Mikaël

Un excellent récit en deux tomes que je ne peux que vous recommander.




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Dans ce second volet de Bootblack, Mikaël emploie fréquemment un ton quasi onirique, en porte à faux avec la violence des champs de bataille et de celle des ruelles de la grosse pomme. Pour tout dire, le combat se révèle surtout intérieur, comme en témoignent de longues séquences de monologue.
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Un thriller très noir de Mikaël qui manie le désespoir comme toile de fond d’un drame à l’issue programmable. Le dessin est toujours aussi fort, réaliste et expressif.
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Après le succès, oh combien mérité, du diptyque « Giant », Mikaël met ici un point final au second cycle de son œuvre puissante « Bootblak ».
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Un final que je trouve un peu rapide, mais celui ci appelle une suite ? non ?

Planches magnifiques, intrigue toujours aussi addictive.

Bd Western épouvante, ésotérique, avec un pasteur démoniaque et mystérieux. L'ambiance est prenante. Début intéressant. Dessins dynamiques et précis, cadrages travaillés. Bon 1er tome sur 3.

Une bonne histoire soutenue par des dessins de grande qualité, qui charrient des émotions fortes. Déjà hâte de lire la suite.
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L’auteur, Mikaël, nous plonge dans une époque pas facile, la prohibition. Il nous raconte un petit bout d’Histoire magnifiquement illustré.
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En 64 pages d’une intrigue documentée, Mikaël sait rendre l’atmosphère des rues new-yorkaises, baignées des vicissitudes et de la sombre tonalité figurée par Sergio Leone dans « Il était une fois en Amérique ».




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Est, Bootblack dépeint avec lucidité, mais sans montrer ce que la misère peut produire de pire, cette frange de l’Amérique laborieuse qui à défaut de s’enrichir, s’essaye à se reconstruire une identité, un avenir.
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L'intrigue est solide et très documentée [...] Le dessin de Mikaël est toujours aussi surprenant. Comme dans Giant, il donne une magnifique vision de New York et grâce à ses couleurs, il parvient à nous plonger dans l'ambiance de ses rues, avec ses petits commerces et ses trafics.
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Une merveille en 2 tomes.

Très beau diptyque. Un graphisme superbe et une histoire passionnante !

D'une finesse pertinente, tant dans les coups de crayons que dans le verbe. Plongeons dans le New York des années 30, peinture de la vie des ouvriers des plus hauts buildings de l'époque. Un trait masculin, très attirant je dois avouer.

(LX971) Pas réussi à aller au bout du 1er tome. J'ai trouvé cette BD laborieuse et bavarde. L'entreprise est louable, le sujet original et bien documenté mais c'est trop chargé à mon goût. Pas sûr qu'elle soit au goût de nos élèves. Non pour le prix

(SC971) New-York est le personnage principal de cet album, le New-York des années 30, en pleine expansion, où se nouent des rivalités entre immigrés italiens et irlandais. On suit plus particulièrement deux personnages, deux immigrés irlandais, Giant le taiseux et Dan le bavard. J'ai bien aimé l'histoire, également le dessin aux couleurs sépia. Pourquoi pas pour le Prix, niveau lycée

(Fred971) Une bande dessinée en deux tomes de très belle facture où nous plongeons dans la vie quotidienne (les difficultés et les joies) des constructeurs immigrés irlandais de grattes-ciel dans le New-York du début du 20ème siècle. L'intrigue se met en place progressivement et donne très envie de lire la suite. Le dessin est original et "colle" bien à l’ambiance urbaine de cet époque. Les personnages sont riches et complexes.. Oui pour la sélection Lycée.

17/04/2018:

Par le biais d’un immigré irlandais de forte carrure surnommé Giant, cette superbe bande dessinée raconte la construction du Rockefeller Center, à New York, dans les années 1930.
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On attendait la suite (et fin) de Giant avec impatience. La série de Mikaël (Promise), ce bédéiste français établi au Québec depuis une dizaine d'années, avait mis la table de jolie manière, l'an dernier, avec le premier tome.
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Tirée d’une photo représentant des ouvriers assis sur une poutre au-dessus du vide, Mikaël nous raconte l’histoire de Giant, un homme taciturne qui travaille sur la construction de gratte-ciel. Giant correspond avec la veuve d’un de ses collègues décédé en faisant passer pour lui.



Je n’ai pas été conquise par le synopsis de cette BD que j’ai eu du mal à suivre. L’histoire traine en longueur et m’a ennuyée, ce qui est d’autant plus dommage que les illustrations, elles, sont magnifiques et les couleurs vraiment fidèles à l’ambiance du récit.