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Critique de Nadouch
Quand on vient de quitter les frères Sisters, on peine à trouver les mots pour en dire quoi que ce soit !
Déjà, ce roman est un western, et ça ne court pas les rues.
Ensuite, le style est totalement déroutant au début, puis très attachant ensuite : ironique, cynique, volontiers déjanté.
Ces deux frères, tueurs à la solde du Commodore, ont bien envie de raccrocher, et vont en avoir l'occasion lors d'une ultime vendetta. le narrateur, Eli, est un peu le canard boiteux à côté de Charlie, brother à la gâchette (hyper) facile. Eli fait figure de sentimental à côté, avec son attachement à son cheval borgne (scènes mémorables !), ses envolées lyriques, ses tendresses soudaines... puis ses coups de flingues !
On nage presque dans l'absurde, on se croirait chez Tarantino (mais ce n'est pas lui qui va réaliser le film, mais Jacques Audiard !). C'est vif, rythmé, dépaysant et franchement rafraîchissant !
Déjà, ce roman est un western, et ça ne court pas les rues.
Ensuite, le style est totalement déroutant au début, puis très attachant ensuite : ironique, cynique, volontiers déjanté.
Ces deux frères, tueurs à la solde du Commodore, ont bien envie de raccrocher, et vont en avoir l'occasion lors d'une ultime vendetta. le narrateur, Eli, est un peu le canard boiteux à côté de Charlie, brother à la gâchette (hyper) facile. Eli fait figure de sentimental à côté, avec son attachement à son cheval borgne (scènes mémorables !), ses envolées lyriques, ses tendresses soudaines... puis ses coups de flingues !
On nage presque dans l'absurde, on se croirait chez Tarantino (mais ce n'est pas lui qui va réaliser le film, mais Jacques Audiard !). C'est vif, rythmé, dépaysant et franchement rafraîchissant !
