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Citations de Kabir (53)


Prétendre qu'Il est Un n'est pas la vérité,
mais dire qu'Il est deux est une offense
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XIII

La lumière du soleil, de la lune et des étoiles brille d’un vif éclat : la Mélodie de l’amour monte toujours plus haut et le rythme du pur amour bat la mesure.

Jour et nuit le Chœur musical remplit les cieux ; et Kabir dit : « Mon Unique Bien-Aimé m’éblouit comme l’éclair au ciel. »


Savez-vous comment les instants disent leur adoration ?

Brandissant son cercle de lumières, l’Univers, jour et nuit, chante en adorant.

Là se cachent la bannière et les célestes lambris ;

Là le son des cloches invisibles se fait entendre ;

« Là, dit Kabir, l’adoration ne cesse jamais ; là le Seigneur de l’Univers est assis sur son trône. »

Le monde entier fait son œuvre et commet ses erreurs : mais peu nombreux sont les amoureux qui connaissent le Bien-Aimé.

Comme se mélangent les eaux du Gange et de la Jumna, ainsi se mêlent, dans le cœur du chercheur pieux, les deux courants de l’amour et du sacrifice.

Dans son cœur l’eau Sacrée s’épanche jour et nuit ; et ainsi s’achève le cycle des naissances et des morts.


Voyez quel repos merveilleux est dans l’Esprit Suprême ! Celui-là en jouit qui le cherche.

Tenu par les cordes de l’amour, la balançoire de l’Océan de joie va et vient ; et un son puissant éclate en chansons.

Voyez quel lotus fleurit là sans eau ! et Kabir dit : « L’Abeille de mon cœur boit son nectar. »


Quel merveilleux lotus est celui qui fleurit au cœur du rouet de l’Univers ! Seules quelques âmes pures en connaissent les vrais délices.

La musique résonne partout alentour et le cœur y participe à la joie de la Mer Infinie.

Kabir dit : « Plonge-toi dans cet océan de douceur et laisse s’envoler au loin toutes les erreurs de la vie et de la mort. »

Vois comme, ici, la soif des cinq sens est étanchée ; les trois formes de la misère ne sont plus.

Kabir dit : « C’est le Sport de l’Inaccessible ; regardez en dedans et voyez comme les rayons de lune du Dieu caché brillent en vous ! »


Là bat le rythme de la vie et de la mort.

Là jaillissent les ravissements. Tout l’espace est radiant de lumière.

Là, une musique mystérieuse se fait entendre. C’est la musique de l’amour des trois mondes.

Là brûlent les millions de lampes du soleil et de la lune.

Là le tambour bat et l'amoureux s’amuse sur une escarpolette.

Là les chansons amoureuses résonnent de toutes parts et la lumière pleut en ondées ; et l’adorateur goûte avec ravissement au céleste nectar.

Regardez la vie et la mort : il n’y a plus de séparation entre elles. Telles la main gauche et la main droite sont elles-mêmes et pareilles.

Kabir dit : « L’homme sage restera muet ; car cette vérité ne peut se trouver ni dans les livres ni dans les Védas. »


J’ai pris place dans l’harmonieux équilibre de l’Un.

J’ai bu la coupe de l’ineffable.

J’ai trouvé la clef du mystère.

J’ai atteint la racine de l’Union.

Voyageant sans chemin je suis arrivé au pays sans douleur ; très doucement la grâce du Grand Seigneur est descendue sur moi.

On chante le Dieu infini comme s’il était inaccessible ; mais, moi, dans mes méditations, sans mes yeux, je L’ai vu.

C’est bien le pays sans souffrances et personne ne connaît le chemin qui y mène.

Seul, celui qui est sur ce chemin est allé au delà de la région des douleurs.

Merveilleux est ce pays, dont aucun mérite ne peut être le prix.

C’est le sage qui le voit ; c’est le sage qui le chante.

Ceci est l’ultime parole ; mais comment exprimer sa merveilleuse saveur ? Celui qui l’a une fois savourée, celui-là sait quelle joie elle peut donner.

Kabir dit : « La connaissant, l’ignorant devient sage et le sage devient muet d’adoration silencieuse. »

L’adorateur est totalement enivré.

Sa sagesse et son détachement sont parfaits.

Il boit à la coupe des inspirations et des aspirations de l’amour.

Là tout le ciel s’emplit de sons et la musique se joue sans cordes et sans doigts.

Là le jeu de la joie et de la douleur ne cesse pas.

Kabir dit : « Si tu te plonges dans l’Océan de Vie, tu vivras dans le Pays de la Suprême Félicité. »


Quelle frénésie d’extase il y a dans chaque heure ! L’adorateur exprime et boit l’essence des heures. Il vit de la vie de Brahma.

