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Critique de Latulu
Ce deuxième opus s'ouvre directement après la conclusion du premier tome. Les deux héroïnes sont séparées et chacune vit un enfer, l'une en tant qu'esclave de chair dans la maison close « l'Alcôve » et l'autre en qualité d'épouse du pasteur. Leur soif de vengeance va rapidement les conduire vers la liberté.
L'intrigue gagne en intensité. Les différentes époques trouvent un socle commun en la mystérieuse organisation terroriste menée exclusivement par des femmes avides de vengeance.
Les planches sont toujours très réussies, le trait est soigné, les contrastes bien appuyés. Il se dégage plus de noirceur dans ce tome au niveau de l'histoire et la colorisation joue avec l'ombre et la lumière selon les protagonistes.
Une touche de fantastique fait son apparition, ce que j'ai beaucoup apprécié.
Enfin le rythme du scenario s'accélère, beaucoup de choses sont révélées et les actions s'enchaînent rapidement.
L'intrigue gagne en intensité. Les différentes époques trouvent un socle commun en la mystérieuse organisation terroriste menée exclusivement par des femmes avides de vengeance.
Les planches sont toujours très réussies, le trait est soigné, les contrastes bien appuyés. Il se dégage plus de noirceur dans ce tome au niveau de l'histoire et la colorisation joue avec l'ombre et la lumière selon les protagonistes.
Une touche de fantastique fait son apparition, ce que j'ai beaucoup apprécié.
Enfin le rythme du scenario s'accélère, beaucoup de choses sont révélées et les actions s'enchaînent rapidement.
