Découvrir

Un coup de cœur pour ce premier roman qui mêle les destins de trois femmes à trois époques différentes, mais toujours dans le cadre fascinant de Pondichéry.
Nous rencontrons tout d'abord Alice en 1930. La jeune pianiste va rejoindre son mari médecin qui dirige une léproserie. Ensuite c'est Oriane en 1950 qui fait le voyage afin de renouer avec son enfance. Enfin Céline en 2012 qui s'est engagée dans une mission humanitaire. Cette sage-femme cherchait à fuir son passé en France.
On devine évidemment que leurs destins sont liés mais l'autrice réussit à maintenir le suspense jusqu'à la fin.
Leurs vies sont passionnantes et on ne peut que partager leurs sentiments, leurs surprises et leurs questions lorsqu'elles racontent cette ville envoutante.
C'est bien sûr ce qui m'a plu dans ce roman, mais je dois ajouter que tous les éléments à la fois historiques, économiques, politiques ou encore sociétaux que l'autrice intègre dans sa narration sont également très pertinents, enrichissants (tant pour l'intrigue que personnellement) et finement amenés.
Un grand merci à Babelio et aux éditions Buchet Chastel pour cet excellent moment de lecture.

Bel hommage à ce héros de la résistance, Le dessin est réaliste et dégage assez de puissance et d’intensité grâce à la force du noir, du coup de pinceau. L'histoire reste assez linéaire, elle relate les faits connus, la partie scénarisée est assez discrète. Ça se lit vite, c’est avant tout didactique et clair, sans trop d’extrapolations hasardeuses. C’est important de faire connaître ce personnage, celui de l’étranger qui se bat pour notre pays, pour nos valeurs, pour la liberté de tous. Maintenant, cela reste assez en surface, le dossier en fin de livre est plus complet. Je reste sur ma faim, c’est plutôt une lecture pour jeunes ados, j’aurais aimé que cela aille un peu plus en profondeur ou ressentir plus d'émotions.

C'est un avis à froid, puisque j'ai relu la saga entièrement deux fois, donc je me dis qu'il est temps que je vous partage l'amour que j'ai pour La Passe Miroir.

Nous avons dans ce premier tome toutes les bases de l'univers, très riche et surprenant. Nous sommes presque dans un style steampunk agrémenté d'un je-ne-sais-quoi extraordinaire.

Je ne vous fais pas un résumé, puisque vous avez dû le lire 100 fois si cette saga vous intéresse.

Si dans un premier temps Ophélie n'est pas très convaincante en héroïne, et que cette histoire de mariage forcé n'est pas originale... Ne vous arrêtez pas là !

Les personnages évoluent au fil des pages, se découvrent. On ne peut que s'attacher à eux. Ophélie qui n'est pas très mature, apprend vite et reste elle-même malgré ses péripéties. L'intrigue est complète, et plus profonde qu'il n'y parait.

Et puis, c'est si bien écrit. Le travail de Christelle Dabos est considérable, et c'est en relisant le tout une seconde fois, qu'on se rend réellement compte de tous les indices parsemés au fil des tomes.

C'est vraiment LA saga que je recommande à toutes les personnes souhaitant lire du fantastique, et j'ai réussis à faire lire à quelques personnes de mon entourage !!

Lisez La Passe Miroir

Ce roman bouleversant décrit les drames qui ensanglantent le Proche-Orient. Deux pays qui auraient besoin que Les Uns et Les Autres (comme l'auteur les nomme) s'entendent enfin. Ce livre écrit avant le drame du 7 octobre 2023, nous entraine dans une région de tourments, de douleurs et N. le héros vit un tourment personnel car il souffre d'une amnésie complète sur son passé. Il rencontre un grand nombre de personnages tous très différents : des femmes de grande beauté érudites, engagées ou militantes, des hommes philosophes, des sages, des religieux mais aussi des hommes pervertis. N. à la recherche de son identité passée voyage, fait des rencontres et nous force à nous questionner sur notre conception de la vie. Ce livre foisonne de rebondissements, de situations fantastiques dans un cadre ou la mer joue un rôle important. On ne quitte jamais le chemin parcouru par ce héros extrêmement cultivé, modèle d'humanité.
Lien : https://babelio.com

