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Critiques de Boum (31)
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La méduse

La méduse est un animal marin capable de paralyser ses proies au moyen d'une substance urticante et vénéneuse. Là, nous avons une jeune femme qui est convaincu d'avoir une méduse dans l'oeil et qui se multiplie. Allô Docteur, je crois que nous avons un problème.



Certes, il faut avoir un double sens de lecture comme une métaphore d'une maladie qui se gangrène. Visiblement, il s'agit d'une maladie de l'oeil pouvant faire perdre la vue. Or, les méduses lui gâchent la vue avec leur fameuse substance noire. le combat commence car il s'agit d'apprivoiser ces bestioles.



A noter que l'auteure Boum fait son autobiographie au travers de ce récit qui a pour cadre le Québec. On retrouvera des expressions qu'on aura un peu de mal à comprendre en français car ce n'est pas forcément traduit dans notre langage.



On évite le pathos pour une réflexion sur les terribles événements de vie pouvant nous affecter. On éprouve assez vite de l'empathie pour le personnage principal d'Odette qui ressemble à un garçon. Bon, j'avouerai quand même que la scène de danser avec son drink dans une boîte de nuit est vraiment une très mauvaise idée et que cela fait tête à claque. Mais bon, passons !



On retiendra qu'il y a véritablement beaucoup de tendresse dans cet album à la ligne graphique assez épuré. J'ai beaucoup aimé la fin de l'album où on observe une véritable audace de case dans cette mise en scène progressive de l'obscurité.



Malgré le noir, cela se termine par, non pas une note d'espoir, mais par l'acceptation de vivre autrement. Une réussite sur un thème plutôt difficile.

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La méduse

Club N°52 : BD sélectionnée

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Histoire touchante d'une jeune fille canadienne qui perd peu à peu la vue.



Très jolie BD, approche originale de la maladie qui survient.



Sensation d'être à la place d'Odette et d'être gêné comme elle, par ses méduses qui sont de plus en plus nombreuses au fil de l'histoire.



Très beau dessin en noir et blanc, finesse du trait avec un graphisme style manga.



Sophie

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Belle BD sur l'histoire de l'autrice (en partie) qui à cause d'une maladie perd peu à peu la vue.



De la révolte à l'acceptation, beau parcours que l'on suit grâce aux méduses qui apparaissent peu à peu aussi dans le livre et qui finissent par tout obscurcir.



Mel

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Lien : https://mediatheque.lannion...
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La méduse

Odette travaille à la librairie, elle a pris ses distances avec ses parents, et tente de prendre son autonomie. Elle rencontre Naïma avec qui elle va commencer une relation amoureuse et il y a Léon, son confident et ami, toujours là pour elle. Mais il y a une tache, dans cette histoire, ce qui semble une simple infection, avec cette méduse qui se balade dans son champ de vision, va s’avérer bien plus grave. L’histoire est touchante, l’arrivée du handicap arrive en même temps que son entrée dans la vie d’adulte, c’est trop de bouleversements à la fois.

C’est un beau récit sur les relations, sur l’entraide et le soutien, sur les difficultés de la vie.



Le dessin est très inspiré du manga, je trouve qu’il manque un peu de personnalité, et n’évite pas une certaine mièvrerie, mais ce n’est pas rédhibitoire, j’aime assez le principe de la méduse qui se multiplie au fil de l’histoire. Le langage est très marqué québécois, et les dialogues sonnent un peu creux, je ne me suis pas senti concerné par cette histoire, aussi sensible soit-elle, c’est un peu léger, un peu facile, et trop court pour une symbiose avec tous les publics, c’est vraiment ciblé adolescents, entre le feel good et le roman graphique ado, bien fleur bleue, je ne suis pas le public visé et je l’ai ressenti.
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La méduse

« J’ai une méduse dans l’œil et elle devient plus grosse, j’ai peur que | »



La méduse dont il est question est cette petite tache noire qui apparaît dans les premières pages et qui semble être un petit nuage qui suit Odette.

Celle-ci est toute perturbée par cette vilaine noirceur qui embrouille son champ de vision. Si ce n’était de cette salissure noire, sa vie sera aux oiseaux. Elle est autonome, gagne sa vie comme libraire; elle a pris le large de ses parents, vit une belle amitié avec Léon et se rapproche de Naima, qui fait battre son cœur.



