A Reykjavik un vieil homme est retrouvé assassiné à son domicile. Sur place la police trouve des documents qui montrent que la victime, Stephan Thorson, s’intéressait à une vieille affaire de meurtre remontant à 1944. Le corps d’une jeune femme avait été retrouvé derrière le théâtre national qui servait alors d’entrepôt aux troupes d’occupation américaines. A cette époque Stephan Thorson était un jeune soldat canadien de parents islandais qui collaborait avec l’inspecteur Flovent de la criminelle dans les affaires impliquant des Islandais et des soldats. Aujourd’hui c’est l’ex-inspecteur Konrad, nouvellement retraité, qui reprend toute l’enquête de 1944 pour essayer de comprendre comment elle a pu entraîner la mort de Thorson plus de 60 ans après.



Le roman fait des aller-retour entre 1944 et le temps présent. Nous suivons simultanément l’enquête de Flovent et Thorson et celle de Konrad ce qui fait que le lecteur a toujours un pas d’avance sur ce dernier. Le cadre historique est celui de « la situation », l’occupation de l’Islande par les troupes britanniques puis américaines pendant la seconde guerre mondiale. Représentants d’une prospérité inconnue sur place, les soldats américains séduisent facilement de jeunes Islandaises ; des fréquentations très mal vues par la population locale, encore plus quand une jeune femme « dans la situation » se retrouve enceinte hors mariage. C’est aussi une époque de fort exode rural vers Reykjavik.



J’ai apprécié cette lecture et son rythme tranquille, l’ambiance de ce petit pays où quasiment tout le monde se connaît. Passage des ombres est le dernier épisode d’une trilogie dont j’avais déjà lu le premier tome qui m’avait moins plu. Il mettait aussi en scène Flovent et Thorson. Les trois peuvent se lire séparément.
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Islande, 1941. Un homme est retrouvé assassiné dans un appartement, une croix gammée tracée sur son front.



On a connu Arnaldur Indridason plus inspiré. L'histoire, entre enquête policière et récit d'espionnage, tient plutôt la route, malgré une certaine absence de rythme et un aspect parfois confus. La dimension historique, avec le chamboulement que représente pour les islandais, l'arrivée des soldats britanniques, puis américains, est assez intéressante. Mais côté écriture par contre... beaucoup de répétitions, des dialogues d'une grande platitude. C'est franchement décevant...



"Dans l'ombre" constitue le premier volet d'une trilogie. Si le reste est du même acabit, pas sûr que cette série attire la lumière...

Dans ce second tome, l'auteur continue de fouiller dans le passé de l'Islande pour en ressortir des événements troubles.



L'auteur décrit des personnages aux existences sordides.



L'intrigue est bien menée et le dénouement de ces deux affaires (le meurtre d'un jeune homme et la découverte d'un homme noyé) est assez surprenant.



Je ne m'attendais pas du tout à cela.

J'ai beaucoup aimé cette histoire qui se passe pendant la Seconde Guerre Mondiale en Islande.



Je ne connais pas du tout ce pays et du coup, la période décrite dans ce livre c'est-à-dire l'occupation de ce pays par les Britanniques et Américains.



L'auteur décrit la différence entre l'effervescence de la capitale avec la présence de tous ces étrangers qui entraîne des bouleversements dans la population ("la situation" : relations entre les soldats et la population féminine) et la campagne où la vie suit son cours (c'est le temps de la fenaison) avec ses traditions immuables.



"Prenant, authentique, fascinant" (Harlan Coben)

Un vieil homme meurt seul dans son appartement de Reykjavik. Intriguée, la police découvre que cet ancien policier était encore hanté, des décennies plus tard, par le meurtre d’une jeune fille pendant les années de guerre. Le dernier volet de la ”Trilogie des ombres”, qui oscille entre présent et passé et lève le voile sur des mythes islandais et certains aspects peu glorieux de son histoire, est certainement le plus percutant, troublant et touchant de la série.

Un bateau qui part de Finlande pour rapatrier les citoyens islandais pris dans la guerre, deux étudiants raflés par les nazis, un soldat inconnu défiguré… Le second volet de la ”Trilogie de l’ombre” est certes plus prenant et mieux construit que le premier, et réserve une surprise au lecteur, mais qui est malheureusement trop vite éventée, menant ainsi à un final attendu. Dommage.

Au cœur de la seconde guerre mondiale, l’Islande sert de tête de pont aux armées britanniques puis américaines face à l’Allemagne. La rumeur d’une visite de Churchill se met alors à circuler à Reykjavik. Espionnage, contre-espionnage, assassinats… un roman, premier d’une trilogie, à l’action relativement lente mais cependant prenante, aux personnages plus complexes qu’il n’y paraît et qui plonge le lecteur dans une réalité historique peu connue.

Voici LE livre que j'attendais 😅



Celui qui me ferait dire "Mais ce n'est pas possible", "Mais non". Le livre le voici. 😡😡



Cette chronique vous est présentée par:

Le pudding de Roger , aussi mou que son créateur" 🍮



Bah oui, comme ce livre . On aurait pu l'appeler Le creux, le vide, le trou, L'inconsistant. 🤬🤬



Pitch rapide : Un homme, une balle dans la tête, les nazis, l'Islande, les enquêteurs. 🩸🔫🪖



Sauf que... bah le sang tient sur une page, les nazis bah on nous vend du tonton Adolf, mais j'en ai pas vu le bout de la moustache. 🤔🤔 Tu m'aurais dit "Nous sommes en 1960 dans le gîte de tata Suzanne" je t'aurai dit "Oui oui".



Les enquêteurs sont aussi énergiques que des limaces sous Xanax. Et cette fin de crotte. Oui, je le dis clairement. Je suis déçue en colère et complètement admirative du gâchis que celle ci provoque. 🤬🤬



Quand on écrit un livre c'est pour avoir une fin ou un clifangher de malade pour un tome suivant.... Mais là. Non, non et re non. 😭😭

Pourtant j'ai eu de véritables coups de coeur pour les autres livres de l'auteur mais là, je n'adhère pas, c'est lent, c'est rébarbatif. 💤💤



Et le truc pénible ce sont les questions incessantes de l'un des enquêteurs.C'est le même recommencement à chaque page.Les points d'interrogation étaient en solde chez Lidl ou quoi? Franchement j'ai perdue mon temps à travers 383 pages de .... rien