Cet album traite d'un sujet toujours d'actualité: l'acceptation de l'étranger, l'acceptation de sa différence... Quand, de plus, cet étranger (un pélican!) apporte la maladie et demande soins et nourriture, son intégration est loin d'être évidente: seuls quelques individus — dont, bien sûr, Yakari— ont le cœur assez grand. Le pélican perdu et malade saura se montrer reconnaissant, voire magnanime envers la communauté a priori plutôt réticente.
Les albums de Yakari sont toujours une occasion de découvrir la nature de l'Amérique du Nord et les grandes valeurs morales humaines; une occasion aussi d'enrichir le vocabulaire des enfants. Un vrai bonheur à lire à ceux qui ne savent pas encore le faire eux-mêmes et pour qui Yakari est un modèle de conduite.
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J’ai bien aimé ce livre car j’aime bien les histoires de Yakari. Dans ce livre, Yakari se prend la tête avec son cheval Tonnerre, et il s’enfuit. Il fait tout pour le retenir, mais il décide de partir quand même pour le retrouver. Yakari va là où il y a plein de chevaux sauvages et les interroge. Personne lui répond à part un. Ce cheval emmène Yakary, là ou il avait vu Tonnerre. Yakary retrouve Tonnerre et le ramène dans leur camp.
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J'ai toujours aimé suivre les aventures de Yakari, le petit Sioux et de son fidèle compagnon Petit-Tonnerre à la télévision lorsque j'étais petite et récemment, j'ai eu l'occasion de lire ce premier tome. Comme je ne suis pas BD et que c'est un peu trop enfantin pour moi désormais, ce n'est pas sûr que je continue à lire les autres tomes, mais sait-on jamais?) Ce que je peux dire, c'est que ça se lit super vite, du moins, j'ai bien mis 5 à 10 minutes pour le finir; les couleurs sont riches, vives; l'ambiance est typiquement indienne: les guerriers, le village, les plumes, la communion avec la Nature, la présence des grands esprits...
Une BD enfantine certes, mais adorable, riche en couleurs et en enseignements.
Yakari comprend le langage des animaux, il est mignon, malin et débrouillard: il ne peut que nous être sympathique.
#Spoilers#
Yakari fait des rêves prémonitoires, il rêve souvent d'un grand aigle qui lui demande de lui ressembler pour pouvoir le revoir. Il essaie de différentes manières, sans succès pendant que les membres de sa tribu partent capturer des mustangs pour les dompter. Seul un petit cheval s'enfuit. Coincé, il sera sauvé par un Yakari au grand cœur. Le Grand Aigle lui apparaît et cette fois-ci réellement pour lui dire qu'il a parfaitement réussi et qu'il est son protecteur, son totem. Pour ses actes, il reçoit une plume mais qui lui sera confisquée par son père jusqu'à ce qu'il prouve sa valeur, père qui croit que son fils divague.
Un incendie ravage la vallée, Yakari fuit et se retrouve perdu, livré à lui-même. Il va devoir survivre en pleine nature et il retrouvera Petit-Tonnerre, son futur meilleur ami! Ils retrouvent tous les deux la tribu qui reconnaît en Yakari un véritable Sioux qui mérite la plume blanche du Grand Aigle!
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Avec le ton si léger et si plein de bons sentiments qui caractérise la série (j'aime à les lire avant de les offrir et, pour les meilleurs, à m'en garder un exemplaire pour moi), le petit sioux nous emmène ici à la découverte du peuple amérindien des Haida qui vivaient sur la partie Nord de la côte pacifique de l’Amérique du Nord. Nombreux sont ceux qui associent les indiens aux totems (qu'il conviendrait d'appeler "mats totémiques") en ignorant que ces poteaux sculptés sont une spécificité de ces peuples dits du Nord-Ouest.
Et c'est là le principal intérêt que je trouve à cet épisode : rappeler que les Indiens d'Amérique ne formaient (et ne forment toujours) pas une entité homogène. Les nombreuses cultures amérindiennes étaient le fruit d'une histoire propre et d'une adaptation spécifique à un environnement particulier.
Puisse cet épisode piquer la curiosité des jeunes lecteurs et les amener à découvrir cette diversité.
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Cet album de Yakari est bien atypique : il fait peur !
On y cherche un mystérieux animal qui terrorise la forêt et qui s'avère incroyablement sanguinaire.
Pas d'images choquantes, bien sûr, mais des faits très durs : les chiens de ta tribu sont massacrés, et l'énigmatique coupable (un effrayant glouton géant) meurt à la fin. Comme tout bon méchant qui se respecte, sauf qu'on est dans les aventures de Yakari, qui sont habituellement empruntes de bons sentiments.
Je ne m'attendais pas à ça, et mon fils de 5 ans en a fait des cauchemars !