Le docteur diagnostique une fatigue oculaire mais le temps passe et les méduses se multiplient. Jusqu’à envahir son champ de vision, jusqu’à ruiner sa vie…

Ce magnifique album de ma maison d’édition chouchou Pow Pow, est un bijou de douceur et de finesse pour réussir à illustrer une perte de vision. Les méduses qui envahissent complètement le champ de vision d’Odette éclairent (drôle de jeu de mot) notre regard de néophyte en matière de dégénérescence de l’œil. C’est rempli de détails et Boum, l’auteure sait de quoi elle parle, ayant elle-même des problèmes de vision. Les dessins sont magnifiques, modernes, ingénieux. Boum évite le pathos et réussit même à nous faire rigoler. Tour de force!



« Pis ça aurait pu être pire, han! T’as vu aux nouvelles la madame qui avait un espadon dans l’œil? Ça a mal fini.

Un espa…?

Pis le vieux monsieur qui était pris avec un narval dans le péteux? Il pouvait jamais s’asseoir!

´Stie que t’es con. »
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La méduse

Une tache dans le champ de vision. Une tache qui flotte, comme une méduse entre deux eaux.

Rien de grave, juste une petite gène.

Puis la méduse grossit, tout d'un coup il y en a deux, puis trois, puis cinq

Mais rien qui empêche de travailler, de sortir avec ses amis, de rencontrer une jeune-femme qui vous plait, de râler sur une mère un peu envahissante.

Quand les méduses finissent par occuper trop d'espace, le verdict tombe tel un couperet...

Une jolie histoire, tendre et sincère qui nous dépeint la difficile prise de conscience d'une cécité inévitable et sur l'importance du soutient de ses proches.

Le dessin est tout en rondeur, très inspiré du manga, et sert très bien le récit.
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Capitaine Aime-ton-mou contre les ténèbres du..

Guylaine Guay manie habituellement de façon redoutable l’humour et l’autodérision dans ses écrits. Je suis fan de ses chroniques qui paraissent régulièrement dans les magazines féminins et lors de ses passages à la télé, elle m’épate par son discours bienveillant et ses réparties savoureuses.

Son personnage de super héroïne, Capitaine aime-ton-mou, se voue à tirer du pétrin les dodu(es) de ce monde aux prises avec les préjugés tenaces véhiculés dans toutes les sphères de la société. Aidée de ses atouts physiques et de sa psychologie à cinq cennes, Capitaine gagne toutes ses batailles de sauvetage, racontées dans différentes saynètes que j’ai trouvé inégales, autant dans la narration que dans la scénarisation. Ce sont plutôt les dessins de Boum (Samantha Leriche-Gionet) qui sauvent la mise de cette BD dédiée principalement à un public jeunesse.

Je n’ai pas retrouvé la verve piquante de Guylaine Guay dans ce ramassis de bons sentiments, étalés un peu trop épais sur la tartine de la tolérance. Quelques bons jeux de mots ici et là mais rien pour transcender le propos. Une démarche noble et nécessaire mais dont le message est dilué dans une parodie par toujours de bon aloi.

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La méduse

Le diagnostic est sans appel. Cette tâche noire à laquelle Odette a bien du mal à s'habituer, c'est une méduse. Elle est partout, où qu'elle pose les yeux. Elle a pourtant tout pour être heureuse. Son appart, des amis, un chouette job dans une librairie... et même une cliente dont elle est entrain de tomber amoureuse.



La dessinatrice Québécoise Boum s'inspire de sa propre expérience pour nous proposer le récit d'une jeune fille, atteinte d'une cécité progressive, qui en perdant la vue, va trouver sa voie. Des chapitres saisons qui suivent l'évolution de la maladie, les chamboulements qu'elle provoque dans sa vie et en même temps l'évolution de la relation d'Odette avec Naina, cette cliente fan de manga.



Cette histoire forte, émouvante, Boum la dessine au trait noir fin, en nuances de gris avec cette méduse, omniprésente, d'abord seule, puis se multipliant jusqu'à remplir peu à peu les cases, les pages, rendant la lecture étouffante. Une sensation puissante qui met le lecteur dans la peau d'Odette, on voit ce qu'elle voit.



Une très belle surprise que cet album finaliste pour le prix Bédéis Causa au festival Québec BD ! "La méduse" est un livre Ingénieux, et touchant auquel on ne peut rester insensible. Il est sorti aujourd'hui, tu peux foncer !
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La méduse

Je suis totalement conquise par ce récit doux-amer d’une beauté incroyable où la sincérité et la justesse du propos ne tombent jamais dans la mièvrerie. La Méduse réussit à nous faire comprendre la difficulté d’accepter une maladie ou un handicap invisible dans une existence qui commence seulement à prendre son envol. Mais c’est aussi un récit tendre qui nous parle d’amitié et d’amour lesbien avec beaucoup de douceur. Grand coup de cœur.



Critique complète sur yuyine.be!
Lien : https://yuyine.be/review/boo..
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La méduse

Une bande dessinée en noir et blanc, tout simplement magnifique, qui aborde les pathologies oculaires et la déficience visuelle.



