux, des passages également interessants sur sa nombreuse famille, les convenances sociales du XIXe siècle et début du XXe, et le rappel terrible de toutes ces pauvres femmes, quelque soit leur milieu social, qui mouraient de mettre au monde.
Mais on se perd un peu dans toute cette généalogie, et j'ai trouvé aussi la place accordée à deux grands-oncles, Octave et Remo, excessive.
Pour finir, j'ai été étonnée de certains thèmes abordés, qui n' étaient pas encore d'une telle actualité à la sortie de ce livre, en 1974, comme la souffrance animale, les dégâts du tourisme de masse ou la démographie mondiale explosive.
Clairement, j'ai préféré Les
mémoires d'Hadrien.
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