Une série de 28 nouvelles, beaucoup trop courtes (même pour des nouvelles) à mon gré sur le thème de la révolution d'octobre - ou novembre selon le calendrier russe - 1917 et années suivantes jusqu'à notre époque :
1) Un tueur fou au service de nostalgiques staliniens ;
2) En Russie à l'époque ;
3) Art "dégénéré", bien dans l'ambiance de l'époque ;
4) Allemands et Français côte à côte, cela n'a pas duré pendant cette guerre, hélas ; et hommage à Guillaume Apollinaire ;
5) Comment Clémenceau aurait fait monter la révolte en Alsace pour affaiblir l'Allemagne mais elle se retourne contre la France : réalité ou fiction ?
6) Un micro-cravate fait buguer Mélenchon ;
7) Pédophilie ;
8) Infidélité(s) de Lénine à Paris ;
9) Ménage à trois de Lénine, suite ;
10) Mutinerie à l'image du cuirassée Potemkine ;
11) Un membre du grand syndicat des travailleurs américains à Moscou ;
12) La vie d'un enfant du siècle ;
13) D'actualité avec la commémoration du réseau Manouchian ;
14) Apparition historique de Mélenchon à Moscou à l'époque : son hologramme fait jaser ;
15) La guerre continue en France pendant la Révolution en Russie ;
16) La cocasserie vire au drame ;
17) Ultramoderne et vraiment trop étrange ;
18) Après l'Arménie, l'Espagne : enquête sur le franquisme dissimulé ;
19) Policier soviétique ;
20) La très émouvante histoire d'un jeune poilu et du souvenir qu'il a laissé ;
21) Plaidoyer contre la guerre par l'histoire d'un paysan ;
22) Le Paris de la 1ère guerre mondiale, avec un glossaire
23) La vie de notre époque et ses méfaits ;
24) L'histoire en marche avec un américain à Pétrograd ;
25) Un révolutionnaire ;
26) Lénine et se femmes et l'empoisonnement des opposants (les méthodes n'ont pas changé) ;
27) Émeutes en Alsace ;
28) Fiction ou réalité ,

France, 1780.
Yolande Raynal est chassée par sa famille d’Auvergne. Elle est envoyée chez sa tante, à Paris. Livrée à elle même, la Révolution éclate. Un jeune homme, chirurgien de renom, s’éprend d’elle. Union inespérée, Yolande va voir sa vie basculer.

Découvrir la France durant la révolution française est un défi que l’auteure a su relever avec brio ! Les précisions historiques sont nombreuses, et elles immergent le lecteur dans ce Paris révolté.

Yolande est une femme très attachante, que la vie n’a pas épargnée. Cette femme, tout d’abord chassée par son père puis mariée à un homme à la personnalité ambivalente, le lecteur suit sa vie. Au fil des amours, des passions et des déceptions ! 🧡

Je me suis attachée à cette femme, et c’est avec regret que je l’ai quittée en refermant ce roman.

Une recherche de liberté, d’émancipation.
Attention, aux fauves, ils ne sont pas toujours ceux que l’on croit être.

La psy 🛋
|2024 ~ lecture n°40|
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Dans la même lignée que La femme de ménage et Les secrets de la femme de ménage, nous retrouvons le schéma qui avait fonctionné pour les deux précédents romans de l'autrice.
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L'autrice nous manipule comme elle manipule ses personnages et comme ses derniers se manipulent entre eux. J'avais pressenti quelque chose à la page 58, mais mon intuition s'est avérée fausse 😬
Un véritable page-turner !
Je l'ai quasiment lu en une seule fois tellement j'étais prise dans l'histoire et surtout parce que j'avais très envie de connaître la fin. Les chapitres courts facilitent aussi cette envie de le dévorer littéralement.
Un thriller psychologique parfait 🤯
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Si vous avez aimé les deux précédents romans de l'autrice, je vous conseille également de lire celui-ci.

