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Critiques de Arolf et Ereg (125)
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Bloodline, tome 2

Après un premier tome qui pose les bases d'un monde où vampires, lycans, alchimistes, humains, tentent de vivre ensemble en paix sous la vigilance de la STARKE, agence mondiale de surveillance inter-espèces, nous retrouvons nos héros après les évènements survenus au Royaume-Uni.



Michael, de retour à Venise avec un souvenir écossais dans ses bagages, doit désamorcer la menace qui place sur son neveu et son compagnon : les deux immortels sont dans le collimateur de la STARKE et sont traqués par l'un de leurs agents, un Lycan bien décidé à prouver leur culpabilité. Mais qui se cache vraiment derrière tout ça ?



A Berlin, James est tiraillé entre son enquête sur l'Etoile et ce qui le lie à Shango : la mission que lui confie son supérieur l'envoie en Mongolie, alors que la meute de l'éthiopien arrive enfin. Mais leur brusque entrée en scène va bouleverser ses plans et l'obliger à faire appel à Bénédict.



Heinrich, le jeune hybride confié à la STARKE, supporte les tests que lui imposent les scientifiques de l'organisation pour mesurer l'évolution de sa mutation. Mais le retour d'un certain alchimiste risque de bouleverser le fragile équilibre qu'il a réussi à maintenir tant bien que mal et il pourrait bien se laisser submerger par sa part la plus sombre.



Benedict Rosebury, accompagné de Tarkan et de deux membres fidèles de sa meute, va se retrouver chargé par James d'aller porter un message à un mystérieux alchimiste au fin fond de la Mongolie. Mais pour ça, il devra passer par Moscou, où il va retrouver de vieux alliés de son clan... mais aussi des ennemis redoutables dont il aspire à se venger.



L'étau se resserre autour de l'Etoile et l'organisation criminelle va alors contre-attaquer d'une façon spectaculaire. Mais la révélation du mystérieux alchimiste retrouvé au fin fond de la Mongolie pourrait bien changer la donne... en bien ou en mal.



D'ailleurs, on en parle de cette fin ? Vous êtes sadiques les gars !!!



Un deuxième tome haletant, où Axel et Evan nous imposent un rythme effréné, entre l'Allemagne, la Russie, l'Italie et la Mongolie. Tout s'enchaine, avec les points de vue alternés de James, de Benedict, de Michael et d'Heinrich. On essaie de démêler l'écheveau des faits et des révélations au fil de l'avancée des évènements, mais à chaque fois, les auteurs, avec maestria, nous entrainent dans une autre direction. Mais on commence toutefois à distinguer une ligne dans cette conspiration mondiale... ou pas, connaissant l'esprit retors et machiavélique d'Axel et Evan, gageons qu'ils vont encore nous faire tourner dans tous les sens dans le prochain (et dernier ?) tome.
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Sweet home

[SERVICE PRESSE]







Sweet Home de Axel Rolf et Evan Regan





Je remercie chaleureusement le duo pour ce service presse.





Mon résumé :



Ash est au bord du précipice. Sa vie est un fiasco et le suicide, sa seule solution. Mais voilà que débarque Jordan et son arrogance sans pareille. Jordan vit la nuit, cuisine, n’est pas pudique, fume et l’agace au plus haut point. Lui ? Son colocataire ? Sûrement pas. Les deux hommes apprennent à se connaître et il se pourrait bien que Jordan ne soit pas vraiment celui qu’il prétend être.





Ashley ‘Ash’ Diaz est un jeune homme brisé par une enfance chaotique. Adolescent, il assiste à un accident dont il endosse la responsabilité. Depuis des années, Ash végète chez lui, ne sort jamais et passe son temps devant la tv ou sa console. Gamin brisé, suicidaire, il s’enfonce chaque jour un peu plus.



Jordan débarque un soir à San José, chez Ashley Diaz, pour emménager en collocation avec elle. Sauf que Ashley est un garçon, sexy malgré la manière dont il se néglige, sans parler du capharnaüm qui règne dans la maison. A force d’impertinence, de piques et de plats cuisinés, Jordan va réussir à percer la carapace de Ash. Sauf que Jordan lutte, lui aussi, contre ses propres démons.





Mon ressenti final :



Honnêtement, ce roman est une perle.



Dès le premier chapitre, je suis happé par l’atmosphère qui se dégage des lignes écrites par ce duo d’auteurs que je découvre. Jordan m’a tout de suite plu. Arrogant, tenace, il chauffe Ash dès qu’il le peut. J’ai adoré son impertinence, son impétuosité et son acharnement à faire réagir Ash. Le personnage est bien ficelé, mystérieux mais en même temps, on sent le roc, le gars solide.



Ash est complètement détruit. J’ai aimé en apprendre plus sur lui au fur et à mesure de l’histoire. On le découvre au bord du gouffre, rongé par une culpabilité qu’il s’inflige mais dont on ne sait rien. Au contact de Jordan, il s’ouvre doucement, lentement et c’était vraiment génial de voir cette espèce de renaissance prendre vie au fil des pages.



Je ne suis jamais ennuyée à la lecture de ce roman. Tout s’égrène lentement, savamment écrit par un duo d’auteurs à la plume mature et familière. Aucun temps mort dans cette romance un brin surnaturelle mais dosée à la perfection. Les garçons s’accrochent à ce qu’ils peuvent pour remonter la pente et sortir la tête de l’eau. J’ai apprécié que lorsque l’un des garçons est au plus mal, l’autre devient son pilier. Les rôles s’inversent de temps à autre, au milieu de scène érotiques nombreuses mais tout à fait nécessaires à l’histoire. Rien n’est laissé au hasard, tout à un sens dans le couple formé par ces deux âmes brisées.



Le côté paranormal du roman arrive sur le tard, car les auteurs ont pris soin d’installer l’intrigue et nous sommes alors attachés au couple depuis longtemps. Je n’ose pas en dire plus, de peur de spoiler cette romance addictive et parfaitement écrite. Je ne vois aucun point négatif à soulever, j’ai clairement apprécié ma lecture.





Si tu veux venir faire le ménage chez Ash et Jordan, c’est ici : https://amzn.to/3cEyKTU
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The silence of Crescent Lake

Etats-Unis, Etat de Washington, Port Angeles.

A 18 ans, lors du divorce de ses parents, Josh Mason a choisi de suivre sa mère à Seattle. Deux ans plus tard, il revient passer l’été dans la ville qui l’a vu naître, poussé par l’envie de renouer les liens avec son père. Loin de sa vie trépidante d’étudiant, il profite aussi du calme et des longues balades autour du lac Crescent pour digérer sa récente rupture avec Deborah.

