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Critique de fnitter


Petit recueil de nouvelles publié en 1978 en France et comprenant :
La dernière forteresse (1942)
Les hommes reflétés (1971)
Les assassins de la terre (1949)

Dans la première nouvelle, un maître du temps arrogant prétentieux et télépathe recrute à tour de bras des hommes de toutes les époques pour combattre une faction rivale dans la domination de la terre.
Dans la seconde, une pierre étrange venue du futur, dans un musée, multiplie les individus et les élimine au fur et à mesure pour ne garder le meilleur, mais dans quel but ?
Dans la dernière nouvelle, et bien, j'ai lu le livre il y a à peine une semaine et impossible de me remémorer l'histoire (si ce n'est que c'est encore une histoire temporelle).

C'est tristement symptomatique de ce petit livre. Encore une semaine je suis à peu près sûr que je ne me souviendrais absolument pas de son contenu.
C'est d'ailleurs malheureusement le cas de beaucoup de livres de van Vogt, autant je me souviendrais toujours d'un sorcier de Lynn, d'un monde des non-A ou d'un A la poursuite des Slans, autant un Silkie, un colosse anarchique ou une machine ultime (j'ai regardé dans ma liste pour retrouver des titres perdus dans les limbes de ma mémoire) n'ont laissé aucune trace pour la postérité de la science-fiction. Et ce recueil de nouvelles vient indéniablement grossir la seconde liste.

Ce qu'il reste : Une impression d'une moins bonne maîtrise de l'histoire à voyager dans le temps qu'un Poul Anderson par exemple (La patrouille du temps) ou d'un Asimov (Prélude à l'éternité). Un univers sans aucun doute riche, mais fouillis, servi en vrac avec une impression d'un gros fatras, limite bouillie indigeste, au point d'avoir du mal à suivre l'action des personnages.
Des personnages féminins en crinoline dans leur tête (en même temps vu la date de création…), une femme a les pleins pouvoirs, les plus puissants du monde, de l'univers et que veut-elle ? Faire un beau mariage. (Sic)…

Bref une oeuvre absolument dispensable.
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