Star Wars, tome 14 : L'ultime commandement

La machine de guerre impériale était lancée, et la Nouvelle République ne pouvait plus s'offrir le luxe de garder ses meilleurs commandants dans les bureaux.

- Vous êtes directement responsable de la mort de quatre commandos d'assaut et de trente-deux soldats de l'Empire. Ainsi que de la destruction de deux command-speeders et de leurs équipages. Ferrier, je ne suis pas le Seigneur Dark Vador - je ne gaspille pas mes hommes. Et je prends en considération leur mort.

They stood there silently: Mara and Luke, waiting as the dark hooded shadow moved toward them, a lightsaber glittering in its hand. Back behind the figure an old man stood, craziness in his eyes and blue lightning in his hands. The shadow stopped and raised its weapon. Luke stepped away from Mara, lifting his own lightsaber, his mind filled with horror and dread.

L'empereur levait les mains, projetant des cascades d'éclairs bleus sur ses ennemis. Ils titubaient sous sa terrible défense et Mara, dans une seconde d'espoir douloureux, pensa que l'issue allait changer. Main non: Skywalker et Vador se redressaient déjà et levaient à nouveau leurs sabres dans un sifflement électronique aigu, furieux...
(P173)

-Voici les chantiers impériaux de Bilbringi. Et je sais ce que vous êtes tous en train de vous dire: c'est énorme, bien défendu, et qu'est-ce qu'en pense donc le haut commandement? La réponse est simple: c'est énorme, bien défendu, et c'est le dernier endroit où l'Empire s'attend à ce que nous attaquions.

Cinq années après les péripéties narrées, dans la bataille jedi, la fragile république doit subir les assauts du grand amiral thrawn.