Duncan Sullivan tente de garder la tête haute jour après jour. Gay, une mère qu’il aime mais qu’il traine un peu comme un boulet, il enchaine les petits boulots. Son job actuel d’employé à la cabane de location de bateaux du lac Crescent lui permet de profiter du grand air et de sa passion pour les poissons.

Venu avec son père et son frère louer une barque pour aller pêcher, Josh va croiser le regard de Duncan, son ancien camarade de lycée. Et ce sont deux mondes qui vont entrer en collision : le fils du shérif local, étudiant plutôt brillant, citadin vivant dans une grande ville et le mec à la réputation sulfureuse et au casier chargé. Mais ça matche, et les deux jeunes hommes vont commencer à trainer ensemble, à se rapprocher… dans la chaleur moite de l’été, au bord du lac Crescent.

Mais ce qui se passe à Port Angeles doit rester à Port Angeles…

Duncan est attachant, il garde la tête haute devant les attaques, devant la bêtise, la violence, il ne voit pas d’avenir et sa seule bouffée d’air est son vieil ami Chris, qui se montrera d’ailleurs plus qu’à la hauteur. Et voir réapparaitre son crush du lycée le trouble et le fragilise.

Josh parait au premier abord plus immature, plus fort. Mais ses insécurités ne sont pas très loin et revoir Duncan fait remonter des souvenirs et des sensations qui le font s’interroger sur ce qu’il est prêt à assumer…

Je suis totalement fan de l’écriture de ce duos d’auteurs et j’ai une nouvelle fois été embarquée. La romance est douce, actuelle, contemporaine, cet été au grand air avec ses grandes ballades autour du lac fait du bien (surtout en ce moment…) et j’ai tourné la dernière page avec un sentiment de regret car j’avais l’impression de quitter deux amis, tant les auteurs les ont rendus réels.

Un grand merci à Axel Rolf et Evan Regan, fort sympathiques, pour leur confiance et pour ce service presse.
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Le prince maudit

Nouveau genre auquel s'attaque le duo et pour une première, c'est une réussite... cela dit, j'avoue que j'étais assez sereine quand j'ai attaqué le roman, totalement confiante que je suis dans le talent des auteurs pour proposer à chaque fois un univers ficelé aux petits oignons.



Et une fois de plus, ça a matché. J'ai plongé à deux pieds et à deux mains dans cet univers sombre, froid, où se mêlent complot, trahison, loyauté, combats, magie, légendes, rancœur, famille, amour, secrets, animaux fantastiques, jalousie, machination... à tel point que je me suis forcée à trainer pour ne pas le finir, tout en étant tiraillée par l'envie de connaître la fin.



D'autant que le roman est construit sur un espèce de faux rythme qui peut paraitre très lent, les auteurs prenant le temps de poser toutes les pièces de leur partie qui se joue vraiment dans les derniers chapitres, quant tout s'enchaîne et tout s'emboîte parfaitement, nous amenant exactement là où ils voulaient nous amener, chaque personnage, qu'il soit principal ou secondaire, trouvant enfin sa place.



Comme à chaque fois que je termine un roman du duo, je me demande ce qu'ils vont nous réserver pour la suite, vers quoi ils vont partir, dans quel univers ils vont aller, mais une chose est sûre, c'est que je serais de l'aventure.



Bref, encore un grand merci de votre confiance, et continuez à nous embarquez avec vous dans votre univers, vous devez d'ailleurs déjà être en train de nous concocter d'autres pépites...
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Le prince maudit

« Dès le premier jour, je l'ai aimé. » Melkan



Premier roman fantasy écrit par le duo Axel Rolf/Evan Regan et je vous avoue qu’en tant que friande de tout univers médiéval côtoyant de près ou de loin l'ambiance de certains jeux vidéo qui m’ont bercée... j’ai été conquise par cette lecture de bout en bout.❤️



⚔️L’histoire retrace la vie chargée de deux demi-frères puisque, en effet, on a affaire ici à deux princes.



Le premier, Melkan, surnommé le Porteur de Lumière, est un héritier exemplaire, brave et acclamé par les siens, en plus d’être le général de l’armée azurine chargée de protéger les contours du royaume d’Eldora.



Le second en revanche, Adris, apparaît comme son ombre. Fougueux et rongé par la colère, il troque tant bien que mal sa crise existentielle contre des actes de rébellion, alimentant malgré lui sa réputation de Prince Maudit.



Deux hommes différents sur tous les points, poussés à se confronter, tiraillés entre leurs désirs et leurs devoirs, criblés par les mœurs, qui se sont pourtant aimés tendrement il y a encore un temps... Alors comment se fait-il que ce soit un lien épineux qui les relie désormais ? Et quelles sont ces mystérieuses forces obscures qui infestent Eldora ?



Vous l’aurez compris, cette lecture a été pour moi un énorme coup de cœur, car tous les ingrédients d’un pur conte fantasy répondent présents à mes yeux, illustrés une fois de plus par deux plumes percutantes et riches en émotions : des chevaliers, une histoire d’amour à la fois tragique et puissante, un troisième protagoniste mystérieux, des personnages secondaires intrigants ou détestables, la royauté, l’inégalité aberrante entre les nobles et le bas peuple, la présence de la magie, des combats épiques et sanglants menés à dos de lion et de loup, des complots, une forêt mystique... Oui, tout est là pour mon plus grand bonheur !



Au niveau des personnages, j’ai une grande préférence pour Melkan qui est contraint de sceller ses émotions à double tour afin de suivre les convictions que le roi et les religieux lui incombent. Il y a quelque chose de très fort avec ce personnage qui souffre intensément de son conflit interne parasité par une trop lourde responsabilité. En toute honnêteté, il est devenu l’un de mes protagonistes préférés dans le monde littéraire.



Bien entendu, j’aime beaucoup Adris aussi, d’autant plus que c’est un ami des loups et que sa rancœur est plus que compréhensible au fil des rebondissements et des réponses apportées. Car oui, l’histoire, en plus d’être pourvue d’un lore généreux côté développement, bénéficie également d’un rythme fluide. Ici pas de « Voilà, c’est le royaume de tout ça, il y a 47 sortes de plantes, 3 eaux différentes et tout ça... ». Non, ici on a une fantasy qui se concentre d’une façon efficace sur l’univers et les personnages. Contrairement à Melkan et Adris, aucun point ne fait de l’ombre à un autre.



