AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Nationalité : États-Unis
Né(e) à : New York , le 11/09/1965
Biographie :

Moby, de son vrai nom Richard Melville Hall, est un artiste de musique électronique américain et photographe. Multi-instrumentiste, il chante, joue de la guitare, des claviers, de la basse et des percussions.

L’artiste aborde, à travers la musique électronique, une multiplicité de genres musicaux où il puise son inspiration aussi bien dans la techno, que dans le blues ou le rock. Artiste engagé, il est un fervent défenseur des droits des animaux.

Avant d’avoir acquis sa notoriété actuelle, Moby a produit sa musique sous différents pseudonymes tels que Voodoo Child, Barracuda, UHF, The Brotherhood, Schaumgummi, DJ Cake, Lopez, Brainstorm & Mindstorm ou The Pork Guys. Le DJ américain est l'une des figures emblématiques de la Dance music des années 1990 dans le monde. Il a vendu plus de 20 millions d'albums à travers le monde.

En 2016, suite à la fermeture de TeaNY, il a fondé son propre restaurant vegane à Los Angeles nommé Little Pine. En mars, Il publit gratuitement sur le site du restaurant l'album Long Ambients 1: Calm. Sleep. En mai, il sort son second livre, intitulé Porcelain dans lequel il retrace tout le début de sa carrière de 1989 et le début de sa carrière solo à 1999 et la sortie de "Play" et "Porcelain". Le livre est accompagné de la compilation Music From Porcelain dans lequel on retrouve les principaux morceaux de ses débuts et ceux qui l'ont influencé.
+ Voir plus
Ajouter des informations
Bibliographie de Moby   (1)Voir plus

étiquettes

Citations et extraits (9) Ajouter une citation
J’avais beau être un petit WASP coincé du Connecticut, le monde de la rave m’avait offert une deuxième naissance, une fois sur scène, je jouais sans la moindre honte, dans un bonheur total.
Commenter  J’apprécie          130
On avait tous des vies qui n’allaient pas, des parents qui mouraient, des carrières qui partaient à vau-l’eau ; on vivait tous dans une ville au bord du chaos. Mais pour l’instant on baisait sur une piste de danse entourés de drag-queens et plus rien n’avait d’importance.
Commenter  J’apprécie          20
Tout ce que l’homme touche souffre et finit par mourir.
Commenter  J’apprécie          30
Toute ma vie ou presque, j’avais forniqué dans la honte, persuadé que je m’y prenais mal et que je provoquais la colère de Dieu. Mais ce soir-là les rapports sexuels que j’avais sous les yeux ne me paraissaient pas particulièrement pervers. Ils étaient plutôt dénués d’enthousiasme et de passion. Les échangistes étaient sans vie, de même que les voyeurs qui les observaient.
Commenter  J’apprécie          10
Tout ce qui sentait le sexe ou la sensualité me terrifiait et me donnait envie de me réfugier devant un dessin animé Looney Tunes. Chaque fois que je regardais la télé avec ma mère et que les personnages de Maude ou De la croisière s’amuse faisaient une allusion plus ou moins sexuelle ou intime, je me figeais et j’attendais que la scène passe.
Commenter  J’apprécie          10
Si je mets cette clé dans la porte et que je tourne, je pars et je ne reviens pas. Je m’engage à errer en essayant de subvenir aux besoins des autres : les pauvres, les affamés, les déshérités. Je m’en vais et je tourne le dos à la maison où j’ai grandi, à ma carrière, à l’ambition, à tout.
Commenter  J’apprécie          10
Le futur avait quelque chose de pur, d’intrigant, à mille lieues de parents défaits fumant une Winston dans une laverie sordide. J’ai écouté Love Hangover jusqu’au bout parce que c’était une chanson futuriste. Or ni la radio ni le futur ne m’avaient jamais trahi.
Commenter  J’apprécie          10
J'ai écouté Love Hangover jusqu'au bout parce que c'était une chanson futuriste. Or ni la radio ni le futur ne m'avaient jamais trahi.
Blotti dans la voiture, je regardais les lumières brouillées de la laverie à travers le pare-brise ruisselant d'eau, comprenant peu à peu que la chanson me mettait mal à l'aise mais que j'en étais fou. Elle représentait un univers qui m'était inconnu, le contraire de là où je vivais - tout ce que je détestais : la pauvreté, la clope, la drogue, la gêne, la solitude. Et Diana Ross me promettait qu'il existait un monde qui n'était terni ni par la tristesse ni par la résignation. Quelque part il existait un univers à la fois sensuel, robotique et hypnotique. Immaculé.
Commenter  J’apprécie          00
En revanche, j'avais du mal à accepter que la femme que je connaissais depuis que j'étais un zygote de deux cellules n'existe plus. Parfois je prenais le téléphone et je l'appelais, et je me rendais compte que non, elle n'était plus là. Elle me manquait, et je pensais souvent au vide que quelqu'un laisse après sa disparition, comme si la personne avait brusquement été enlevée. Ses vêtements sont toujours dans les placards. Son shampoing est sur l'étagère de la douche. Les objets qui rappellent sa présence dans le monde sont là, mais la personne est partie.
Commenter  J’apprécie          00

Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Listes avec des livres de cet auteur
Lecteurs de Moby (75)Voir plus

Quiz Voir plus

The Book of Ivy - avez-vous bien lu ?

Comment s'appelle la soeur d'Ivy ?

Carrie
Calie
Karine
Callie

10 questions
86 lecteurs ont répondu
Thème : The book of Ivy de Amy EngelCréer un quiz sur cet auteur
¤¤

{* *}