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Yakari nous fait découvrir un phénomène de la nature habituel en Amérique du Nord : les tornades. Cette histoire plaira beaucoup à vos enfants car tous les ingrédients sont réunis pour passer un bon moment de lecture, au cœur de la nature.
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Yakari fait la connaissance d'un étrange animal, souffleur de nuages, un beluga. Une fois de plus, notre héros se distingue par ses belles valeurs d'entraide et de solidarité. La série propose, aux enfants, une façon de découvrir les espèces d'Amérique du nord et leur lieu de vie.
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Dans cet album, nous suivons une nouvelle aventure de Yakari qui part à la découverte d'un nouvel animal de la toundra, le glouton. Notre papoose préféré partage toujours de belles valeurs avec ses amis et c'est un plaisir de les retrouver au milieu des grandes étendues.
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Yakari et Arc-en-ciel, réfugiés dans leur tipi, sont pris dans une tempête de vent qui les porte jusqu'aux terres boréales. Là, ils vont découvrir la faune du milieu : les caribous, les bœufs musqués, les lemmings, etc... Il est toujours aussi agréable de découvrir un nouvel album de notre Indien préféré. Les enfants seront enchantés par cette jolie histoire.
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Tilleul le petit castor traîne son âme en peine. Son ami de Yakari décide de lui venir en aide en lui faisant profiter d'un vol sur le pélican. D'en haut, il repère la silhouette d'un étrange serpent dans le lac. Yakari va-t-il percer le mystère de la présence de l'animal fantastique ? Les enfants vont adorer cet album qui mêle légende et trace du passé, et apprécieront sans nul doute la communion du petit Indien avec ses amis les animaux.
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Yakari a mal parlé à Petit Tonnerre et ce dernier ne veut plus le voir. Yakari comprend alors qu'il a blessé son ami et qu'il ne doit plus se comporter ainsi. Une jolie histoire pour faire passer un message aux enfants : le respect est la base de tout.
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Yakari a perdu la mémoire en tombant dans la rivière de l'oubli en portant secours à un ourson. Il est immédiatement adopté par la maman ours. Une jolie histoire pour les enfants avec de belles couleurs automnales.
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Yakari découvre l'histoire des pratiques de chasse de sa tribu et leur évolution vers le respect de la nature et de l'animal. On ne prend à la nature que ce dont on a besoin.
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Un bon tome de la série Yakari. Pas tellement du point de vue du dessin qui est remarquablement stable tout au long de la série, mais plutôt par l'histoire qui est intéressante, prenante et très bien dosée pour un enfant de 5 ans.
Je regrette le fait qu'on y présente le glouton comme un animal méchant plutôt que comme un animal qui doit manger comme tous les autres. C'est aussi le reflet d'une époque particulière et cela peut sembler désuet aujourd'hui.
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Avec les histoires de Yakari, vos enfants sont sûrs de passer un très bon moment de lecture qui les fera rêver de grandes étendues peuplées d'animaux qui parlent. Une bande dessinée plein de bons sentiments, où l'homme vit en harmonie avec la nature.
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Yakari est un héros au grand coeur. Il parle aux animaux et aime partager leurs émotions, leur quotidien. Il s'éloigne du campement après une chasse au bison. Les anciens répètent qu'il est essentiel que la chasse corresponde aux besoins de la tribu. Pas de massacre pour rien. le message de Job et Derib date de 1993... Sacrés routards de la BD ! Visionnaires et écolos. Je les adore.
La BD, je l'apprécie un peu moins. Très creuse par rapport à ce que je connais de Yakari.
Le petit indien va croiser le fer avec un loup, puis avec une meute complète lorsque l'animal va chercher du renfort. L'enjeu: une mère bison et son petit dont elle vient d'accoucher. C'est riche en émotion, en tension, peu de dialogues, de belles scènes et un "coeur grand comme ça" pour Yakari et son poney. C'est, cependant, unilatéral, linéaire et sans réel enjeu. On apprend, par contre, pas mal de choses sur le comportement des bisons et des loups. L'antropomorphisme à la base de la série m'a gêné, car trop présent (bien davantage que dans mes souvenirs, qui sont peut-être en cause, cela dit).
Deux magnifiques illustrations en fin de tome, avec la plaine remplie de bisons et l'invocation à Wacondah que tout reste identique... Nous savons qu'il n'en est rien. Cette évocation mettra des étincelles dans les yeux des enfants et du vague à l'âme dans l'esprit des adultes. Le bison est bien le seigneur des plaines.
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Au bestiaire du huitième volume de la série, le loup, le mal-aimé. Yakari sert de médiateur entre Loup-Tourmenté, indien chasseur de loups et Trois-Pattes, loup claudiquant. L'histoire est simple mais bien réalisée.
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