Conclusion :



« Le Prince Maudit » est devenu incontestablement une de mes romantasy préférées, une pépite qui a su proposer une épopée haletante et parsemée de scènes émotionnelles, le tout agrémenté à une très belle histoire d’amour. En bref, une lecture que je vous conseille à 100 % !
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Il était une fois, tome 4 : Snow White

🖤🍎 coup de cœur empoisonné 🍎🖤



👑 conte moderne 👑



Snow White est adolescent, partage sa vie avec son beau père et sa tante dans le manoir familial bordé d’un verger aux nombreux pommiers. Mais Snow White a perdu sa mère et depuis s’est perdu lui-même, disparaissant un bon matin. L’enquête commence et Hunter , détective, va devoir composer avec la sherif du coin. Le décor est superbement planté.



🔎 nous n’irons plus au bois…🔎



Avec ce titre je me suis amusée à relever tous les clins d’œil à Blanche Neige, et ils sont nombreux ! C’est astucieux et intelligent de les avoir parsemés le long de l’histoire : du nom des protagonistes jusqu’à certains passages, de leurs relations en passant par le décor , le mélange conte/contemporain devient alchimie.



🌡️ les esprits s’ (é)chauffent 🌡️



Thriller, conte … et touche de romance. Quelques scènes spicy ponctuent l’histoire. Elles ne sont pas envahissantes et très bien écrites. Moi qui ne suis pas forcément la première fan de ce genre de passages je les ai lus sans souci. D’autant plus qu’elles ne sont pas là pour faire joli, elles contribuent à l’histoire et à l’enquête. La fin est géniale (j’ai adoré le clin d’œil à la reine du crime), inattendue, et gomme à elle seule les rares coquilles à déplorer.
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Il était une fois, tome 4 : Snow White



RJ Hunter est un détective réputé qui a pris un peu du plomb dans sa confiance et ses capacités suite à une affaire compliquée.

Un email va lui faire prendre la direction de la petite ville de Ruby Creek.

Si l'émetteur du message ne se présentera pas, une affaire de disparition va le faire rester sur place et rencontrer les habitants d'Apple Ridge un manoir, entouré d'une pommeraie, assez isolé de la ville où se sont passé les faits.



Damon, jeune beau-père de Snow White a été agressé lors d'une sortie avec son beau-fils et celui-ci a disparu depuis...



J'ai toujours aimé le conte revisité et je dois dire que la version de Blanche-neige que je viens de lire m'a bien déroutée, en bien hein 😉. Si je passe outre le nombre de personnages qui me perturbe dès qu'il est trop élevé dans toutes mes lectures (goût très personnel cause mémoire de poisson rouge), j'ai passé un très bon moment. J'ai accumulé les théories, raturé mes coupables pour finir comme deux ronds de flan quand le voile c'est levé sur la vérité, je ne l'avais pas vu venir...



Silences, secrets, mensonges et manipulation au programme de ce roman. Chaque personnage a un caractère qui peut faire pencher la balance du côté coupable de la liste.

Celui que j'ai préféré est Hunter, il est fidèle à lui-même et son attitude inébranlable, sa façon de cacher quand quelque chose l'atteint et son désir de justice fait de lui un homme fort malgré ses failles.

J'ai beaucoup apprécié également les joutes verbales et les sarcasmes entre tout ce petit monde, faut dire qu'ils s'imaginent tous connaitre le coupable et vice-versa...Tellement de doutes sur tous...



Les auteurs ont assuré pour ce qui est de l'intrigue, l'atmosphère du l'histoire qui convient parfaitement à la saison d'ailleurs et encore plus pour l'insertion de tous les éléments importants qui nous rappelle le conte si connu. Retrouver les petites touches qui me faisait me dire "oh oui bien vu" quand un morceau subtil venait s'incrusté dans le récit.



Et vous ? Êtes-vous prêt à découvrir qui est le coupable et chercher si on retrouve tout ce qui fait le charme d'un conte revisité ?

J'en dis peu au final car j'avoue avoir peur de donner un indice sur les tenants et aboutissants que je préfère ne parler d'aucun suspect, c'est à vous de mener l'enquête maintenant...



Mon petit plus : Les fiches descriptives des personnages sur la page Instagram des auteurs.

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Il était une fois, tome 1 : Red Hood

Red Hood, jeune policier d'origine amérindienne, était en service à Chicago.

Il revient dans sa ville natale pour endosser le rôle de shérif adjoint.

Blackwood a connu un drame il y a trois années de ça.

Johanna Muller a été sauvagement assassinée, mais l'enquête n'a pas abouti.

Si le shérif et ses collègues ont trouvé le coupable idéal en la personne de Wolfgang Muller, le frère de la victime, Red souhaite reprendre tout de zéro et résoudre cette enquête.

Cela ne sera pas sans risques et sans difficultés, cependant il est déterminé et la seule chose qui pourrait le faire flancher, c'est cette attirance qu'il ressent pour le principal suspect de cette affaire...





🌲





J'ai dévoré ce roman du début à la fin.

Un véritable régal ! Je ne me suis pas ennuyée une minute.

Dès le départ j'ai été prise dans l'histoire et dans l'enquête que mène Red.

Comme lui, on fait nos suppositions, on traque, on veut retrouver coupable.

Pour ça, je dois dire que l'enquête est très bien gérée. Franchement, je ne m'attendais pas à ce dénouement.

J'avais des suppositions. L'une était vraie, l'autre un peu aussi, cette personne était trop louche, mais en fait elle est juste bizarre et n'a rien à voir dans cette histoire de meurtre 😅 (Sherlock Holmes de chez wish que je suis 😂).

Quand tout est expliqué, on se remémore des petits détails, des conversations, des descriptions auxquels on n'a pas forcément prêté attention au moment de la lecture et qui nous sautent aux yeux une fois qu'on sait.

On se dit que c'est vachement bien trouvé quand même.

Donc la partie thriller / suspense / enquête était vraiment au top du top pour moi 👍



Les chapitres sont assez courts, chacun d'entre eux donne envie de passer au suivant.

C'est le genre d'histoire où tu te dis "allez, encore un petit et j'arrête", sauf que tu ne peux pas t'arrêter. C'est addictif. Tu veux savoir. Tu as besoin de savoir.





🌲





Les personnages sont super eux aussi.



