De tous les romans et nouvelles de
Stefan Zweig, ce n'est pas mon préféré. Je ni retrouve pas la puissance du style de ses romans écrits plus jeune comme "
Lettre d'une inconnue", "
Le joueur d'échecs" ou "Amok". Par contre, il est très significatif, de l'état d'esprit et du pessimisme de
Stefan Zweig au début du conflit de la deuxième guerre mondiale, qui conduira au suicide de l'auteur. Dans ce récit, il s'agit de la première guerre mondiale qui verra l'éclatement de la vieille Autriche-Hongrie, racontée par une jeune femme autrichienne dont le conflit détruira la vie et les illusions.
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