L'univers de Yakari s'est solidement construit depuis les premiers albums. De belles pages de tornade. Chien, corbeaux, dindons, serpent, vautours, le panel d'animaux est renouvelé et animé avec habileté, sans mièvrerie. Une bande dessinée attachante, proche de la vie, de ses aléas, des ressources intérieures et humaines qu'elle nécessite pour survivre avec dignité et intégrité. Cette histoire de vent est bien construite, bien menée et joliment mise en dessin.
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La rencontre entre Yakari et Nanabozo est très réussie. Elle tient à la fois de Milarépa et d'“ Alice au pays des merveilles ”. Cet album navigue entre rêve éveillé et voyage chamanique. Yakari explore les changements de perspectives que les variations de taille induisent. Suivant la route de la fumée, à dos de papillon ou dans un hamac de cornes d'élan, les esprits totems naviguent entre les mondes et initient Yakari aux différentes réalités.
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Les couleurs sont plus variées que dans le tome 1, plus ternes. Il faut dire que nous sommes en hiver et qu'il s'éternise. Yakari confirme ses dons de rêveur chamanique. Ses visions l'entraînent à la rencontre de l'esprit Bison. Les congénères de ce dernier, dont il est le chef, m'ont paru stupides, butés et bourrus. Est-ce parce qu'ils sont destinés à être chassés et mangés ? Les auteurs ont-ils considéré qu'il ne valait mieux pas qu'un animal servant de nourriture à Yakari et à sa tribu n'apparût comme trop sympathique ? Une frilosité qui a un peu refroidi mon attachement à cette série.
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Tout entier dans les jaune, orangé, ocre, moutarde, voilà un album chaleureux. Les dessins sont attrayants, souriants. Yakari est craquant. Quelles que soient les circonstances, il fait marcher ses méninges pour bricoler une solution avec trois bouts de bois. Son univers d'enfant est bien marqué et défini par rapport à la vie des adultes. Il vit dans un monde peuplé d'animaux - qui sont parfois à éviter : ours, puma, chevaux sauvages, poissons, loup. Yakari apprend à évaluer le danger et à s'en protéger. Un récit initiatique réjouissant à mettre entre toutes les petites mains.
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Une très belle histoire de courage et d'amitié entre un enfant et un poney...
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Quel plaisir de re-découvrir Yakari. Je cherchais à faire découvrir l'univers des bd à ma fille de 7 ans, et je suis revenu de la bibliothèque avec Yakari. Impossible de ne pas replonger dedans.
Des dessins simples et superbes à la fois. Un bon bol d'air en pleine nature américaine.
Yakari en tant que Sioux est très attaché à son environnement naturel. Les animaux occupent une place importante dans leur culture. L'animal totem, les chevaux sauvages, ... Les valeurs de courage, entraide, respect sont abordées ici.
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Yakari, J'ai lu les histoires de Yakari et Petit Tonerre à ma fille pendant longtemps. Un petit garçon qui savait parler aux animaux et qui avait un petit cheval pour ami, ça la faisait rêver (à moi aussi).
Nous avons passé de très bons moments et la collection des Yakari est toujours là à côté de celles des Rahan.
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Yakari fait la connaissance de Nanabozo, le totem protecteur d'Arc-en-ciel qui l'emmène dans un monde fantastique et merveilleux. Cet album ravira les enfants avec de superbes dessins et une histoire semblable à un conte fabuleux.
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Dans cette aventure, Yakari et petit Tonnerre vont à la recherche du troupeau de bisons. L'histoire est gentillette, les Indiens vivent en osmose avec la nature, ils s'en servent mais la protègent et la respectent. Yakari est un personnage attachant.
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Avec Yakari, je retombe en enfance. Les personnages ont une façon de parler dépaysante. Les dessins ne ressemblent en rien à ceux d’aujourd’hui, plus d’influencé par les mangas.
Petit Tonnerre, le poney, a presque été volé avec le reste du troupeau. Yakari part à sa recherche. Il fait la rencontre de différents animaux qui l’aident dans sa quête de retrouver Petit Tonnerre, puis les autres chevaux de son clan. Ce mot m’était totalement inconnu. Ce sont les animaux qui amènent la touche d’humour.
Le chaman est au cœur de la mission de sauvetage et de la vie de la tribu. C’est lui qui explique les propriétés de l’eau noire, aussi dit baume des Sénécas.
Ici, le feu sera le meilleur allié de Yakari. Si l’histoire est agréable, la fin prépare la suite du récit pour le prochain tome. Je peux vous assurer que vous passerez un bon moment avec un petit groupe d’indiens si vous tentez cette lecture.
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Lu avec (et pour) mon petit garçon de 5 ans. Très jolie histoire ....qui ne se démode pas vu que j'ai lu la saga Yakari enfant aussi.
Bref, un retour dans l'enfance et un plaisir de faire partager l'univers de la BD avec un petit garçon curieux et amoureux des chevaux.
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