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Critique de BazaR
Et c'est parti pour la grande écrabouille, les gars ! Les viscères sont de sortie. Les haches et les épées leur ouvrent un chemin vers le soleil.
Askeladd et sa troupe pensent passer un hiver tranquille au fin fond du comté de Mercie (à l'est de la future Angleterre) dans le village dont ils ont un peu massacré les habitants. Maiiiis… ils ont fait une boulette en ne voyant pas qu'une villageoise leur a échappé. du coup le grand costaud rigolo (quand on est du bon côté de sa hache) Thorkell apprend où ils sont cachés et il y va. Après tout Askeladd lui a piqué son otage, le frêle et timide prince Knut fils du roi Sven à la barbe fourchue. Il va pas laisser passer ça, pour une fois qu'on s'amuse !
Mais Askeladd apprend aussi que Thorkell est sur ses talons, donc il évacue avec sa bande… pas si fidèle que ça en vérité. On voit que l'allégeance du viking pour son chef ne tient que tant que ledit chef remporte des victoires. Là… ma foi, une traitrise en passant, ni vu ni connu, et ils peuvent espérer s'en sortir avec Thorkell… Ouais, c'est ça les mecs, vous êtes de grands connaisseurs d'hommes vous, ça se voit au premier coup oeil.
Mais je cause, je cause. Ce tome cause moins qu'il ne tranche dans le vif. On s'en donne à coeur joie avec toute la désinvolture d'un Askeladd ou l'humour en coin d'un gros Thorkell qui aime la douche de membres coupés sur son corps soyeux.
Bon ok, c'est un poil violent. le genre de violence à la Tarantino, on ne le dira jamais assez. Mais c'est aussi instructif entre les fils d'épée. Après tout, le fameux Knut est destiné à devenir le grand roi Knut le Grand. Et l'absence de données historiques permet à l'imagination de Makoto Yukimura d'imaginer qu'un « viking » comme Askeladd l'a dépucelé de sa timidité pour réveiller la hargne du monarque.
Voili, voilou. Je ne vais pas attendre longtemps pour la suite car un sacré deuxième round s'annonce, genre poids coq contre poids lourd.
Askeladd et sa troupe pensent passer un hiver tranquille au fin fond du comté de Mercie (à l'est de la future Angleterre) dans le village dont ils ont un peu massacré les habitants. Maiiiis… ils ont fait une boulette en ne voyant pas qu'une villageoise leur a échappé. du coup le grand costaud rigolo (quand on est du bon côté de sa hache) Thorkell apprend où ils sont cachés et il y va. Après tout Askeladd lui a piqué son otage, le frêle et timide prince Knut fils du roi Sven à la barbe fourchue. Il va pas laisser passer ça, pour une fois qu'on s'amuse !
Mais Askeladd apprend aussi que Thorkell est sur ses talons, donc il évacue avec sa bande… pas si fidèle que ça en vérité. On voit que l'allégeance du viking pour son chef ne tient que tant que ledit chef remporte des victoires. Là… ma foi, une traitrise en passant, ni vu ni connu, et ils peuvent espérer s'en sortir avec Thorkell… Ouais, c'est ça les mecs, vous êtes de grands connaisseurs d'hommes vous, ça se voit au premier coup oeil.
Mais je cause, je cause. Ce tome cause moins qu'il ne tranche dans le vif. On s'en donne à coeur joie avec toute la désinvolture d'un Askeladd ou l'humour en coin d'un gros Thorkell qui aime la douche de membres coupés sur son corps soyeux.
Bon ok, c'est un poil violent. le genre de violence à la Tarantino, on ne le dira jamais assez. Mais c'est aussi instructif entre les fils d'épée. Après tout, le fameux Knut est destiné à devenir le grand roi Knut le Grand. Et l'absence de données historiques permet à l'imagination de Makoto Yukimura d'imaginer qu'un « viking » comme Askeladd l'a dépucelé de sa timidité pour réveiller la hargne du monarque.
Voili, voilou. Je ne vais pas attendre longtemps pour la suite car un sacré deuxième round s'annonce, genre poids coq contre poids lourd.