Je dis la vérité, car j’ai accepté la vérité dans ma vie. Je suis à présent attaché à la vérité ; j’ai balayé loin de moi tous les faux clinquants.

Kabir dit : « Ainsi l’adorateur s’affranchit de toute crainte ; ainsi le quittent toutes pensées erronées sur la vie et sur la mort. »


Là le ciel s’emplit de musique.

Là il pleut du nectar.

Là les cordes de la harpe vibrent et les tambours battent.

Quelle secrète splendeur est là dans ce château du Ciel.

Là il n’est plus question du lever et du coucher du soleil.

Dans l’océan de révélations qu’est la lumière de l’amour, le jour et la nuit ne font qu’un.

Joie à jamais ; ni douleurs, ni luttes.

Là j’ai bu, remplie jusqu’au bord, la coupe de la joie, de la joie parfaite.

Là, il n’y a pas de place pour l’erreur.

Kabir dit : « Là, j’ai été témoin des jeux de l’Unique Félicité. »

J’ai connu en moi-même le jeu de l’Univers ; j’ai échappé à l’erreur de ce monde.

Le dedans et le dehors sont devenus pour moi un seul Ciel. L’infini et le fini se sont unis. Je suis ivre de la vue du Tout.

Ta lumière emplit l’Univers ; elle est la lampe d’amour qui brûle sur le plateau du savoir.

Kabir dit : « Là, aucune erreur ne peut entrer et le conflit de la vie avec la mort n’existe plus. »
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XII

Entre les pôles du conscient et de l’inconscient, l’esprit se balance :

À cette balançoire sont suspendus tous les êtres et tous les mondes ; et cette balançoire ne cesse jamais de se balancer.

Des millions d’êtres y sont accrochés : le soleil et la lune, dans leur course, s’y balancent.

Des millions d’âges passent et toujours la balançoire se balance. Tout est balancé : le ciel et la terre et l’air et l’eau, et le Seigneur Lui-même qui se personnifie :

Et la vue de tout ceci a fait de Kabir le serviteur de son Dieu.
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VIII

Dis-moi, ô Cygne, ton antique histoire.

De quel pays viens-tu, ô Cygne ? — Vers quel rivage t’envoles-tu ?

Où prendras-tu ton repos, ô Cygne, et que cherches-tu ?


Ce matin même réveille-toi, ô Cygne, lève-toi et suis-moi.

Il est un pays où ni le doute ni la tristesse n’ont d'empire ; où la terreur de la mort n’existe plus.

Là, les bois du printemps sont en fleurs et leur senteur parfumée qui dit: « Il est Moi », est portée sur la brise.

Là, l’abeille du cœur plonge profondément dans la fleur et ne désire plus d’autre joie.
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V

Oh, ce mot mystérieux, comment pourrais-je jamais le prononcer ?

Oh, comment puis-je dire : Il n’est pas comme ceci et Il est comme cela ?

Si je dis qu’il est en moi, l’Univers a honte de mes paroles ;

Si je dis qu’il est en dehors de moi, je mens.

Des mondes intérieurs et extérieurs Il fait une indivisible unité ;

Le conscient et l’inconscient sont les tabourets de ses pieds.

Il n’est ni manifesté ni caché ; Il n’est ni révélé ni irrévélé.

Il n’y a pas de mot pour dire ce qu’Il est.
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XI

J’entends la mélodie de Sa flûte et je ne suis plus maître de moi.

La fleur s’épanouit sans que le printemps soit venu, et déjà l’abeille a reçu son message odorant.

Le tonnerre gronde, les éclairs brillent ; des vagues s’élèvent dans mon cœur.

La pluie tombe et mon âme languit après mon Seigneur.

Là où le rythme du monde tour à tour prend naissance et meurt, c’est là que mon cœur a atteint.

Là les bannières cachées flottent au vent.

Kabir dit : « Mon cœur se meurt de vivre. »
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XII

Si Dieu est dans la mosquée, alors à qui ce monde appartient-il ?

Pèlerin, si Rama est dans l’image que tu adores, alors que se passe-t-il là où il n’y a pas d’images ?

Hari est à l’orient ; Allah est à l’occident. Regarde dans ton cœur, tu y trouveras à la fois Karim et Rama.

Tous les hommes et toutes les femmes du monde sont Ses formes vivantes.

Kabir est l’enfant d’Allah et de Rama. Lui est mon Maitre ; Lui est mon directeur spirituel.
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X

La rivière et ses vagues forment une même surface : quelle est la différence entre la rivière et ses vagues ?

Quand la vague s’élève, c’est de l’eau et, quand la vague retombe, c’est toujours la même eau. Dites-moi où est la difierence.