J'avais adoré les précédents livres de cet auteur mais celui-ci me laisse mitigée. Des objets connectés c'est devenu commun dans notre société mais qu'ils puissent être manipulés à distance par une personne je trouve ça un peu gros. Voulant connaître le "manipulateur" j'ai été jusqu'à la fin mais il ne me laissera pas un souvenir impérissable

La dernière allumette ❤
|2024 ~ lecture n°42|
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Après avoir lu de très nombreux avis sur ce roman, j'ai craqué et je me le suis offert. Je pensais dans un premier temps attendre sa sortie poche mais j'étais très intriguée par ce qu'il en était dit par ici. J'aime tout particulièrement la plume de Marie qui est douce, mais qui aborde des sujets forts.
Ce roman est bouleversant. Je l'ai lu la boule au ventre. À certains moments les larmes aux yeux 🥺
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J'ai aimé le format du roman en alternance entre récit, extraits de carnets, rendez-vous chez le psy. Alternance également entre passé et présent.
C'est une histoire forte émotionnellement parlant.
Une lecture addictive, impossible à lâcher. Je voulais tellement savoir comment chaque personne allait s'en sortir que j'ai lu ce livre en une seule journée.
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Un roman rempli de vérités, de dénonciations. Un immense coup de cœur ♥
Un roman qui bouleverse et qui remue, qui est poétique et parfois très abrupte.
Un roman qui vous mène en bateau car finalement les apparences sont parfois trompeuses...

La maison des mensonges 🪟
|2024 ~ lecture n°43|
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Ce sentiment particulier quand tu refermes un livre et que tu ne sais pas si tu as aimé ou si tu n'as pas aimé.
C'est le sentiment que j'ai ressenti en refermant ce thriller psychologique très prometteur.
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L'histoire tirée par les cheveux est remplie de détails, certains trop superflus et peu pertinents.
Mais c'est addictif, j'ai eu envie de savoir ce qu'il en était des mensonges dans cette maison 🏠 même si j'avais pressenti certaines choses.
C'est un bon thriller psychologique mais j'en ai lu des meilleurs.
Une accumulation de faits rendant l'histoire bien trop improbable à mes yeux. De plus, je n'ai pas réussi à m'attacher aux personnages.

Léa est nouvelle à Shadyside et vient d'emménager dans une vieille maison que ses parents font retaper. Elle est fascinée par une pièce barrée dans le grenier. Elle attend des bruits de pas durant la nuit dans le grenier. Elle veut savoir ce qui se cache dedans. Une histoire simple et entraînante mais que j'ai déjà lu et vu plein de fois, pour ça que j'ai donné cette note.

TOUT LE MONDE N'A PAS LA CHANCE D'AIMER LA CARPE FARCIE de Elise Goldbeg "Verdier éditeur. 2023" 160 pages


Tout d'abord mettons en garde le lecteur.
Qui n'est pas au fait de la culture juive sera submergé par des termes incompréhensibles.
Si pas intéressé, s'abstenir ! Ne perdez pas votre temps.

Mais comme il s'agit de mon domaine de prédilection je ne peux m'empêcher de vous narrer ce curieux texte.
Pour faire faire bref, les tribus d’Israël se séparèrent en deux groupes lors de la première diaspora : au sud les séfarades, ceux chez qui la cuisine fleure l'huile d'olive et ses dérivés.
Au nord (Russie Pologne et alentours ceux qu'on appellera les ashkénazes.
Ils s’adaptèrent aux coutumes de leurs hôtes hébergeurs, adaptèrent leur mode de vie et leur cuisine. Ils furent déjà victime de pogroms... moins peut-être que les séfarades, eux aussi victimes d'un islam moins agressif.
Ici, l'auteure nous parle de sa famille en "arkhénasie". Là, les cuisines sentent la graisse d'oie et de mouton mais aussi la fameuse carpe farcie, plat traditionnel de la soirée du sabbat.
Qui n'a jamais goûté cette abomination ne sait pas ce que souffrir veut dire. Et pourtant, nos frères de la première religion monothéiste semblent se recueillir devant ce plat odorant tout comme un belge devant un paquet de frites avec une montagne de mayonnaise.