Odette a une méduse dans l’œil, qu’elle seule peut voir. Cette méduse se multiplie.



Nous suivons la rencontre d'Odette et de Naina. Une histoire d’amour qui débute dans un contexte complexe, car la maladie d'Odette évolue. On peut constater combien l’entourage, les amis, vont lui être une véritable ressource dans cette transition.



Dans le ton et dans les illustrations, il y a quelque chose de sensible. J’ai adoré cette BD, extrêmement touchante.
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La méduse

📚Odette sort de chez son optométriste. Ce dernier lui annonce qu'elle a bien une méduse au niveau de l'oeil gauche mais il ne semble pas inquiet. Alors le jeune femme continue sa vie. Libraire, elle fait la rencontre de Naina, une amatrice de Gunm avec qui elle entame une relation amoureuse. Pendant ce temps, la méduse reste toujours une ombre omniprésente, signe d'un mal plus profond.



🖊La méduse de Boum est une récit semi autobiographique tendre et émouvant. À travers le parcours d'Odette, l'autrice semble exorciser ses propres craintes tout en essayant de nous faire ressentir l'inéluctable perte qui va atteindre la jeune femme. Sans tomber dans le pathos, Boum fait de cette méduse, une sorte de compagnon d'infortune et le témoin d'une nouvelle vie amoureuse compliquée mais prometteuse de soutien et d'écoute. Le trait assuré de l'autrice et sa mise en page inventive permet au lecteur-rice de se mettre, au moins un temps, à la place d'Odette et de ressentir l'étrange sensation de perdre petit à petit la vision du monde qui nous entoure.



🧔Chronique complète :
Lien : https://www.mtebc.fr/la-medu..
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Nausées matinales et autres petits bonheurs

Comme l'indique le titre, ce petit ouvrage tourne autour de la grossesse. Les symptômes de la maternité sont dépeints avec humour, de façon parfois décalée, souvent caricaturée.



Les illustrations sont simples, de style bande dessinée traditionnelle, mais en bleu et blanc. On note rapidement des divergences de syntaxe et des maladresses de langage, et effectivement, l'autrice est canadienne : ceci explique cela !



Malheureusement, je n'ai pas ri, ni même souri ; les dessins ne sont pas toujours attractifs et parfois un peu obscurs ; l'ensemble m'a laissé une impression de "bof bof bof"...
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La petite révolution

Roman graphique qui ne peut laisser personne indifférent: le lecteur est tout de suite happé dans l'univers presque intemporel (est-ce le futur? est-ce plutôt un passé différent de la réalité - une uchronie? est-ce dans un pays réel ou imaginaire?). Une chose est certaine, on entre tout de suite de plein pied dans l'univers de Florence, une enfant de la rue dégourdie et à l'instinct de survie bien développé, qui protège ses amis, qui s'intéresse aux projets de révolution des adultes et qui rêve de se venger de la misère dans laquelle les gens du pays sont plongés face à un régime totalitaire qui prive les moins nantis de droits et de soins essentiels. Le tout est illustré joliment par des dessins un peu naïfs mais efficaces, qui décrivent à la fois la perception déformée et partielle de l'enfance et la cruelle réalité de ceux qui doivent vieillir trop vite. Le tout offre également une richesse d'intertextualité, en intégrant la chanson "le déserteur" de Boris Vian comme si c'était un personnage et en offrant une atmosphère similaire aux drames de Victor Hugo.



Ce fut une très belle découverte!
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La méduse

La méduse, c'est le récit - autobiographique - d'une jeune femme qui perd petit à petit la vue. Boum l'autrice a effectivement perdu l'usage de son œil droit, et a décidé d'en faire ce jolie récit. Les dessins sont en noirs et blancs, plutôt réussis, presque sous forme de manga. L'histoire est fluide, rythmé et beigne finalement dans un calme surprenant malgré les enjeux. Les plus belles pages sont sur la fin, lorsque Odette comprend que ça va être compliqué....Boum fait alors preuve d'une grande d'empathie pour nous dessiner la réalité, et c'est très beau.
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La méduse

J'ai adoré, j'ai pleuré. Les dessins sont magnifiques et l'histoire m'a beaucoup touchée, Boum nous raconte l'évolution d'un handicap de façon originale, visuelle, qui nous dérange dans la lecture et nous met dans la tête de la protagoniste. On a envie de pleurer et crier avec elle. C'est aussi une belle histoire d'amitié. Très recommandé !
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La méduse

Aveugle d’un oeil et souffrant de maladies oculaires, Boum a fait de l’animation puis se consacre à la bande-dessinée. Elle utilise le pimpant personnage d’Odette pour parler de sa cécité. La présence d’une unique méduse dans le champ de vision amène Odette à consulter. On lui dit de s’habituer mais la méduse prend la fâcheuse manie de se multiplier.