On retrouve très bien en Red les caractéristiques d'un bon policier, mais d'un bon policier qui a vécu quelque chose de terrible.

Il est déterminé, persévérant, observateur et méticuleux. Il veut la justice.

Son passé se dévoile peu à peu, même si on se doute de ce qu'il a pu vivre et de ce qui l'a amené ici.

Je l'ai beaucoup aimé même s'il y a un moment où j'ai eu envie de le taper. Pas fort, juste un petit peu 🤏



Wolfgang est plus complexe, il est dur de le cerner. C'est un homme brisé, rejeté de tous, qui garde beaucoup de secrets et, comme Red, on doute de sa sincérité à plus d'une reprise. Et alors quand on est dans sa tête... On se pose quand même mille questions ! Il souffre, il veut se venger.



L'attraction entre les deux est presque palpable. On sent de suite qu'il y a quelque chose.

Leur relation est assez compliquée, on ne sait pas trop où ça va les mener, si ça va marcher, s'ils se feront confiance...





🌲



Pour conclure, c'est un coup de cœur ❤️
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Il était une fois, tome 3 : Bel and the Beast

J’aime le concept de base, la revisite de contes gravés dans l’inconscient collectif.

J’ai adoré les deux premiers tomes, j’avais beaucoup d’attente pour cet opus car ils s’attaquent à mon conte préféré.



J’ai un coup de cœur pour cette sublime couverture.



Bel quitte sa vie à la quincaillerie pour un travail de secrétaire particulier sur une île.

Il ne sait rien du boulot ni du patron mais dès son arrivée à Heatherock Manor, il comprend que son existence va changer…



En quelques phrases, j’ai basculé au cœur de cette île à l’ambiance particulière.

Le manoir est un personnage à part entière, il est le point central, le pivot autour duquel l’histoire se déroule.



Bel est un jeune homme à l’allure fragile mais au caractère entier. Quand il prend une décision, il s’y tient. Il souffre de ne pas avoir vraiment connu son père.



A l’opposé Mr Ravencroft est un être tout en puissance et force, pourtant en son fort intérieur il a une grande part de fragilité dû à son passé mais qui le pousse dans des extrêmes pour la cacher. Son caractère est difficile, il privilégie le conflit et la froideur.



Sa relation avec son majordome est complexe et dure. J'avoue que comme avec Mr Lincoln j’ai eu beaucoup de mal avec ces deux hommes qui ont une aura toute sauf amicale.



Les auteurs nous offrent un très beau panel de personnages féminins.

De la gouvernante au regard maternel, la cuisinière qui adore les ragots, la soubrette qui aimerait trouver un bon parti, à Delilah qui a une forte aura de mystère et qui m’a fait me poser beaucoup de questions.



J’ai apprécié suivre l’évolution des deux protagonistes en leur for intérieur mais aussi dans leur relation. Ils m’ont touché par leur passé et par la force de leurs sentiments.



Les auteurs en quelques mots, ont la capacité de créer une ambiance frissonnante, intrigante et pleine de mystères.

La plume fluide sert une intrigue prenante, surprenante pour une histoire addictive.



Ce livre est un coup de cœur ♥ qui me hante encore plusieurs jours après la fin de ma lecture.



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Mafia of Seattle : Alejandro

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[SERVICE PRESSE]





Alejandro (Mafia of Seattle) de Axel Rolf - Evan Regan





Je remercie le duo d’auteurs de me faire confiance à chaque service presse





Mon résumé :



Les frères Cabrera, Cristobal, Felipe, Alejandro et Julian, représentent le clan colombien de Seattle. Dirigé par Don Dante, le père, celui-ci couvre les courses hippiques, la came, le casino et un club. Lorsque le benjamin de la fratrie décède dans un attentat visant le père, l’équilibre fragile entre les gangs s’ébranle rapidement. Alejandro, persuadé qu’il s’agit des Blast, entame une vendetta meurtrière. Et s’il se trompait de cible ?





Alejandro Cabbrera est le benjamin d’une fratrie de 4. Impulsif et en perpétuel désaccord avec son père, ses rapports avec son propre clan sont difficiles. Rongé par la culpabilité quant à la mort de son frère Julian, Alejandro n’aura de cesse de chercher le meurtrier de son frère, quitte à semer la mort sur son passage.







Mon ressenti final :



Quelle claque, ce roman ! Une immersion complète dans un gang violent et autoritaire, broyé par la mort des siens.



Alejandro Cabrera est l’un des fils de Don Dante, parrain colombien implanté à Seattle. Ambitieux, il aspire à autre chose qu’à gérer un casino et de la dope. Au début du roman, Alejandro est dépeint comme le mafieux qu’on connaît tous plus ou moins. Beau gosse, grande gueule, stylé en costard ou en cuir. Le gars semble avoir la vie facile et le reste. Rapidement, on découvre qu’il ne porte pas son père dans son cœur mais qu’il se conforme plus ou moins à ses ordres. Là encore, schéma plutôt classique, les auteurs posent les bases et les connaissant bien maintenant, j’attends le déclic. Le moment où on va entrer dans le vif du sujet. Et la mort de Julian est ce déclencheur.



A partir de là (chapitre 2), nous allons découvrir le vrai visage de Alejandro. Les auteurs ne perdent pas de temps et nous basculent dans un monde de vengeance, de violence, de sang et j’en passe. Alejandro va bousculer les codes, faire cavalier seul, s’allier à ses frères, les repousser mais le but n’aura qu’un seul objectif : retrouver le meurtrier de son petit frère. Mais pas que…



Ce roman est complètement immersif mais à un point tel que j’ai totalement occulté l’histoire d’amour entre Alejo et Orlando. J’étais tellement prise dans la folie meurtrière des Cabrera que j’ai glissé sur le lien qui unit les deux hommes. Je m’en veux un peu parce qu’il est beau, intense et coupable. Mais l’écriture des scènes de violence, d’interrogatoires, toute la mécanique mise en place pour trouver le commanditaire étaient plus addictives que tout le reste.



J’ai échafaudé plein de scénarios dans ma tête, trouvé le bon sans vraiment y croire tellement c’était trop fou et j’ai franchement adhéré, encore une fois, à un enchaînement de situations et de faits totalement cohérents et prenants. Grâce à leur écriture précise, à un vocabulaire adapté et varié, je n’ai eu aucun mal à tourner les pages pour enfin connaître le dénouement. Je crois avoir fait un peu de tachycardie à certains moments, mais j’ai l’habitude, avec ce duo.