Parce qu’on l’a nommée vague, ne sera-t-elle plus considérée comme de l’eau ?

Au sein du Suprême Brahma. les mondes apparaissent comme les grains d’un chapelet ;

Regarde ce rosaire avec les yeux de la Sagesse.
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VI

Tu as attiré mon cœur à Toi, ô Fakir ?

J’étais endormi dans ma chambre et Tu m’as éveillé de la voix saisissante, ô Fakir.

Je me noyais dans les profondeurs de l’Océan de ce monde et tu m’as sauvé, me soutenant de Ton bras, ô Fakir.

Un seul mot de Toi ; non pas deux — et tu as brisé tous mes liens, ô Fakir.

Kabir dit : « Tu as uni Ton cœur à mon cœur, ô Fakir. »
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III

Quand Il se révèle à Lui-même, Brahma découvre l’invisible.

Comme la graine est dans la plante, comme l’ombre est dans l’arbre, comme l’espace est dans le ciel, comme une infinité de formes sont dans l’espace.

Ainsi, d’au delà de l’Infini, l’Infini vient ; et l’Infini se prolonge dans le fini :

La créature est dans Brahma et Brahma est dans la créature ; ils sont à jamais distincts et cependant à jamais unis.

Lui-même, Il est l’arbre, la graine et le germe.

Lui-même, Il est la fleur, le fruit et l’ombre.

Il est le soleil, la lumière et tout ce qui s’éclaire.

Il est Brahma, la créature et l’Illusion.

Il est la forme multiple, l’espace infini ;

Il est le souffle, la parole, la pensée.

Il est le limité et l’illimité ; et, par delà le limité et l’illimité, Il est l’Être pur.

Il est l’Esprit immanent dans Brahma et dans la créature,


— L’Âme suprême est vue en dedans de l’âme.

— Le point ultime est vu dans l’Âme suprême.

— Et, dans ce Point, les créations se reflètent encore. Kabir est béni parce qu’il a cette suprême vision.
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II

La lune brille au dedans de moi ; mais mes yeux aveugles ne peuvent la voir.

Elle est en moi ainsi que le soleil.

Sans qu’on le frappe, le tambour de l’Éternité résonne au dedans de moi ; mais mes oreilles sourdes ne peuvent l’entendre.

Aussi longtemps que l’homme réclamera le Moi et le Mien, ses œuvres seront comme zéro.

Quand tout amour du Moi et du Mien sera mort, alors l’œuvre du Seigneur sera accomplie.

Car le travail n’a pas d’autre but que la connaissance.

Quand la connaissance est atteinte, le travail est laissé de côté.

La fleur s’épanouit pour le fruit ; quand le fruit mûrit, la fleur se fane.

Le cerf contient le musc, mais il ne le cherche pas en lui-même : il erre en quête d’herbe.
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 Kabir
Je ris quand j'entends que le poisson dans l'eau a soif

Je ris quand j'entends que le poisson dans l'eau a soif

Tu ne comprends pas que ce qu'il y a de plus vivant
est à l'intérieur de ta propre maison.
et ainsi vous marchez d'une ville sainte à l'autre avec
un regard confus !

Kabir vous dira la vérité : allez où bon vous semble,
à Calcutta ou au Tibet ;
si vous ne trouvez pas où votre âme est cachée,
pour vous le monde ne sera jamais réel !
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 Kabir
J'ai atteint le bonheur éternel

J'ai atteint la félicité éternelle.
Il n'y a pas de temps pour le chagrin ou la douleur,
car maintenant j'aime chanter sa gloire.

L'arbre de Son plaisir n'a ni racine, ni graine,
comme l'a révélé la grâce du vrai Gourou.

Maintenant il y a l'éclat d'un million de soleils,
mon cygne s'est plongé dans le lac de Sa connaissance.

Dit Kabir, écoute, ô frère sage,
Maintenant les allées et venues ont pris fin.
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 Kabir
Le mot

Trouvez le mot, comprenez le mot,
Dépendez du mot;
Le mot est le ciel et l'espace, le mot la terre,
le mot l'univers.
La parole est dans nos oreilles, la parole est sur nos langues,
La parole est l'idole.
La parole est le livre saint, la parole est harmonie,
La parole est musique.
Le mot est magique, le mot le Gourou.
Le mot est le corps, le mot est l'esprit, le mot est l'être,
Le mot Non-être.
Le mot est homme, le mot est femme,
Le Grand Adoré.
Le mot est le visible et l'invisible, le mot est l'existant
Et l'inexistant.
Connaître le mot, dit Kabir,
Le mot est tout-puissant.
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 Kabir
Mon corps et mon esprit
Mon corps et mon esprit...

