Dernier tome où on s’attend à la résolution de toutes ces énigmes. Oui, on saura pourquoi lui mais pour le reste, pardon, mais y’a rien. L’histoire du couple propriétaire de l’île est à peine effleurée alors qu’il y avait matière. Les hallucinations on s’en bat les steaks. Une fausse piste arrive là comme un cheveu dans la soupe.

C’est plaisant à lire mais pas inoubliable.

Je vous ai embêté à décrire la couverture pour les deux albums précédents, là je ne vais pas le faire parce que tel que vous le voyez allongé sur son lit, il le restera pour le reste de l’histoire, ce n’est plus lui le personnage principal

L’histoire bascule dans l’épouvante un peu glauque. Encore une fois on le devine dès la couverture où notre héros est poursuivi par des femmes nues, la nuit.

D’autres secrets sont révélés alors qu’il n’y a pas de résolutions pour ceux évoqués au tome 1. Qu’est-ce qu’il fait là, pourquoi lui ?

A la fin on se demande bien comment il va pouvoir s’en sortir. Comme je suis curieuse je fonce vers le dernier tome.

Ce job qui a réellement existé (existe toujours ?) a de quoi faire déborder l’imagination paranoïaque pour une issue moins « meilleur job », dès la couverture avec cette eau sanguinolente, on se doute que cette aventure ne va pas être merveilleuse.

Après quelques pages de présentation des personnages et le passage de consignes pour les 6 mois à venir le héros se retrouve seul. Passons sur les effets de narrations, il est seul, pour que l’histoire ait un peu d’intérêt il faut bien utiliser des stratégies, il se parle donc à lui-même ou à un chien qui n’est pas censé être là (sorti de son imagination ?)

Puis il découvre quelques secrets, juste assez pour donner envie de lire la suite de l’histoire. Beau suspense