Vous aimez les héros déchirés mais ténébreux, les histoires de guerre de territoires et de clans opposés, les histoires d’amour compliquées et presque impossibles ? Alejandro saura vous ravir.





Si vous voulez prêter allégeance au clan Cabrera, il faut postuler ici : https://amzn.to/3LpT6R1
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Il était une fois, tome 2 : Cinder Ella

[SERVICE PRESSE]







Il était une fois #2 - Cinder Ella







Je remercie chaleureusement les auteurs pour ce nouveau service presse.





Mon résumé :



Cinder Ella est un travailleur du sexe. Retenu dans le bordel dirigé par sa belle mère, il accumule les passes et les agressions de son demi-frère, Warren. Un jour, on lui propose de séduire Prince Meneval contre une grosse somme d’argent, qui pourrait lui permettre de recouvrer la liberté. Sauf que tout ne se passe pas comme prévu.





Cinder Ella est un beau métis d’une vingtaine d’année. Orphelin, il est élevé par sa belle-mère, tenancière d’un bordel huppé. Le jeune homme accumule les passes et sait séduire les clients, même si pour cela, il doit subir leurs désirs. Lorsque Le Parrain lui propose de séduire Prince Ménéval, l’héritier de l’empire Meneval, moyennant une très grosse somme d’argent, Cinder y voit l’occasion de se tirer de cette vie d’enfer.



Prince Ménéval est né avec une cuillère en argent dans la bouche. Ou plutôt, le décès prématuré de ses parents lui a permis d’être élevé par un grand-père richissime. Pour autant, Prince se fiche des affaires et se hisse au meilleur niveau du noble sport qu’est l’escrime. Cependant, sa vie d’opulence lui pèse et il recherche la solitude à tout prix. Sa rencontre avec Cinder va tourner au drame et la quête de vengeance pourrait bien s’avérer plus salvatrice que destructrice.





Mon ressenti final :



Je sais ce que vous allez me dire mais ce n’est quand même pas de ma faute si ce duo d’auteurs n’écrit que des pépites !



J’ai dévoré ce roman en une journée, je n’arrivais plus à m’arrêter de tourner les pages de cette incroyable histoire.



La série ‘’Il était une fois’’ retrace certains contes de fées et ce roman est basé sur l’histoire de Cendrillon. Effectivement, nous y retrouvons des ingrédients comme la marâtre, les deux fils qui maltraitent Cinder, les parents décédés et le prince charmant. Balancez tout cela dans un checker et vous obtenez une romance addictive et incroyablement narrée.



Cinder Ella est un métis qui vit à la Nouvelle Orléans. Ses parents sont décédés il y a longtemps et il a été élevé par sa belle-mère, Hélène. Sauf que La Marâtre, comme elle se fait appeler, est la tenancière d’un bordel huppé et que Cinder est son meilleur élément. Les clients se battent pour obtenir une passe, que la cruelle belle-mère facture à grands frais. Les demi-frères de Cinder, Warren et Darren, servent de gardes du corps aux prostitués et doivent surtout s’assurer que tous marchent au pas. Dès les premières lignes, Cinder apparaît comme un jeune homme fort, à la capacité d’encaissement hors norme. Il subit cette vie, que sa belle-mère et ses demi-frères s’assurent de rendre infernale. Les échanges de Cinder avec Warren, le plus violent des deux frères, m’a souvent fait sourire. Le jeune métis n’hésite pas à le provoquer régulièrement et je n’ai eu aucun mal à m’attacher à lui.



Lorsque Le Parrain vient offrir à Cinder, l’occasion d’acheter sa liberté, le jeune homme cède. Pour cela, rien de bien compliquer. Il doit séduire Prince Meneval, lors d’un bal donné au manoir Meneval. Et il y arrive, sans aucun problème. L’attraction est réciproque et les deux hommes se retrouvent au lit. Minuit sonne et Cinder doit déguerpir. A partir de là, tout part en vrille. C’est aussi à partir de ce moment que je découvre vraiment la puissance de ce récit, la qualité de rédaction et le travail des personnages.



Les grandes lignes du conte de Cendrillon sont respectés et assaisonnées façon 21eme siècle. Tout est fait pour que l’on s’attache aux personnages, principaux comme secondaires. Mon personnage préféré restera Prince, dont l’acte terroriste dont il est victime va bousiller sa vie de sportif médaillé. J’ai tellement adoré ce personnage à travers son arrogance, ses doutes, ses souffrances et son pardon. Il m’a touché par sa force brute et son mental de gagnant, ne doutant jamais de lui et de sa capacité à avancer malgré les obstacles.



Le garde du corps de Prince, Rick Scavo, m’a aussi beaucoup plu. J’ai aimé sa dévotion, cette façon un peu paternelle qu’il a de gérer les situations qui touchent Prince.



Warren et ses punchlines m’auront fait pouffer de rire bien souvent. Les échanges qu’il a avec Cinder, ou même avec Prince, j’ai adoré !



L’histoire de fond, au delà de l’histoire d’amour, était juste complètement incroyable et très prenante. Prince recherche celui qui a tenté de le tuer et le duo nous embarque dans le bayou et dans la moiteur de la Nouvelle Orléans comme s’ils y étaient chez eux. J’ai vraiment traversé des torrents de sentiments différents. J’ai eu peur, j’ai espéré, j’ai râlé, j’ai eu chaud, j’ai fondu d’amour, j’ai été choquée… La cohérence de l’histoire et le déroulé des faits m’ont complètement adhérée au couple Prince-Cinder. Comme d’habitude, je suis charmée par une écriture mature, précise et très développée dans les détails et les émotions. On ne peut qu’adherer à cette romance policière qui se lit à 200 à l’heure et où tout est mis en place pour que nous ne puissions rien faire d’autre que d’en tourner les pages.





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Il était une fois, tome 2 : Cinder Ella

Bienvenue à La Tour de Verre, club huppé de Nouvelle Orléans. Derrière la façade sélecte, se cache une activité plus sordide : tenu de main de maître par Hélène Laroche et ses deux fils, les jumeaux Warren et Darren, l’établissement cache en fait une maison close, où les clients viennent pour un rapport sexuel tarifé, direct, droit au but. Et l’employé que la patronne vend pour n’importe quelle pratique, homme, femme, brutal, peu importe… c’est Cinder Ella, son beau-fils. Depuis 5 ans, depuis la mort de son mari, père de Cinder, elle vend le corps du jeune métis et s’acharne, aidée en cela par ses fils chéris, à détruire son âme, brisant tout espoir, tout rêve, toute velléité d’évasion. Mais le jeune homme résiste, trouvant dans sa tête des moyens de s’échapper lors de ses séances de « travail ».