Émancipée et libraire, Odette tombe amoureuse mais n’ose pas déclarer sa maladie.

Le dessin est clair, fin et tout en rondeur. Boum exploite habilement le cadre et l’occupation de la page pour exprimer cette chute dans les ténèbres. Pas de pathos, ni de drame malgré le sujet, on se surprend à partager le plaisir d’Odette à sentir la neige tomber en fermant les yeux.
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La méduse

Un récit tout en douceur retraçant le passage d'une maladie invisible un peu gênante à un problème envahissant bouleversant toute une vie.

Odette passe par de multiples phases de déni et d’acceptation. Pendant que la maladie évolue la vie continue, il y a cette belle histoire d’amitié avec Léon et une amourette qui va grandissant avec Naina.



L’autrice qui s’est servie de sa propre histoire y souligne l’importance du soutiens, de l’entraide, dit comme ça, ça peut paraitre gnangnan mais ça ne l’est pas du tout.

C’est triste et joyeux en même temps.

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La méduse

Wow la claque ! Odette, libraire, voit apparaître une méduse dans son champ de vision. Puis deux, puis trois. Comment apprendre à vivre avec elles ?



Dans son dessin tout en noir et blanc, l'autrice choisit d'aborder un sujet personnel (son éditeur indique qu'elle a perdu la vue du côté droit suite à différentes pathologies oculaires). J'ai adoré qu'on débarque dans la vie d'Odette sans préambule : elle est queer et ça fait partie du décor, pas de coming-out ou quoi que ce soit. Elle vit avec son lapin, boit des verres avec son meilleur ami... jusqu'au coup de foudre avec une cliente de la librairie !



Les relations amicales et amoureuses sont décrites avec beaucoup de douceur, tandis que la famille tient une place moins enviable : comme dit Odette, "on a toutes (les deux) nos secrets". On ne connaît pas tout le contexte mais on finit par démêler quelques fils.



Le dessin permet de retranscrire très intensément la manière dont Odette perçoit les choses autour d'elle. Les méduses se multiplient, on est nous-même gêné dans notre lecture : on finit par avoir mal aux yeux, à moins voir ce qu'il y a dans les cases. C'est un vrai parti pris et ça fonctionne très bien.



Petit point bonus pour la langue du Québec, j'avais l'impression "d'entendre" vraiment les personnages parler !
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Amuse-gueules

Le risque avec ce genre d'oeuvre thématique, c'est que les histoires soient vraiment inégales. J'ai beaucoup aimé le style de "Le pain" de Boum et Cab.
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La méduse

Il y a des lectures qui vous plaisent, d’autres moins et certaines qui vous marquent davantage : celle-ci en fait partie💜 Je lis très peu de romans graphiques mais j’ai été vivement attirée par la couverture. J’ai beaucoup apprécié le style de dessins tout au long de ma lecture.



Odette a une méduse dans l’œil, une tache noire qui lui bloque la vue. Au fur et à mesure, la méduse se multiplie jusqu’à rendre Odette aveugle. On suit les différentes étapes de sa maladie via une immersion dans son quotidien : ses premiers instants avec la maladie, ses doutes, sa colère, son incompréhension puis l’acceptation. Les dessins sont incroyables et permettent vraiment de montrer l’évolution de sa maladie 🍃



J’ai trouvé qu’il était très facile de s’identifier aux différents personnages : ils sont crédibles et justes, avec leurs qualités et leurs défauts, ainsi qu’une grande variété d’émotions. Et je dois dire que je me suis totalement attachée à Odette et son entourage.💜



Mention spéciale : on retrouve une très jolie relation queer dans cet ouvrage, sans que ce soit le sujet principal du roman, et je dois dire que la relation entre Odette et sa copine est très mignonne. 🏳️‍🌈



J’ai été très touchée par cette lecture. J’avoue avoir versé quelques larmes. Ce roman graphique est un véritable coup de cœur, je ne peux que vous conseiller de le lire ! 🥰
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La méduse

Un beau livre où on suit avec Odette l'évolution de sa maladie avec cette méduse qui se multiplie au fil des pages. Malgré tout, la vie d'Odette continue avec ses hauts et ses bas.



Le support BD est une excellente façon de nous faire ressentir en tant que lecteur ce que traverse Odette. Tantôt habitué par la méduse au point de ne plus y faire attention, tantôt gêné par celle ci au point de ne voir qu'elle.



Le dessin est très jolie et agréable à regarder.
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