Ici l'auteure jette sur le papier, en vrac, des fragments de la diaspora, de sa famille et des repas. Le moment principal de la vie d'un israélite c'est le soir du Sabbat. Le pain azyme est rompu, partagé et puis les plats se succèdent car c'est la fête du peuple. Celui là même qui échappa aux pogroms, aux rançons et bien sûr au nazisme.
Bien sûr d'autres nombreuses fêtes parsèment la vie religieuse ou sociale des hébreux : Roch Hachana, Yom Kippour et bien sûr la Pessa'h mais aucune ne rivalise avec cette soudure qu'est Sabbat. Ce moment se vit par les pratiquants mais aussi par ceux qui ont pris du recul vis-à-vis de la religion.
Mais tous dansent ensemble après le repas, fiers et heureux d'avoir traversé les millénaires.

Merci à l'auteure ce rappel de l'histoire, ces fragments de vies pas toujours drôles que les enfants d'Israël ont toujours pu enjoliver dans les larmes du souvenir.

Promis, juré🧵🪡
|2024 ~ lecture n°44|
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Un roman qui fait du bien.
Un roman rempli d'humanité.
Un roman qui fait sourire.
Un roman qui fait pleurer.
Un roman qui touche.
Un roman inoubliable.
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Dylan, Norma et Martine sont si attachants. Rien ne les prédestinait à se rencontrer, mais la rencontre va s'avérer inévitable et elle va bouleverser leur quotidien.
Je crois que ce roman a touché quelque chose en moi car je me suis beaucoup reconnue dans la personnalité de Norma, elle qui ne trouve pas sa place, elle qui veut atteindre encore et toujours la perfection, elle qui est en recherche de reconnaissance et de valorisation.
Dylan quant à lui est touchant car bienveillant et il a à cœur de rendre ce monde un peu meilleur. Un vrai distributeur de câlins.
Martine dans sa fragilité et ses "Martineries", toujours de bons conseils.
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Je savais que je l'aimerais mais pas qu'il me toucherait autant ♥
Merci pour ce roman incroyable !
Si vous ne connaissez pas les romans d'Isabelle, si vous voulez découvrir sa plume ou la redécouvrir, c'est le roman qu'il vous faut. Promis, juré vous allez l'aimer !

Un roman historique intéressant, comme témoignage de la vie au Japon après la Seconde Guerre mondiale.
Nous suivons dans ce roman plusieurs personnages qui vont être amenés à se croiser dans le Tokyo dévasté de l'année 1946/1947 et occupé par les américains.
Ce qui m'a un peu déroutée, c'est qu'il n'y a pas vraiment d'intrigue à proprement parler. Le traducteur des lettres d'amour, évoqué dans le titre, n'est donc qu'un des nombreux personnages que l'on croise entre les pages. Il y a Aya et son père, qui quittent le Canada après les années en camp d'internement pour retrouver le Japon. Difficile pour Aya de se fondre dans une culture qui n'est au final pas la sienne. Il y a Fumi, qui devient la camarade de classe d'Aya et qui cherche désespérément sa grande sœur, disparue alors qu'elle travaillait dans un dancing accueillant des américains. Nous suivons également Kondo, professeur des deux jeunes filles et, à ses heures perdues pour avoir un peu d'argent, traducteur des lettres d'amour que les GI envoient à leurs furtives conquêtes japonaises. Et enfin, Matt, un GI sino-américain qui travaillent au service de traduction des lettres de doléances destinées au Général MacArthur.
Tous ces destins se croisent et s'entraident, nous permettant ainsi de voir l'étendu des enjeux que traversent les différentes strates de la société japonaise.
Pas d'intrigue palpitante donc, mais un roman très intéressant dans les thèmes historiques abordés avec des personnages touchants, que j'ai aimé découvrir.