Le client que reçoit ce soir-là Cinder lui fait une proposition inhabituelle. Il doit séduire un homme et le faire quitter la réception à laquelle il assiste pour l’emmener dans sa chambre… qu’il doit quitter absolument avant minuit. Tout ça pour une somme rondelette, qui ne passe pas par La marâtre, sa chère belle-mère. Cinder voit là l’opportunité d’un pactole qui lui permettrait peut-être d’envisager une porte de sortie… et de toutes façons, il n’a pas trop le choix, Le Parrain, qui lui propose cette mission, n’est pas le genre d’homme à qui on dit non. Le voilà donc vêtu de sa tenue la plus sexy à la soirée d’anniversaire de Méneval Capital, grosse société d’investissements, en train de chercher sa cible : un jeune homme blond, beau comme un prince. Cible repérée, hameçon lancé, le poisson a mordu… et les voilà tous les deux dans la chambre du blond, aussi magnifique en vrai qu’en photo…. Et quand les choses commencent à devenir sérieuses, il est près de minuit… et Cinder s’échappe par la fenêtre. Avant que l’appartement où il était quelques secondes à peine plus tôt ne vole en éclats, secoué par une explosion…

Quelques jours plus tard, il apprend par hasard, lors d’un flash informations, que la cible est Prince Méneval, héritier de l’empire Méneval, champion international d’escrime… et que la cible, contre toute attente au vu de la violence de l’explosion, a survécu. Mais ce qu’il ne sait pas, c’est que Prince est bien décidé à remonter la piste et à se venger, persuadé que ce métis au charme vénéneux qui a détruit sa vie est la clé de la vérité, il n’a qu’une idée en tête, le retrouver.

Après une lecture forte et plutôt marquante, c’est souvent un peu compliqué pour le roman qui suit : on compare, on garde encore en tête les impressions et les ressentis… J’ai donc voulu enchainer avec une valeur sûre, la dernière sortie de mon duo préféré : le deuxième tome de la série Il était une fois. Je ne prenais pas trop de risques, je sais qu’avec eux, je ne suis jamais déçue.

Axel et Evan nous embarquent cette fois en Louisiane, pour une réécrite très personnelle de Cendrillon. Cendrillon, vous remettez ? La marâtre, l’orpheline, les deux demi-sœurs ignobles, le prince, le bal, la fuite avant minuit ? Gardez l’idée de fond et oubliez le carrosse, les souris, la magie, la pantoufle de vair, la bonne fée… ici, nous sommes dans la maison de passe, les chemises en dentelle, l’argent, la manipulation, les luttes de pouvoir, la politique, la perversion, la dissimulation, la violence, le sexe.

Prince est bien décidé à retrouver l’homme qui est la clé de l’attentat et à lui faire avouer qui est derrière tout ça, par tous les moyens. Et Cinder ne peut pas avouer ce qu’il ne sait pas, après tout, il n’a été qu’un rouage dans un engrenage bien plus gros. Mais entre les deux hommes, brûle quelque chose de plus fort que la culpabilité, que la vengeance, que la peur, … l’espoir d’une autre vie.

Difficile d’en dire plus sans spoiler tout ce qui se passe après cette explosion. Le pari est une nouvelle fois largement réussi, le duo nous entraine, au fil des chapitres et des points de vue de Cinder et de Prince, dans une intrigue qui prend ses racines dans le passé et qui va révéler bien des surprises, jusqu’au tout dernier moment. J’ai hâte de savoir quel va être le prochain conte version Axel/Evan… et je serais, bien entendu, au rendez-vous de mon duo préféré.
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The outside, tome 1 : Immersion

Un monde ravagé. Une population tentant, jour après jour, de survivre dans la misère et la peur. Une élite protégée par une sphère. Des Fantômes, des Vendus, des Spoons, des disparitions mystérieuses, des réapparitions tout aussi mystérieuses, un Mouvement de révoltés, du courage, un inconnu dans un jardin, un pouvoir étrange, une infection mortelle qui nécessite des tests réguliers, … bienvenue dans le monde que nous ont concocté Axel et Evan.

Une nouvelle fois, nous sommes embarqués dans ce monde peut-être pas si improbable que ça, qui fait penser à un mix entre Le Labyrinthe et la vieille série L’âge de cristal (mon esprit bizzare…). Comme à leur habitude, les auteurs nous emmènent sur les pas de plusieurs personnages dont les destins et les vies se croisent, se mêlent et s’emmêlent, sous l’ombre menaçante de cette sphère à l’aura maléfique.

C’est punchy, c’est moderne, la romance n’est clairement pas la trame principale, ici nous sommes dans la survie, dans l’urgence, dans l’aventure. Les points de vue s’enchainent, ne nous laissant aucun autre choix que de tourner les pages et de ne pas lâcher avant la fin, qui arrive bien trop vite.

Beaucoup de questions sont posées dans ce premier tome, les bases de l’univers de la Sphère sont là, la tension monte et j’ai hâte de poursuivre l’aventure avec Helios, Denzel, Klaus, Vlad et tous les autres…
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Trust

2027, États-Unis, Colorado, Camp d'emprisonnement n°3.



Dans un futur pas si lointain que ça, ou le pays a sombré dans le chaos, un groupe d'anarchistes tente de renverser le gouvernement en place. La sécurité est maintenue par l'A.D qui arrête et emprisonne dans des camps de travail tout citoyen pensant différemment de l'ordre établi.



Une révolte éclatant dans le camp n°3, quelques prisonniers tentent de s'évader. Les deux seuls survivants, Clemens et Rafael vont se croiser quelques heures plus tard ans dans une station service déserte, alors qu'ils tentent de récupérer quelques provisions.



Dans un pays dévasté par la crise, les deux jeunes hommes décident de faire équipe pour rallier un endroit où ils pourront vivre libres et en sécurité. Pour cela, ils vont devoir affronter la trahison, les conditions climatiques, la traque de l'A.D, les blessures, les pillards, mais certaines rencontres et surtout, l'attraction qu'ils ressentent l'un pour l'autre, vont leur donner la force de mener à bien leur périple.



