Citations sur Chante Bénédicte, chante... (3)
Serrant les dents, Bénédicte se révéla incapable d’empêcher les fortes mains de lui saisir les hanches pour la maintenir en place. Puis elle sentit à nouveau le gland familier se frotter de haut en bas sur sa vulve avant qu’il ne la pénètre brutalement et commence à la baiser. C’était vraiment affreux d’avoir des relations sexuelles de cette manière, tout en essayant de converser le plus naturellement du monde avec son mari au téléphone. Le point culminant de l’horreur eut lieu quand le bâtard noir éjacula en elle juste lorsqu’elle était en train de dire à son mari : — Je t’aime !
Peut heurter les plus sensibles
Ceux qui avaient été incapables de surenchérir payèrent un droit d’entrée fabuleux pour assister à la défloration de la jeune Américaine, pour la voir pleurer et lutter tandis qu’un bâtard de quelque 150 kilos s’étendait sur elle et cueillait son précieux pucelage. Après son dépucelage, chacun des témoins déboursa encore plus d’argent pour avoir une chance de violer la jeune blonde. Lorsque la soirée d’inauguration s’acheva, la jeune Gil Claymore gisait sur un matelas grand format, les jambes et les bras écartés, une substance épaisse et gluante suintait de sa chatte violée. Elle était couverte de sperme partout, sur ses cheveux, son visage, ses lèvres, ses seins , ses doigts , ses courtes boucles blondes , ses cuisses , ses orteils , ses dessous de pieds , etc . Tout ce désordre avait été causé par chacun des cent vingt hommes concupiscents présents lors de l’inauguration cette nuit - là .
Elle avait été droguée et transportée en jet privé au Nigeria où elle travaillait pour son nouvel employeur, là, Michelle était logée dans un souterrain situé sous la base militaire principale de l’armée. En échange du gîte et du couvert, Michelle devait prodiguer des faveurs sexuelles à n’importe quel officier nigérian envoyé auprès d’elle pour se divertir. Leur agent en Amérique basé à New York avait montré sa photo au commandant de l’armée. Le grand manitou avait alors décidé que cela valait la peine de dépenser l’équivalent de 50 000 dollars américains sur le budget de l’armée pour soutenir le moral des officiers sous - payés.