Mon corps et mon esprit sont en dépression parce que
Tu n'es pas avec moi.

Combien je t'aime et te veux dans ma maison!
Quand j'entends des gens me décrire comme votre épouse, j'ai l'air honteux,
parce que je sais qu'au fond de nous, nous ne nous sommes jamais rencontrés.

Alors quel est cet amour qui est le mien ?

Je ne me soucie pas vraiment de la nourriture, je ne me soucie pas vraiment du sommeil,
je suis agité à l'intérieur et à l'extérieur.
La mariée veut son amant autant qu'un homme assoiffé veut de l'eau.

Et comment vais-je trouver quelqu'un qui transmettra un message
de ma part à l'invité ?
Comme Kabir est tout le temps agité !
Combien il veut voir l'Invité !
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Illusion et réalité

Jo Dise So To Hai Nahin,
Hai So Kaha Na Jayee
Bin Dekhe Parteet Na Aave,
Kahe Na Koyee Patiyana
Samajh Hoye To Rabeen Cheenho,
Achraj Hoye Ayana
Koi Dhyave Nirakar Ko,
Koi Dhyave Aakaara
Ja Bidhi In Dono Te Nyara,
Jane Jananhara
Woh Raag À Likhia Na Jayee
Matra Lakhe Na Kana
Kahat Kabir So Padhe Na Parlay,
Surat Nirat Jin Jana

Ce qui est vu n'est pas la vérité
Ce qui est ne peut être dit La
confiance ne vient pas sans voir
Ni la compréhension sans mots
Le sage comprend avec connaissance
À l'ignorant ce n'est qu'une merveille
Certains adorent le Dieu sans forme
Certains adorent Ses diverses formes
De quelle manière Il est au-delà de ces attributs
Seul le Connaisseur sait
Que la musique ne peut pas être écrite
Comment peuvent alors être les notes
Dit Kabir, seule la conscience surmontera l'illusion
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XIII

Celui qui est modeste et content de son sort ; celui qui est juste, celui dont l’esprit est rempli de résignation et de paix ;

Celui qui L’a vu et qui L’a touché, celui-là est libéré de la crainte et de l’angoisse.

Pour lui la pensée de Dieu est comme une pâte de santal répandue sur son corps.

Pour lui il n’y a aucune autre joie que cette pensée.

Une harmonie accompagne son travail et son repos ; un rayonnement d’amour émane de lui.

Kabir dit : « Touche les pieds de Celui qui est un, indivisible, immuable, paisible, qui remplit de joie à pleins bords les vases terrestres et dont la forme est amour. »

(Traduit sur la version anglaise par Mme H. Mirabaud-Thorens.)
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X

Je ne sais quel est mon Dieu.

Le Mullali crie vers Lui : pourquoi ? Le Seigneur est-il sourd ? Il entend bien résonner les fines articulations d’un insecte qui marche.

Égrène ton chapelet ; peins sur ton front le chiffre de ton Dieu ; porte de longues guenilles tachées et voyantes ; si une arme de mort est dans ton cœur, comment posséderas-tu Dieu ?
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VIII

Ô frère ! quand je m’égarais, le vrai Maître me montra la route.

Alors je laissai les rites et les cérémonies ; je ne me plongeai plus dans les eaux sacrées.

Je compris que moi seul j’étais fou ; que tout le monde autour de moi était sain d’esprit et que je scandalisais les gens sages.

Depuis ce jour, je ne me roule plus dans la poussière en signe d’obéissance ;

Je ne sonne plus la cloche du temple ;

Je ne place plus l’idole sur son trône ;

Je ne mets plus de fleurs devant les images en signe d’adoration.

Ce ne sont pas les austérités et les mortifications de la chair qui plaisent au Seigneur.

Ce n’est pas en quittant tes vêtements et en tuant tes sens que tu Lui es agréable.

L’homme qui est bon, loyal, qui demeure calme au milieu de l’agitation du Monde, qui estime autant que soi-même toutes les créatures de la Terre,

Cet homme-là atteint l’Être Immortel et le vrai Dieu est avec lui.

Kabir dit : « Celui dont les paroles sont pures et qui n’a ni orgueil ni envie connaît Son Vrai Nom. »
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VI

Pourquoi, mon cœur, es-tu si impatient ?

Celui qui veille sur les oiseaux, sur les bêtes et sur les insectes,

Celui qui a pris soin de toi quand tu étais encore dans le sein de ta mère

Ne te préservera-t-il plus à présent que tu en es sorti ?

Ô mon cœur, comment peux-tu te détourner du sourire de ton Dieu et errer si loin de Lui ?

Tu as abandonné ton Bien Aimé pour penser à d’autres. Voilà pourquoi ton œuvre est vaine.
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