Un livre pour ados qui aborde le sujet de la drogue de façon très directe, c'est-à-dire en mettant bien les pieds dedans !
Par l'intermédiaire de plusieurs protagonistes, on plonge au coeur de la psyché de chacun, de la décision de départ, à la découverte, l'euphorie, puis les déconvenues et la plongée dans l'enfer de l'addiction à l'héroïne.
Un livre dur, qui ne laissera pas indifférent et que l'on pourrait même hésiter à mettre entre les mains de ses enfants, que l'on voit encore si jeunes…
Mais d'un autre côté, comme le dit l'auteur à propos de son oeuvre : « Je pense qu'il est préférable que les jeunes n'entendent pas parler de la drogue pour la première fois le jour où quelqu'un essaiera de leur en vendre ».
PS : Si ce livre à des airs de Trainspotting, il est tout de même plus soft et reste adapté à des ados.

Que dire de ce livre à part qu'il m'a totalement conquis. Etant un fan de science-fiction, la 4eme de couverture m'a tout de suite plu. Mais dès les premières pages ce fut directement un coup de coeur que j'ai eu. L'histoire m'a passionné, surpris, et chaque page me donnait envie de découvrir la suite de l'histoire. le plus de ce livre, c'est qu'il y a des illustrations afin de mieux visualiser le contexte de l'histoire entre les lieux mais aussi certains personnages.
Si vous êtes fan de science-fiction, ce livre vous plaire à coup sûr !
Lien : https://lextestweb.wordpress..

J'ai choisi cette BD sur recommandation de ma libraire, je voulais une BD qui parle d'environnement. Parmi les différentes qu'elle m'a proposé, celle-ci m'a tapé dans l'œil de par son style graphique très travaillé, que je trouve vraiment très beau.
A la lecture, c'est d'ailleurs le gros point fort que je retiens : les illustrations sont très belles, légères, onirique par moment. L'histoire est intéressante, mais j'ai personnellement regretté le format repris qui est pour ainsi dire celui d'une classe de cours. J'aurai préféré que les auteurs reprennent le propos mais en modifiant la façon de le raconter, je trouve que ça se prête difficilement à ce qu'on attend d'une BD (en tout cas moi) : quelque chose de facile à appréhender, avec des textes plus succincts et moins philosophiques.
Ça reste une très belle proposition cependant !

Alors pour commencer, il faut savoir qu’on m’a offert ce livre et que je n’ai compris qu'à partir de 100 pages que c’était le tome 8 de la saga !!! Il peut très bien se lire sans avoir lu ceux d’avant mais ça spoil complètement donc je ne le recommande pas si vous avez prévu de découvrir toute l’histoire de Martin Servaz. Et franchement je pense la découvrir quand même car j’ai trouvé ce livre très bien mené, on ne s’ennuie jamais et pour moi un bon thriller est un thriller que tu termines à 4 heures du matin car tu ne peux pas dormir sans connaître le dénouement ! Le seul point négatif que j'aurais donné c’est le plot twist final qui ne m’a pas convaincu mais bon pour ce livre je dirai bien que le voyage comptait plus que la destination !
Lien : https://saladedelivre.com/

Nous sommes bien loin ici de la Hard S.F. qui est en vogue aujourd'hui. Le Monde du Fleuve est une ballade onirique, presque métaphysique, mais toujours fascinante. Un indispensable de la S.F. et un auteur majeur, dont l'oeuvre fut éclectique, surprenant et jamais ennuyeuse.