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Lady Killer

Série de 2 livres (En cours). Écrite par Joëlle Jones (2), Jamie S. Rich (1),


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Lady Killer, tome 1 : À couteaux tirés

J'ai été attiré par la couverture. Une femme, bien habillée, chic et jolie et que l'on devine avec de bonnes manières, passe la serpillère dans une cuisine dévastée... le tout fait très "années 50". Puis, on remarque que les traces sont du sang. le contraste de cette touche gore avec la robe rose bonbon de la femme est bien percutant. Tout comme le "Lady Killer" de la même couleur.



Le décor est posé. Josie est femme au foyer. Elle a un mari sympa, aimant et fier d'elle, et deux adorables gamines. Foyer, doux foyer, pour reprendre l'adage anglophone. On devine les petits sachets de lavande dans les tiroirs. le linge repassé et amidonné, net et sans pli. Les petits plats mitonnés avec amour. Et tant qu'à faire, le mari encourage Josie à avoir un travail, quelqu'activité où elle pourra se réaliser, s'épanouir.



Et Josie a un boulot de jour. Elle est tueuse à gages. Elle exécute, lamine, éparpille façon puzzle. Et le tout au surin. Pas de pétoire bruyante. le froid et silencieux glissement d'une bonne lame, acier inoxydable, 6 pouces. de l'American Steel, à coup sûr.



Mais un jour, il y a le contrat de trop. Celui qu'elle ne pourra pas exécuter. Et vu qu'elle est finaude, elle a bien deviné que contrat exécuté ou pas, ce serait son dernier. Car elle se retrouve avec un contrat sur sa tête.



Cliché, cliché, cliché, remboursez... hurlent les détracteurs. On s'en fout répondent doctement les fans. C'est rudement bien mené. Pas de temps mort. Pas de baisse de rythme. Tous les dessins tapent juste. C'est gore, juste ce qu'il faut. le décalage avec l'American Way of Life est jouissif. Avec en prime un petit twist féministe, certes pas spécialement #MeToo mais féministe quand même.



Je suis preneur.
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