Citations sur Sambre, tome 2 : Je sais que tu viendras... (10)
La vérité est dans les yeux du peuple car son âme vit entre le ciel et la boue.
Je saigne, Madame,
Je saigne encore…
Et le peu de vie qui me coule entre les doigts suffit à me le rappeler…
L’oublier serait me mentir, en guérir serait m’enterrer.
Croyez-moi, il n'y a que le mauvais Bordeaux qui tâche à vie...
Va, dit-il. Je te livre à ta propre misère. Trop indigne à mes yeux d'amour ou de colère, tu n'es rien devant moi. Roule au gré du hasard dans les déserts du vide, qu'à jamais loin de moi le Destin soit ton guide, Et le malheur ton roi !
Bien sûr, bien sûr ! La putain n'a pas de nom, c'est de morale publique... A peine un prénom de fleur pour mieux taire le fumier qui l'a vue naître et se faner...
"Quand le peuple regarde les riches avec ces yeux-là, ce ne sont pas des idées qui traversent leurs cerveaux, ce sont des événements."
Victor Hugo
Je te livre à ta propre misère…Trop indigne à mes yeux d’amour ou de colère, tu n’es rien devant moi…Roule au gré du hasard, dans les déserts du vide. Qu’à jamais loin de moi le Destin soit ton guide, et le malheur ton roi !
Allons, mon petit Bernard, cela aussi vous l'oublierez. Vous aviez bu...
Croyez-moi, il n'y a que le mauvais Bordeaux qui tâche à vie...
Eh bien, va la rejoindre ! Va ! Puisque tu as déjà souillé ton nom entre ses reins !!...
Le marché aux innocents... Vous voilà chez vous, cousin Bernard.