AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
>

Critique de dezecinte


Les affreux de la création, comme dirait Gainsbourg… On comprend que Cézanne ait moyennement apprécié d'avoir servi de modèle à ce peintre incapable de transcrire sur la toile sa vision du réel, mais n'oublions pas que pour Zola, Claude Lantier est avant tout handicapé par le patrimoine génétique de la lignée Macquart. Comme toujours avec le grand Emile, qui ne souffre assurément pas de l'impuissance de son personnage, le lecteur se régale de très belles pages, qu'elles décrivent le cours de la Seine à Paris ou mettent en scène l'effervescence des salons de peinture. Avec, en prime, une déchirante histoire d'amour insuffisamment partagé. Recommandé.
Commenter  J’apprécie          110



Ont apprécié cette critique (10)voir plus




{* *}