Le tome 1 avait déjà été un réel coup de cœur.

Gioia, l’héroïne, est un personnage complètement bouleversant et complexe. Sa relation avec son professeur de philosophie, M Bove, m’avait déjà beaucoup émue et dans ce deuxième tome, j’ai pu être encore plus touchée par cette relation unique.

Il est comme le père qu’elle n’a jamais eu, et elle comme la fille qu’il n’a pas pu connaître.



Cette quête de soi aux mille questions m’a fait réfléchir à moi, à l’adolescence, au développement de la maturité de chacun, etc.

Tout l’aspect philosophique est terriblement bien amené. Chacun de nous peut se retrouver en Gioia.



Un style magnifique et bouleversant, je ne peux que recommander chaleureusement.

Et pourtant le bonheur est la



Un titre joyeux qui suscite le sourire et qui pourtant cache une histoire sombre mais douce. Durant près de 500 pages, nous suivons l'histoire de Gioia, jeune adolescente rousse, à l'écart de ses camarades et beaucoup moquée. Elle grandit avec sa mère dans un logement social et subit son alcoolisme. Elle peine tous les jours à rentrer chez elle et aimerait autant que possible fuir cette réalité.



Elle est accompagnée par une amie imaginaire, avec qui elle va souvent dialoguer, puis un soir alors qu'elle se balade dans la rue, elle va tomber sur un jeune homme qui joue aux fléchettes. Lo garçon mystérieux au sweat noir. Au fils des jours, nous allons suivre leur idylle, Gioia va enfin vivre une véritable histoire d'amour, mais quelque chose ne va pas, elle le ressent au plus profond d'elle Lo cache quelque chose. Le jour de sa disparition, elle va comprendre que son intuition était la bonne, sans savoir si cette histoire d'amour était une pure invention de son imagination ou la réalité nous allons la suivre sans sa recherche.



Ce livre est poignant et est un véritable coup de cœur lecture de ce début d'année.