Avec ce livre, je m'attendais à passer un moment plein d'humour et, encore une fois, la déception est arrivée au grand galop ! L'humour est un art difficile à manier. Il est tributaire de la finesse de l'auteur, mais aussi du niveau d'exigence du lecteur.



"Comment braquer une banque sans perdre son dentier" est le Club des Cinq à la maison de retraite dans lequel Catharina Ingelman-Sundberg manie l'ironie et la plaisanterie à grands coups de pioches, sans aucune délicatesse, dans une intrigue pourtant foisonnante de bonnes idées.



J'aurais aimé un rythme plus enlevé, débarrassé des lourdeurs, des répétitions et des longueurs. La facétie des cinq compères s'y prêtait à merveille. Malheureusement pour moi, la plume de l'autrice ne m'a pas convaincue. En compagnie de flics complètement idiots, j'ai regardé passer, perplexe, cet aréopage de "petits vieux" , poussant leur déambulateur, riant de tout leur dentier, courir de frasques en casses, aussi absurdes que grotesques.



 Je sais que l'autrice a lancé son équipe des Cinq dans de nouvelles aventures, pour le plus grand plaisir des amateurs. Personnellement, dans ce premier opus, l'émotion et l'amusement attendu ont laissé une place béante pour un agacement, grandissant au fil des pages. Aucune des personnalités de ce panel de petits vieux ne m'a touchée, ni la planification de leurs mauvais coups, dans les deux sens du terme. Pas plus que l'équipe dirigeante de leur résidence, d'une mauvaise foi évidente et d'une banalité à pleurer. On ne peut pas dire qu'une liaison entre le directeur marié et son assistante énamourée soit une idée d'une originalité renversante.



En conséquence, je n'irai, ni faire sauter la banque, ni prendre le large, avec ou sans perruque, en compagnie de cette bande d'affreux Jojos. Je souhaite à toute la fine (ou moins fine) équipe, plein d'autres aventures à offrir, mais sans moi !

Si j'avais trouvé le 1er tome assez loufoque celui-ci m'a ennuyée et je sais déjà que je ne lirai pas le 3ème.



L'histoire tourne en rond et se répète.

Ils volent avec une préparation minutieuse, ils perdent leur magot de la façon la plus idiote qui soit, alors ils volent ... bref vous avez compris. Moi aussi, hélas !



Si certaines scènes sont assez amusantes, si l'humour est présent, c'est parfois trop improbable et c'est surtout répétitif.

Je n'ai pas trouvé de plaisir à deviner à l'avance ce qui allait se passer.



Si vous recherchez une lecture qui sort des sentiers battus, qui soit un peu déjantée, alors n'hésitez pas à découvrir cette série :

- Comment braquer une banque sans perdre son dentier

- Le gang des dentiers fait sauter la banque

- Comment prendre le large sans perdre sa perruque

Catharina Ingelman. Comment prendre le large sans perdre sa perruque. Pocket. 2016. 500 p. 2 étoiles.

Arrêt de la lecture après quelques dizaines de pages. Apparemment soit je ne suis pas le bon public, soit je ne suis pas sensible à l’humour de cette auteure, soit j’aurais dû commencer par le tome 1.

Probablement cette raison-ci.

On parle d’un vol de plusieurs 10 aines de millions dans une banque de Stockholm. Réalisé par une équipe de vieillards. A l’aide d’un camion aspirateur poubelle.

Je trouvais l’idée sympa mais le déroulement est totalement farfelu, incohérent. Et finalement lassé, j’ai refermé le livre.

Ce roman a atterri dans mes mains lors d'un passage à Fécamp, je l'avais trouvé dans une boite à livres, attirée par la promesse d'un bon moment de lecture détente en compagnie de personnes âgées.

J'aurais dû me méfier des critiques de Elle et du Parisien en couverture et sur le quatrième de couverture.

"Ce récit très bien ficelé se dévore et amuse", "Quelle énergie chez ces joyeux drilles"... vraiment ?

Deux hommes et trois femmes s'ennuient dans leur maison de retraite, après avoir vu un documentaire, ils décident que la prison est une meilleure option. Afin d'y arriver, ils choisissent de faire un casse, puis de se dénoncer. Sur le papier, l'idée est amusante, enfin, le résumé. Pour ma part, j'ai plutôt "subi" cette lecture et la seule raison pour laquelle je suis allée au bout, c'était pour voir si la fin allait me surprendre. Ai-je été étonnée ? Même pas... je ne dévoilerai rien, mais ça ne casse pas trois pattes à un canard.

Les personnages ne sont pas spécialement attachants, et ça vaut aussi bien pour les principaux que pour les secondaires. Pour tous, j'ai eu l'impression que l'on restait en surface. J'aurais par exemple aimé que l'on détaille plus les réactions des enfants en apprenant que leur père ou leur mère est accusé d'un vol, mais c'est à peine évoqué.

Côté humour, je ne me rappelle pas avoir souri durant ma lecture. C'était laborieux, répétitif et très long pour finalement une intrigue qui ne valait pas de s'étaler sur 465 pages. Les policiers sont également d'une bêtise et d'une nullité affligeantes, rien ne vient pour moi sauver cette histoire qui aurait mérité plus de fantaisie pour être plus crédible étrangement. On est très loin d'un Ocean's Eleven au pays des personnes âgées, et c'est bien dommage.



Pourquoi lire Comment braquer une banque sans perdre son dentier ?



Ne comptez pas trop sur moi pour vous inciter à lire ce roman car rarement un livre m'a paru aussi long et dépourvu d'intérêt. Côté fantaisie, je préfère un auteur comme Romain Puértolas, pour le moment les écrivains nordiques me plaisent plus pour les romans policiers.
Lien : http://racontemoilalecture.o..

3 mamies et 2 papis décident de passer leurs vieux os dans une maison de retraite qu'ils avaient soigneusement sélectionnés.

Seulement il sait avérer que cela n'ai pas si bien que cela surtout depuis le changement de direction ui fait passer le profit avant le confort des résidents.

Un soir Marta tomba sur un reportage à la télé ou elle constata que les détenus de prisons étaient mieux traités qu'eux.

C'est alors que l'idée d'aller en prison germe dans son esprit. Elle en fait par à ses compagnons. Ces derniers sont partant.

De là, les retraités vont commettre l'impensable et s'ensuit une aventure drôles et complètement dingues.

Ce fut un roman très drôles et très distrayant

Un titre drôle et accrocheur, une chouette couverture colorée, un bon début d’histoire, bref, ce livre, et même ce premier tome de saga était plutôt prometteur !

Mais, au bout de plus de 100 pages, je ne sais pas, quelque chose dans le récit m’a fait abandonner… je n’étais pas aussi prise par le récit que je l’aurais souhaité, je me sentais frustrée de ma lecture… bref, j’ai préféré laisser tomber ce livre, et partir sur une autre lecture, je l’espère, plus prenante