Je suis mitigée sur ce roman. L'idée de base est intéressante, mais il m'a manqué des éléments pour comprendre la situation politique et économique du pays : comment ce gouvernement est arrivé au pouvoir ? comment sont apparus ces camps ? quelle est cette mystérieuse A.D ? La romance des deux jeunes hommes démarre un peu rapidement à mon sens aussi, bien que l'urgence et le danger ambiant puissent l'expliquer. Beaucoup (trop ?) de coquilles aussi, une bonne relecture aurait été nécessaire.



L'écriture punchy et très moderne des deux auteurs est cependant toujours aussi agréable. Le récit est fait de façon alternative par Clem et Raf, on apprend peu à peu à les apprécier et à découvrir leurs personnalités, bravo d'ailleurs aux auteurs car les caractères des deux personnages ressortaient bien dans leurs paragraphes respectifs, ce qui n'est pas forcément évident sur un roman raconté à deux voix. J'ai apprécié la fin ouverte, qui laisse la part belle à l'imagination (ou à une suite éventuelle...).



En bref, j'avais eu un gros coup de cœur pour le premier tome de Punishment, l'un des romans de ce duo, et bien qu'ayant apprécié TRUST, je l'ai trouvé moins abouti, moins mature dans l'écriture (peut-être plus ancien ?).



Je remercie les auteurs de m'avoir permis de partager une nouvelle fois leur univers avec ce Service Presse.
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Trust

Aux USA, dans un futur proche, un régime fasciste arrête arbitrairement toutes les personnes qu'on pense divergentes et les interne dans des camps de concentrations. Lors d'une tentative d'évasion d'un camp de prisonniers de 18 à 30 ans, tous ceux ayant profité de l'opportunité sont abattus sauf Raphael et Clem qui sont passés à travers les balles. Ils se retrouvent par hasard peu après, et peu à peu une amitié se noue entr'eux à travers les périls et déconvenues qu'ils vont traverser au fil de la route …





Choisir pour cadre à une romance des USA dirigés par un régime fasciste où un mouvement anarchiste se soulève, pourquoi pas ? Mais en ce cas il faudrait avoir un minimum de crédibilité au niveau historique, économique, sociologique, etc, ici ce n'est qu'un décor en carton-pâte absolument pas crédible. Et ce n'est pas mieux en ce qui concerne les armes, le fonctionnement de la police, et même les impératifs de la vie de fugitif. Il faut vraiment savoir fermer les yeux sur les invraisemblances et ne s'intéresser qu'à la partie romance pour prendre plaisir à ce livre. Lorsqu'on fait l'impasse sur tout ce qui n'est pas romance il devient possible d'apprécier cette partie, l'évolution de la relation amoureuse est bien menée et l'écriture agréable.





Alors pour qui ce livre ? Les amateurs de romance mitigée d'action pour qui la vraisemblance n'a aucune importance devraient bien aimer, l'écriture est fluide et agréable et on peut passer un bon moment de détente, dommage que les auteurs ne se limitent pas à des sujets qu'ils maîtrisent ou qu'ils ne prennent soin de se documenter. J'ai noté principalement pour la romance.
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Le prince maudit

C’est le troisième roman que je lis de ces deux auteurs, et c’est de mon point de vue le meilleur. WOW, la magie opère de plus en plus… J’ai surkiffé ma lecture, j’ai passé un moment absolument magique.

Quel bonheur de lire un roman dans la veine de “Games of Thrones”, d’y retrouver les codes, mais aussi le côté sombre et haletant. Mais attention, ne vous y trompez pas, la comparaison s’arrête là. Les auteurs ont réussi à nous offrir un univers qui leur est propre ou tout est bien mêlé et entremêlé et ou tout est parfaitement compréhensible (que ce soit au niveau des personnages et des diverses dynasties, que ce soit au niveau des différents lieux, que ce soit au niveau de l’intrigue, ou encore au niveau de la relation amoureuse).



“Le Prince Maudit”, c’est un récit qui oscille à merveille entre tension, frustrations, manigances, suspens, et peurs. Un récit fait de combats, de loyauté, d’amitié, d’amour…

Voici un quatre mains qui ne souffre d’aucun temps mort. J’ai été envoûtée, subjuguée, conquise par l’histoire, par la diversité des personnages, par la description des lieux, par les diverses machinations, par les combats, par les rapprochements charnels …



Alors certes, j’ai énormément ragé tant, la tension était palpable et infernale, sérieusement ?? C’est horrible de nous tenir sur le fil du rasoir à ce point-là ! Mais j’ai aussi été captivée, et cela, de la première à la dernière page, tant je voulais connaître les tenants et les aboutissants, tant j’ai eu peur pour Adris, Melkan ou encore Rowan (et peut-être Jayss malgré tout)…



Les auteurs nous offrent là, une romantasy qui combine avec justesse l’univers créé de toute pièce et la romance qui nous est servie avec parcimonie au fil des pages. C’est un des meilleurs slowburn que j’ai pu lire, mon cœur n’a jamais autant souffert et palpité de vouloir voir deux êtres se rapprocher et s’aimer.



Je ne pensais pas un jour avoir un coup de cœur pour un récit alliant romance et fantasy, et bien, c’est chose faite. Comment résister à Adris, mais surtout à Melkan ? Franchement Impossible.

Je n’en dirai pas plus afin de vous laisser embarquer entre les pages de ce merveilleux roman. N'hésitez pas à tenter l’aventure, je pense que vous ne le regretterez pas ;)

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Le prince maudit

Graou tout le monde !



Ça ne serait pas un petit MM ? Enfin petit, il pèse son poids le bougre, avec ses plus de 600 pages, son allure élégante et sa couverture attirante. Un nouveau roman du duo bien connu aux plumes virevoltantes.



Le premier est fils de roi, héritier du trône d’Eldoras, porteur de lumière, droit, juste et courageux général de l’armée azurine : Melkan.

Le second est fils de roi, prince maudit, monteur de loup géant, sombre, agacé par une mère envahissante et rongé par la haine : Adris.

Deux demi-frères, deux âmes mêlées et attirées dans le chaos du royaume entre la protection du territoire, une épidémie dans la partie basse de la capitale et le retour d’une religion sombre qui redonne vie aux défunts. Malgré leurs différents, ils vont devoir se faire confiance face à ces événements, l’un monté sur son lion géant éclairant le monde de son épée de lumière, et l’autre essayant de connaître son passé familial pour dévoiler un destin hors de l’ombre de son aîné.



