Dans tous les mouvements politiques, le premier coup de couteau tombe toujours sur la culture et l'enseignement, puis c'est le massacre général!
On prétend que l'amour, c'est le sacrifice, mais que pouvais-je lui sacrifier, moi qui n'avais rien? (p.129)
Depuis une dizaine d'années, leur politique obéit au précepte suivant: "mieux vaut arrêter à tort mille hommes que de laisser échapper un seul opposant". (p.178)
Rempli de curiosité, j'écartai les tiges de roseau et jetai un regard furtif vers l'autre côté du canal. Je fus frappé de stupéfaction en voyant un être humain !
Une femme !
Une femme toute nue ! (p.59)
Quand on veut se débarrasser de quelqu'un, le mieux est de l'amener à prendre l'initiative des offenses. (p.254)
Le diable seul peut pénétrer les cachoteries d'une femme ! (p.234)
Il n'y avait plus que la beauté et la séduction de son corps plein et rond. Seule son image se dressait dans le vide, les bras croisés, mais aux épaules.
Il ne restait plus qu'elle au monde ! (p.65)
La colère des femmes est un fleuve qui se jette dans le désert, il commence en bouillonnant avec fracas et disparaît peu à peu sans laisser aucune trace. (p.256)
Or, en passant à ma hauteur, juste à l'instant où elle me frôlait, elle brandit sa faucille devant mes yeux et, juste assez haut pour n'être entendue que de moi, elle me cria d'un ton féroce:
- Si je pouvais te tuer ! (p.69)