Un résumé à ma sauce, mais je veux vraiment que vous découvriez cette pépite MM. On suit le destin de ces deux demi-frères dont l’un vit dans la lumière tandis que l’autre essaye de tout faire pour se faire une place au sein de cette famille royale. Ça peut faire clicher au premier abord, mais vraiment c’est une découverte et à chaque page, des enchaînements et des rebondissements vont avoir lieu, qui vont faire chavirer les corps et les cœurs. Ils sont évidemment attirés sinon ce n’est pas drôle, mais la bienséance les éloigne et les frustre pour les empêcher de tomber dans ces interdits. Cela me gênait au départ puisque je ne suis pas du tout attiré par ce type de romance, toutefois on va rapidement découvrir un nouveau protagoniste dont le prince maudit va s’enticher. Celui-ci n’est pas le docile et mystérieux amant, mais bien plus que ça dans le complot visant à faire basculer le monde dans la guerre. L’écriture est incroyable, la romance n’est qu’en fond puisque l’histoire est portée par toutes les intrigues et les complots de cet univers. Une seule doctrine: Osez, foncez et lisez le.
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Le prince maudit

Dans un univers à la Game of Thrones (et merci pour ça, ce fut plus facile à visualiser), on retrouve Melkan et Adris, deux demi-frères que tout oppose.

Melkan, l'aîné est l'Elu, le Porteur de Lumière, l'héritier. C'est un général humble, droit et respecté.

Adris, son cadet de 3 ans est le Prince Maudit, incontrôlable, indiscipliné et aux mœurs légères.

Fusionnels durant leur enfance, Melkan a pris ses distances il y a 6 ans et depuis c'est au mieux de l'indifférence au pire de la haine qui les anime.

Mais lorsqu'un chaman d'un culte qui avait disparu revient dans Eldora, Melkan doit agir pour sauver la cité et veiller sur son petit frère...



Nous sommes dans une pure fantasy avec un royaume très bien établi, cartes à l'appui. Rien n'est difficile à comprendre ce qui est un soulagement pour moi car peu adepte du genre.

Les personnages principaux sont parfaits, leurs ressentiments explosifs, surtout du côté du jeune Adris, qui ne comprend pas le rejet et doit se débrouiller seul depuis trop longtemps.



On assiste à un véritable slow burn avec une tension croissante qui nous tient en haleine.



Les personnages secondaires sont formidables et on aime les détester pour certains et les admirer pour d'autres (coucou Rowan). Reste le cas de ce troisième personnage qui aura lui aussi son mot à dire, Jayss, qui nous intriguera jusqu'à la fin.



Une lecture presque parfaite pour moi, avec un seul petit bémol, qui concerne Adris. On passe d'une haine à un désir sans juste milieu et j'avoue qu'il me manque un peu de progression dans la réalisation de ses sentiments.



Mais à part ça, les auteurs nous montrent qu'ils maîtrisent parfaitement leur sujet et que cette première romantasy ne sera sûrement pas la dernière !
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Il était une fois, tome 4 : Snow White





Après avoir lu

- Red Wood

- Cinder Ella

- Bel and the Beast

Je suis arrivée au le dernier livre de la série, si Red Wood était une grande et merveilleuse surprise, Cinder et Bel ont été de bonnes lectures, même si pour moi ils n'étaient pas aussi bons que Red, mais Snow White? Que dire sur Snow ?

Que c'est certainement le meilleur livre de la série, qui n'était pas du tout ce à quoi je m'attendais, sérieusement, je m'attendais à quelque chose comme Blanche Neige et les 7 Nains, et les auteurs m'ont surprise du premier chapitre au dernier. Une disparition, une enquête plusieurs suspects où tous pourraient être le "coupable", il m'est même passé par la tête que même les corbeaux pouvaient être les responsables de la disparition de Snow.

L'esprit en ébullition, je crois que de la fumée sortait de mes oreilles a certains moments avec tant de réflexion, avec tant d'indices.

Les protagonistes principaux m'on captivé par leur différences et en même temps si semblables.

Damon le beau père, écrivain optimiste mais avec une aura si mélancolique je n'arrivais pas a déchiffrer si il était le "méchant" ou le "gentil" sa personnalité a super bien été travailler par les auteurs.

Hunter le detective, profiler, bourru sur les bords, mystérieux et captivant, j'avais envie d'être dans sa tête, je voulais savoir comment il réfléchissait comment il arrivait a se dire qu'untel était oui ou non suspect /coupable /inocent.

La romance passe presque au deuxième plan, non, elle est vraiment pas le point principal du roman, mais la disparition /fugue de Snow.

Alors les 7 nains 😂 j'adoooooore, vraiment la le mythe s'écroule.

🎶 Hé ho hé ho on rentre du boulot 🎶



Chers auteurs, merci pour ce Thriller, suspense, polar, je ne sais même pas quel trope est juste. Mais il ne fait aucun doute que cest l'une de mes meilleures lectures de janvier.



Bonne lecture
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Il était une fois, tome 1 : Red Hood

Pour une lectrice qui ne lit pas les contes revisités bah elle a superbement crocher dans celui ci

Le chaperon rouge, le loup et la grand mère... tout ça dans une petite ville oublié des Dieux et de la bienveillance.



Quel plaisir de me promener dans cette forêt enneigée ou rien ne se passe 😅

Messieurs les auteurs juste un mot : uau



La trame, le suspense, les rebondissements....

Tout est la pour plaire au lectorat, une romance a suspense qui nous embarque dans une petite ville du Montana en plein hiver.

Une ville, un meurtre, un policier, un coupable et une enquête bâclée par le shérif.



Bref,

J'ai adorée cette découverte, ces deux plumes, leur univers et me balader dans cette forêt qui hérisse tous les poils de mon corps.

Red le flic Wolf le suspect

Les interactions entre les deux sont explosives et c'est qqch que j'adore particulièrement en romance.

Pas de : hein c'est moi le mâle alpha et toi le soumis.

Deux hommes, deux vécus et un seul but!

Une grand mère que j'ai visualiser sans peine tellement le personnage est bien construit !



A chaque nouvel indice j'avais des certitudes sur le coupable et a chaque fois je me suis trompée 😅 mon esprit de déduction est déplorable 😂

Une ville ou les personnages mesquins, homophobes et racistes sont monnaie courante on a Simon ce jeune ado au cœur d'or pour nous montré que l'être humain peut être bienveillant et surtout humain !

Et c'est avec un sourire aux lèvres et les yeux larmoyants que je referme cette très belle revisite du Petit Chaperon Rouge que je préfère au conte de notre enfance.



Bonne lecture.
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